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> Le café de Planete Real Madrid
suprareal
* 14/12/2020, 12:02:43
Message #58721


Legende Madridista
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Ah c'est pas par rapport à ce sujet là, je pense il y a pas mal de gens qui doutent vu comment a été géré la crise... Je pense plutôt que ce serait intéressant d'entendre les Fédérations de footballeurs sachant qu'il y a beaucoup de compet et d'argent en jeu.

Juste la dernière fois il y avait un article sur Marca sur la fatigue de certains joueurs de faire un à deux tests de PCR par semaine, d'être out pendant 15 jours en cas d'infection...
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guti.haz14
* 30/12/2020, 23:47:20
Message #58722


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Bas alors lefa on se fait chier ? On appelle l'after pour débriefer . Enfin je pense c'est eux qui t'ont appelé , ils sont en galère à cette époque de l'année .
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lefa
* 31/12/2020, 22:18:47
Message #58723


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CITATION(guti.haz14 @ 30/12/2020, 23:47:20 ) *
Bas alors lefa on se fait chier ? On appelle l'after pour débriefer . Enfin je pense c'est eux qui t'ont appelé , ils sont en galère à cette époque de l'année .



Pour en arriver à vouloir en parler ici alors que tout le monde s'en fout, je me demande qui se fait le plus chier entre nous deux ;)

''
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guti.haz14
* 31/12/2020, 23:39:07
Message #58724


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Ça fait 10 piges que tu passes là-bas, jamais un salam pour le site.
Ils te briefent avant ou comment ça se passe ?
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Nessay
* 01/01/2021, 01:16:34
Message #58725


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Tu a casser Zidane ?
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Madridista For L...
* 18/01/2021, 02:15:10
Message #58726


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Dernière vidéo de Romain Molina sur le modèle économique actuel des grands clubs : https://www.youtube.com/watch?v=dSb2zn5mtQE
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Erwin67
* 24/01/2021, 02:47:12
Message #58727


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Les couches tards lol Quelqu'un aurait un lien pour le combat Poirier vs Conor ?
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Gaia
* 18/02/2021, 19:12:29
Message #58728


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Par rapport au vaccin je pense qu'on le veuille ou non on va tous y passer, surtout si on veut voyager, ils vont trouver des moyens de nous mettre la pression.

Sinon ca fait longtemps, j'espere que tout le monde va bien et est en bonne sante smile.gif
Je retoune regarder ma serie Lupin ph34r.gif J'arrive pas a croire que ca fait un succes aux US cette serie, belle perf.
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mimoun10
* 19/02/2021, 17:15:14
Message #58729


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Très bonne série (pour le moment), les épisodes s'enchaînent très facilement. Par contre, ils ont fait les crevards avec seulement 5 épisodes...
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Ünkut
* 11/03/2021, 23:23:02
Message #58730


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Damn, je viens de me faire la réflexion mais ça fait 11 ans à peu près que je suis sur le forum avec ce pseudo. 13 si on compte l'ancien pseudo, banni du temps de ma folle jeunesse biggrin.gif

Le temps passe vite. 10 ans que je passe TOUS les jours sur ce forum. C'est dingue.
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mimoun10
* 12/03/2021, 00:38:48
Message #58731


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Eh ouais le temps passe vite...
Je me rappelle encore des matchs sous capello regardés avec sopcast sur Windows xp ^^
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Redondo
* 12/03/2021, 09:44:52
Message #58732


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Ah oui sopcast ! Ca rappelle des souvenirs, une autre époque ..

En octobre prochain ça va faire 15 ans que ce forum existe, Ronaldo le brésilien jouait encore au foot, Zidane venait de prendre sa retraite, Raul, Guti, Casillas étaient encore là, on était bloqué à 9 Champion's League, le meilleur buteur de l'histoire du club c'était Raul, Un petit jeune de 20 ans qui s'appelait Ramos disputait sa deuxiième saison, Vinicius et Rodrygo avaient à peine 6-7 ans ..

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Serino
* 12/03/2021, 16:00:42
Message #58733


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CITATION(Redondo @ 12/03/2021, 09:44:52 ) *
Ah oui sopcast ! Ca rappelle des souvenirs, une autre époque ..

En octobre prochain ça va faire 15 ans que ce forum existe, Ronaldo le brésilien jouait encore au foot, Zidane venait de prendre sa retraite, Raul, Guti, Casillas étaient encore là, on était bloqué à 9 Champion's League, le meilleur buteur de l'histoire du club c'était Raul, Un petit jeune de 20 ans qui s'appelait Ramos disputait sa deuxiième saison, Vinicius et Rodrygo avaient à peine 6-7 ans ..


