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22/06/2008, 01:19:13
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#1
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Admin Groupe : Admin Messages: 39,898 Inscrit : 13/10/2006 Membre No. : 1 |
La confiance de l'Australie
Le président de la Fédération australienne Frank Lowy s'est dit confiant samedi quant aux chances d'attribution pour son pays de la Coupe du monde 2018. «Je vais être clair : (la candidature de l'Australie) n'est pas un galop d'essai», a-t-il assuré au Daily Telegraph australien. «Je n'ai pas de plan B. Je m'attends à obtenir l'aval (de la FIFA) et le droit d'organiser la Coupe du monde 2018». Difficile de faire plus clair en effet. Reste toutefois à connaître la position de la FIFA. Selon Lowy, l'un des hommes les plus riches de son pays, Sepp Blatter, le président de l'instance dirigeante mondiale, aurait été impressionné par la détermination de l'Australie. «L'enthousiasme dont il a été témoin en Australie a été un facteur décisif pour lui», a estimé Lowy. Mais pour en savoir plus, il faudra attendre 2011, date de nomination du pays organisateur. L'Equipe |
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11/07/2010, 17:28:09
Message
#2
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Madridista Groupe : Membres Messages: 998 Inscrit : 02/09/2008 Lieu : PARIS Membre No. : 3,519 |
Toulalan assume sa responsabilité
Dans une interview au Journal du Dimanche, Jérémy Toulalan reconnait être à l'origine de la fameuse lettre de revendications lue par Raymond Domenech. Le Lyonnais assume pleinement ses actes, dont il n'est pourtant aujourd'hui pas très fier. Toulalan en première ligne ! Jérémy Toulalan avait expliqué ne pas vouloir parler à chaud, au sortir de la Coupe du Monde 2010, attendant sagement que certains de ses partenaires évoquent leur vérité, avant de délivrer la sienne. Ce dimanche, c'est donc fait. Dans une longue interview accordée au Journal du Dimanche, le milieu de terrain de l'équipe de France revient sur le périple des Bleus en Afrique du Sud. Et assume pleinement sa part de responsabilité. Extra-sportive principalement, car le Lyonnais évoque sans détour la lettre de «revendication» lue par Raymond Domenech au pied du bus de la révolte à Knysna, le dimanche 20 juin, et dont il est l'un des instigateurs. «A la base, on n'a pas cautionné ce qu'avait dit Nicolas Anelka (…) Mais c'est le genre d'événement qui arrive parfois dans un groupe. Ça n'aurait pas dû sortir et on aurait dû mieux gérer cela en interne. Quand c'est sorti dans L'Equipe, tout s'est précipité. On a vite appris qu'Anelka allait être renvoyé. On a essayé d'organiser une réunion pour qu'il aille s'expliquer avec le coach. Elle n'a jamais eu lieu car la décision de son exclusion avait été prise (…) Avec quelques joueurs, on a couché des idées pour expliquer notre démarche. Puis avec nos conseillers (Stéphane Courjon pour Toulalan), on a essayé de mettre ça en forme pour être bien compris. On a essayé de maîtriser les choses, même si c'était peut-être indéfendable.» Toulalan chef de meute ? Personne ne l'aurait vraiment cru tant le garçon parait intelligent, et surtout plus mature que certains de ses congénères. Cela prouve surtout l'état d'enfermement, de repli quasi-total des joueurs, et leur manque de lucidité au moment de la grève. «On était dans un tel truc que c'était compliqué (…) Sincèrement, je ne pensais pas que cela prendrait de telles proportions. Tout le monde veut savoir ce qui s'est passé, mais au fond, il n'y a pas grand-chose à savoir. C'est à la fois simple dans le déroulement, et compliqué parce qu'on a fait quelque chose d'inadmissible.» «Tous pour la grève» «Simple» aussi car le milieu de terrain confirme les propos tenus jusque-là par la plupart des autres joueurs s'étant exprimés (Evra, Abidal, Henry, Malouda, Gallas) sur l'unité du groupe quant à sa réaction : «On a eu une discussion le samedi soir : personne ne s'est manifesté. Donc oui, tout le monde était d'accord. Peut-être