Erreur de topic.

Ce message a été modifié par Serino: 12/03/2021, 18:01:45
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El Canterano
* 12/03/2021, 17:33:20
Message #58734


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Tu t'es trompé de topic.
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Panenka
* 14/03/2021, 16:24:15
Message #58735


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Ne sachant pas trop où le poster...

Streaming illégal, la chasse aux pirates est ouverte


Le piratage des retransmissions sportives est devenu un phénomène endémique, encore accentué par les confinements de 2020 et le fiasco de Mediapro. Les ayants droit et diffuseurs espèrent obtenir vite un cadre légal pour l'éradiquer.

Depuis un an, « Inferno » n'a pas chômé. Au printemps 2020, la Ligue de football espagnole a mis à la disposition d'un projet de recherche scientifique sur le Covid-19 la puissance de calcul de ce super-ordinateur, habituellement dédié à une tout autre lutte : le repérage des matches diffusés par des sites pirates. Le célèbre Rojadirecta en premier lieu, où on trouve toujours, sous le dessin d'un Pierluigi Collina brandissant un carton rouge, des liens quotidiens vers des streams illégaux de dizaines de compétitions. L'accès aux affiches de la Ligue 1 - sauf, en théorie, pour les internautes français, en raison d'une condamnation en justice - comme à une rencontre de deuxième division ouzbek manifestement filmée caméra à l'épaule en tribune.

La popularisation du streaming illégal

Fondé en 2005 par un jeune Galicien fan du Barça, Igor Seoane Minan, le site est devenu l'un des symboles d'un piratage du sport désormais endémique. D'un virus que le directeur général de beIN Media Group, Yousef Al-Obaidly, avait cruellement disséqué lors d'une conférence à Londres en octobre 2019 en prédisant l'explosion de la « splendide bulle des droits » dans une industrie « absolument pas préparée » où, déplorait-il, certains détenteurs de droits « dépensent plus pour leur fête de Noël qu'en mesures antipiratage ». Des propos prophétiques au vu de la situation du foot français, menacé par la baisse des droits après le fiasco de Mediapro.

Au moment de la création de Rojadirecta, la préoccupation des organisateurs et des chaînes était moins ces réseaux pirates de diffusion que les pratiques des nouveaux géants du Web. La Ligue de football professionnel (LFP) et la Fédération française de tennis se retrouvèrent ainsi parties d'une action collective contre YouTube au motif que des utilisateurs y mettaient en ligne des images.

« C'était un peu David contre Goliath, on a alors été un des rares ayants droit à s'attaquer à ces géants avec qui on entretient de très bonnes relations aujourd'hui, se souvient Émilie Montané, directrice médias de la FFT. On a aussi été parmi les premiers à travailler avec des sociétés qui parcourent le Web pour vérifier quels contenus étaient disponibles. » L'accès généralisé au très haut débit a depuis popularisé le streaming illégal, qui permet de regarder facilement des compétitions en direct de manière relativement fluide, avec un décalage d'à peine quelques secondes avec la retransmission

En France, ils sont des millions à s'approvisionner gratuitement par ce biais. D'après l'institut Médiamétrie, on comptait 626 000 téléspectateurs pirates en moyenne lors de chaque journée de L1 en 2020, et une journée de Top 14 ou un Grand Prix de F1 peut frôler les 200 000 spectateurs pirates. « Nous savons que sur des matches iconiques comme PSG-OM, il y a au moins autant de spectateurs licites qu'illicites », évalue Julien Taieb, responsable des affaires juridiques de la LFP.

Dans un sport français dont l'économie dépend pour 30 % environ des droits télé, l'addition est salée : au moins 80 millions d'euros de pertes annuelles selon une estimation « limitée » dévoilée début décembre par la Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi), plusieurs centaines de millions selon les diffuseurs. Qui utilisent cet argument pour négocier les droits à la baisse : mi-janvier, le président du directoire du groupe Canal+, Maxime Saada, estimait dans Le Figaro que le football français avait assisté depuis l'arrivée de Mediapro à une « croissance exponentielle du piratage ».