que certains n'ont pas osé… Moi-même, j'ai d'énormes regrets. Car j'aurais pu le faire. Je ne suis pas fier de ce qui s'est passé, mais j'assume. On était tous dedans. Celui qui dit le contraire est un menteur». «Si vous voulez me faire dire que certains ont poussé à la grève contre l'avis des autres : non. Personne n'a été menacé. Celui qui voulait aller s'entraîner aurait pu descendre du car», poursuit-il plus loin. Dernier élément révélé par Toulalan, les supposées altercations entre Franck Ribéry et Yoann Gourcuff, et plus largement la pression constante mise par certains cadres sur le Bordelais. Là encore, c'est la ligne de conduite déjà connue qui semble prévaloir : «On a raconté tout et n'importe quoi. On ne s'entend pas forcément super bien avec tout le monde dans un groupe (…) J'ai même entendu que j'avais séparé Franck et Yo : du grand n'importe quoi ! Il n'y a eu aucune altercation entre eux», déclare au JDD Toulalan, connu pour être proche de Gourcuff. Quel avenir ? Evoqué comme possible futur capitaine de l'équipe de France version Laurent Blanc, Toulalan voit désormais son avenir s'obscurcir, du moins pour le brassard, au vu de son rôle moteur, alors que Blanc a confirmé vouloir «des joueurs irréprochables». L'ancien Nantais en est conscient et reconnaît même que des sanctions seraient justifiées. A une condition toutefois, que tout le monde soit concerné : «Si on était sanctionné, cela me toucherait beaucoup. Pour moi, c'est toujours une fierté d'aller en équipe de France. Mais on n'a pas le choix : on a tellement fait n'importe quoi qu'on accepterait. En tout cas, les sanctions doivent être collectives et non individuelles.» Placé désormais sur le chemin de la rédemption, Toulalan préfère se tourner vers l'avenir, sans pour autant effacer «cette tâche dans (ma) carrière» : «Il faut retrouver les valeurs qu'on a zappées : respect, fierté du maillot, du pays (…) J'espère que ça va permettre d'avancer. C'est dans les moments difficiles qu'on apprend. Là, j'ai beaucoup appris.» source: le figaro Pourquoi Blanc doit tout changer… Pendant que le « milieu du foot autorisé » essaye d’avoir les justes réflexions quant à la suite à donner aux aventures des Bleus, permettez moi d’avancer quelques idées. En fait, c’est plus précisément une idée directrice dont j’aimerais parler. Elle tient en un mot : le changement. J’ai rangé le mot révolution, ça fout trop les jetons. Au-delà de ce qui s’est passé, du fiasco sportif, de la grève, de l’attitude globale, il me semble qu’il y a juste un constat à tirer : Ce groupe de joueurs n’est pas bons, où en tout cas pas au niveau que pensent certains. Ce groupe, ne l’oublions pas, sort quand même de deux terribles échecs. Euro 2008 et Mondial 2010. La réussite de 2006, c’est Zidane, Vieira, Makelele, Barthez, Thuram, Henry n’oublions pas ça ! Les autres n’étaient là que pour accompagner. On essaye de nous faire croire depuis quelques semaines que le seul et unique fautif, c’est le sélectionneur. Ne revenons pas sur sa nullité, elle est indiscutable. Mais même avec un autre coach, ce groupe serait-il vraiment aller plus loin ? J’en doute. Je me répète mais ce n’est pas juste un fiasco que vient de vivre le foot français, c’est deux !! Deux grosses compétitions traversées en zombie. Je me demande donc comment ces joueurs peuvent se relever et faire mieux. Ce groupe n’est-il pas mort ? Ce groupe peut-il mentalement effacer ces échecs ? Qui sont les leaders ? On sait qu’il n’y en a pas, et ce ne sont pas de nouveaux joueurs qui vont venir s’imposer à ceux déjà en place. Je n’y crois pas, c’est impossible. Imaginons un joueur nouveau. Il arrive et se retrouve face aux anciens. Ne va-t-il pas avoir un a priori ? Va-t-il oser s’imposer ? Impossible. On a connu une autre période terrible dans le foot français et des joueurs pourtant talentueux n’y ont pas brillé. Bravo et Ferreri sans les cadres se sont perdus. Vercruysse devait devenir un 10 « à la française ». Durand et Sauzée, des milieux relayeurs intéressants. Il y a eu Perez, Simba en seconds couteaux lancés sur le tard. Boli, héros marseillais, souvent nul en bleu. Casoni, un beau défenseur. Pedros, porté disparu, pourtant titulaire contre la Bulgarie en 1993. Ginola, une étoile isolée. Et surtout, que dire du duo Cantona/Papin ! Un ballon d’or et le joueur du siècle d’un club comme Man Utd. Ce n’est pas rien ! Pourtant tous ces joueurs n’ont rien fait en Bleu. Rien de rien, même pas présent à défaut d’être acteur, dans un Mondial. Le néant ! On ne doit donc pas avoir de scrupules, de regrets à tourner définitivement la page. Gallas, Abidal, Ribery, Anelka, Malouda, Evra, Sagna, Toulalan...doivent être écartés sans qu’on ait besoin de parler de bannissement. Certains peuvent être sauvés comme Deschamps, Blanc, Desailly, Petit l’avaient été après la période noire 1988/1993. Laurent Blanc, qui justement, a vécu ces moments là ne doit pas oublier ce qu’a fait Jacquet en 1994. Il doit repartir de zéro ou presque. Prendre des joueurs « frais », débuter et écrire une nouvelle aventure. Se qualifier pour l’Euro 2012, essayer d’y briller sans ambitions démesurées. C’est assurément un nouveau cycle qui doit démarrer et les nouveaux joueurs ne pourront s’épanouir que si Blanc a fait place nette. Une tentative pour rapprocher les joueurs, pour réparer la machine serait vouée, selon moi à l’échec. Ça prendra certainement du temps, mais Blanc doit tout changer. Sans que la liste ne soit exhaustive, je pense qu’il doit se tourner vers un groupe du genre : Gourcuff, Alou Diarra, Mavuba, Planus, Reveillere, Cabaye, Trémoulinas, Lloris, Rami, Squillaci, Gameiro, Roux, Cheyrou, Jallet, Koscielny, M’Vuemba, les 2 Marveaux. La liste mérite d’être complétée. Ces joueurs devront, bien sûr, être compétitifs en clubs et avoir la bonne attitude. C’est à Blanc de suivre ça de près. Il pourra avec ces « nouveaux » changer et appliquer son idée de jeu. Seule une réflexion dans ce sens pourra, selon moi, permettre de repartir sportivement, d’aller chercher l’affection d’un public qui en plus lui laissera le temps de s’imposer. Daniel Riolo Et si Blanc préparait un coup ? Selon France Football, Laurent Blanc aurait dans l'idée de se priver des 23 grévistes de Knysna pour le match amical face à la Norvège du 11 août. Laurent Blanc fourmille d'idées. L'une d'entre elles pourrait faire beaucoup parler d'entrée.(EQ) Dans moins d'un mois (11 août), l'équipe de France remettra son bleu de chauffe, en match amical contre la Norvège à Oslo. Une rencontre qui marquera les débuts du sélectionneur Laurent Blanc. Un rendez-vous qui pourrait surtout faire grand bruit. Selon France Football de vendredi, le technicien envisagerait en effet de ne pas convoquer les 23 grévistes de Knysna (en plus de Nicolas Anelka, exclu auparavant), histoire de marquer son territoire. TAPER DU POING SUR LA TABLE UNE BONNE FOIS POUR TOUTES, SANS POUR AUTANT METTRE EN DANGER LE GROUPE. Pas convaincu par l'idée de sanctionner uniquement les meneurs de la fronde, sur le long terme, "le Président" réfléchirait plutôt à la possibilité, selon le bi-hebdomadaire, de taper du poing sur la table une bonne fois pour toutes, sans pour autant mettre en danger un groupe qui sera très vite engagé par la suite dans une série de matches très importants, début septembre (le 3 contre le Bélarus, le 7 en Bosnie en éliminatoires de l'Euro 2012). Ce serait du jamais-vu ! Mais face à l'absence de réactions des dirigeants du football français, Blanc n'aurait pas trouvé d'autre solution. S'il allait jusqu'au bout de sa logique, son autorité n'en serait que renforcée. Les joueurs potentiellement sélectionnables: * Landreau, Frey, Sorin - Fanni, Chalmé, Ciani, Demont, Rami, Mexès, Boumsong, Sakho, Koscielny, Trémoulinas, Cissokho, M'Bengue - L. Diarra, Sissoko, Mavuba, Be. Cheyrou, Balmont, Pedretti, Aït-Fana, MVila, Nasri, Cabaye - Gameiro, Benzema, Ben Arfa, Rémy, Briand, Ménez, Hoarau ... source:l'équipe.fr Ce message a été modifié par Davor Suker: 16/07/2010, 14:24:43 |
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