Les effets du Covid

Il n'y a pas que le foot qui s'inquiète. « Je viens du monde du golf et toutes les compétitions sont piratées, notamment les Majeurs ou la Ryder Cup. Le seul avantage par rapport à d'autres sports, c'est qu'on a un peu plus de temps pour faire retirer le contenu piraté », témoigne Mark Lichtenhein, président de la Sports Rights Owners Coalition (SROC), une association européenne d'ayants droit.

En 2019, Adam Silver, le patron de la NBA, s'était inquiété du gouffre entre l'intérêt manifeste du jeune public pour sa ligue et son faible penchant pour l'abonnement télévisé. Dans le monde de la boxe, de récents combats de Floyd Mayweather ou Tyson Fury ont fait l'objet d'un piratage massif.

Une percée que le contexte extraordinaire de ces derniers mois a accentué. « Sur tous les types de piratage, on était début 2020 sur une baisse assez encourageante et on en a perdu l'effet. Bien sûr, il n'y a pas eu de sport pendant le confinement mais c'est reparti très fort à partir de l'été », souligne Pauline Blassel, la secrétaire générale de l'Hadopi, qui a comptabilisé pas moins de 3,4 millions de pirates en live streaming en septembre dernier.

En écho, Mathieu Moreuil, directeur des relations internationales de la Premier League britannique, a fait le constat, sur la fin repoussée de la saison 2019-20, d'« une hausse d'un tiers du nombre de liens détectés, même si on ne peut pas dire que c'est uniquement dû à la pandémie ». Le confinement a créé un brusque sevrage, et peut-être une fringale en rattrapage.

Les contraintes sanitaires ont, ces derniers mois, privé de très nombreux fans (plus de 200 000 chaque semaine pour la seule Ligue 1) de leur pèlerinage hebdomadaire en tribunes. Elles ont aussi gêné ou empêché les rassemblements en famille, entre amis ou dans les bars pour regarder du sport.

Un piratage très facile d'accès

À cela est venue s'ajouter, en France, l'arrivée d'un nouveau diffuseur. Du vivant de la chaîne Téléfoot, un des principaux sites français de streaming illégal avertissait en page d'accueil, logos des diffuseurs officiels à l'appui, qu'ils avaient le choix entre pirater et « dépenser 89 euros par mois pour assister à tous les matches ». « Il est assez classique d'observer une recrudescence du piratage dès qu'on change de diffuseur, analyse le consultant en droits télé Pierre Maes. Pour qu'un client s'abonne à une offre légale, il faut que le prix soit accessible et que l'offre soit lisible et compréhensible. En France, on ne coche aucune des deux cases. »

De quoi, comme lors du lancement parfois chaotique de RMC Sport à l'automne 2018, faire de la fragmentation de l'offre une cible idéale, même si la directrice juridique de beIN Sports, Caroline Guenneteau, nuance : « Le facteur essentiel est que le piratage est très facile d'accès : il suffit de chercher sur Google pour avoir accès à un match dans une très bonne qualité et avec des commentaires en français. Tant qu'on ne mettra pas un terme à cette facilité technique, le piratage prospérera. »

Une facilité qui a atteint de nouveaux niveaux de sophistication avec l'IPTV, un service de streaming pirate permettant, via une box ou une application et un abonnement de quelques euros par mois, d'accéder à plusieurs milliers de chaînes et de programmes en vidéo à la demande.

Selon une estimation de l'Hadopi, cette technologie compte au moins 1,8 million d'utilisateurs en France, avec des revendeurs qui se multiplient et n'hésitent pas à proposer un véritable SAV : « Un mois avant l'arrivée de Téléfoot, le type qui me fournit avait laissé une annonce sur une messagerie sécurisée : "Vous inquiétez pas, la famille, vous aurez Téléfoot le jour 1" », se souvient Julien, employé dans un grand groupe bancaire et abonné IPTV.

Ces derniers mois, plusieurs procès contre des revendeurs français ont eu lieu et, au niveau européen, des milliers de serveurs de piratage on été saisis. « On ne parle pas de nerds astucieux de Seattle mais de criminels qui ont une stratégie, savent l'appliquer et adapter leur offre », tranche Sergio Tirrò, responsable de la lutte contre les crimes envers la propriété intellectuelle à Europol. Une organisation dont les consommateurs n'ont pas forcément conscience : « Ce que vous voyez en façade, ce sont surtout les revendeurs, qui achètent eux-mêmes l'accès à un service via des grossistes, qui eux-mêmes l'achètent via de super grossistes... », énumère Frédéric Delacroix, secrétaire général de l'Association de lutte contre la piraterie audiovisuelle (Alpa).

    Une pratique massive et coûteuse
    626 000 téléspectateurs pirates en moyenne pour une journée de L1 en 2020. 1,8 million d'utilisateurs en France d'IPTV, service de streaming pirate. 80 millions d'euros de pertes estimées de recettes annuelles d'abonnement pour les diffuseurs.
    Sources : Médiamétrie, Hadopi (estimations)


Dans une récente étude mondiale, le fournisseur vidéo Synamedia distinguait, en une métaphore maritime, deux types de pirates : les « boucaniers d'Internet » piratent car ils considèrent ne pas pouvoir s'offrir d'abonnement ; les « pilleurs de contenus », parce que c'est possible et pratique, et y voient peu d'objections morales.

Prise de conscience progressive

Une distinction qui souligne la nécessité de lutter sur deux fronts, prévention et répression : l'élaboration d'une offre légale attractive et la mise hors ligne des contenus illégaux. Sur ces sujets, estime Pierre Maes, l'industrie du sport a été lente au démarrage, comme les majors de la musique après les prospères années CD : « Il y a d'abord une première phase qui est le déni, "ça n'existe pas". Puis, vous vous faites rattraper par les chiffres. »

Secrétaire général de l'Association de protection des programmes sportifs (APPS), qui rassemble une quinzaine de fédérations et de diffuseurs, Arnaud Decker reconnaît que la prise de conscience, puis de parole, a été progressive : « On avait une vision un peu ambivalente, on se disait que plus on parlait du piratage en place publique, plus on risquait d'y inciter. Mais on s'est dit que le manque à gagner en chiffre d'affaires et en abonnés était tel qu'il fallait qu'on se concerte et qu'on négocie avec les moteurs de recherche, les hébergeurs et les réseaux sociaux. »

Au quotidien, la lutte des ayants droit passe par des tentatives de blocage en direct des contenus illicites, identifiés grâce à un watermarking. Une procédure complexe, affirme Caroline Guenneteau, qui avance « des taux de retrait de 20 à 30 %, la plupart du temps après les matches ». « Toute la chaîne de surveillance, de la détection de la marque au retour vers l'opérateur pour qu'il bloque le stream, doit se faire sur la base d'une quinzaine ou de vingtaine de minutes », détaille Jean-Philippe Plantevin, vice-président chargé des services antipiratage de la société Nagra.

Nouvelle proposition de loi

Évoquant une « crispation », plusieurs acteurs du secteur soulignent les relations complexes entre les ayants droit et les intermédiaires techniques, notamment les fournisseurs d'accès Internet. Ce qui a poussé le législateur à se saisir du sujet avec, en tête, les systèmes mis en place au Portugal ou en Angleterre pour obtenir le blocage des sites pirates dans la durée.

La mesure aurait dû passer par la réforme de l'audiovisuel ébauchée par le gouvernement en 2019, mais l'examen de ce texte touffu et polémique a été gelé par la crise sanitaire. Dans un contexte rendu encore plus pressant par l'échec de Mediapro, la majorité LREM a donc intégré le sujet dans une proposition de loi, bien plus resserrée, sur la démocratisation du sport français, qui sera examinée à l'Assemblée à partir du 16 mars.

Le texte prévoit non seulement que les ayants droit puissent demander le blocage d'un site qui piraterait leurs contenus mais aussi qu'ils puissent obtenir de la justice une « ordonnance dynamique » permettant, en concertation avec le régulateur, de bloquer durant toute une saison les « sites miroirs », les éventuels clones que les pirates pourraient créer à une autre adresse. « L'objectif est de ne pas rester statique, mais d'être rapide car on mène un jeu du chat et de la souris », résume le député LREM des Alpes-Maritimes, Cédric Roussel, un des co-rapporteurs du texte.

Les promoteurs du dispositif insistent aussi sur la nécessité de faire prendre conscience aux fans du poids des droits dans l'économie du sport, pro comme amateur, au travers des 60 millions d'euros annuels reversés au titre de la « taxe Buffet ». « Le piratage dévalorise le travail de beaucoup de gens. Vous pouvez dire que vous vous fichez de Cristiano Ronaldo car il est multimillionnaire mais une énorme industrie travaille derrière », souligne Jean-Philippe Plantevin de la société Nagra.

« Faire prendre conscience de la réalité, à court terme, du modèle économique permettrait aux passionnés de sport de comprendre que le geste de pirater n'est peut-être pas anodin pour leur club », complète Cédric Roussel, tout en appelant à une réflexion des diffuseurs sur « le coût de l'abonnement et la compréhension des offres ».

À l'étranger, plusieurs fédérations et ligues ont mis en place des campagnes de prévention. En Italie, au début de la saison dernière, une campagne publicitaire montrait ainsi un bambin dans un stade déserté, des mauvaises herbes envahissant les travées vides, sous l'intitulé « Le piratage tue le football ». Quelques mois plus tard, Covid oblige, l'image est quasiment devenue réalité. Qu'en sera-t-il du slogan ?

L'Equipe


Ce message a été modifié par Panenka: 14/03/2021, 16:25:14
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Serino
* 14/03/2021, 17:35:39
Message #58736


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CITATION(Panenka @ 14/03/2021, 16:24:15 ) *
Ne sachant pas trop où le poster...

Streaming illégal, la chasse aux pirates est ouverte


Le piratage des retransmissions sportives est devenu un phénomène endémique, encore accentué par les confinements de 2020 et le fiasco de Mediapro. Les ayants droit et diffuseurs espèrent obtenir vite un cadre légal pour l'éradiquer.

Depuis un an, « Inferno » n'a pas chômé. Au printemps 2020, la Ligue de football espagnole a mis à la disposition d'un projet de recherche scientifique sur le Covid-19 la puissance de calcul de ce super-ordinateur, habituellement dédié à une tout autre lutte : le repérage des matches diffusés par des sites pirates. Le célèbre Rojadirecta en premier lieu, où on trouve toujours, sous le dessin d'un Pierluigi Collina brandissant un carton rouge, des liens quotidiens vers des streams illégaux de dizaines de compétitions. L'accès aux affiches de la Ligue 1 - sauf, en théorie, pour les internautes français, en raison d'une condamnation en justice - comme à une rencontre de deuxième division ouzbek manifestement filmée caméra à l'épaule en tribune.

La popularisation du streaming illégal

Fondé en 2005 par un jeune Galicien fan du Barça, Igor Seoane Minan, le site est devenu l'un des symboles d'un piratage du sport désormais endémique. D'un virus que le directeur général de beIN Media Group, Yousef Al-Obaidly, avait cruellement disséqué lors d'une conférence à Londres en octobre 2019 en prédisant l'explosion de la « splendide bulle des droits » dans une industrie « absolument pas préparée » où, déplorait-il, certains détenteurs de droits « dépensent plus pour leur fête de Noël qu'en mesures antipiratage ». Des propos prophétiques au vu de la situation du foot français, menacé par la baisse des droits après le fiasco de Mediapro.

Au moment de la création de Rojadirecta, la préoccupation des organisateurs et des chaînes était moins ces réseaux pirates de diffusion que les pratiques des nouveaux géants du Web. La Ligue de football professionnel (LFP) et la Fédération française de tennis se retrouvèrent ainsi parties d'une action collective contre YouTube au motif que des utilisateurs y mettaient en ligne des images.

« C'était un peu David contre Goliath, on a alors été un des rares ayants droit à s'attaquer à ces géants avec qui on entretient de très bonnes relations aujourd'hui, se souvient Émilie Montané, directrice médias de la FFT. On a aussi été parmi les premiers à travailler avec des sociétés qui parcourent le Web pour vérifier quels contenus étaient disponibles. » L'accès généralisé au très haut débit a depuis popularisé le streaming illégal, qui permet de regarder facilement des compétitions en direct de manière relativement fluide, avec un décalage d'à peine quelques secondes avec la retransmission

En France, ils sont des millions à s'approvisionner gratuitement par ce biais. D'après l'institut Médiamétrie, on comptait 626 000 téléspectateurs pirates en moyenne lors de chaque journée de L1 en 2020, et une journée de Top 14 ou un Grand Prix de F1 peut frôler les 200 000 spectateurs pirates. « Nous savons que sur des matches iconiques comme PSG-OM, il y a au moins autant de spectateurs licites qu'illicites », évalue Julien Taieb, responsable des affaires juridiques de la LFP.

Dans un sport français dont l'économie dépend pour 30 % environ des droits télé, l'addition est salée : au moins 80 millions d'euros de pertes annuelles selon une estimation « limitée » dévoilée début décembre par la Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi), plusieurs centaines de millions selon les diffuseurs. Qui utilisent cet argument pour négocier les droits à la baisse : mi-janvier, le président du directoire du groupe Canal+, Maxime Saada, estimait dans Le Figaro que le football français avait assisté depuis l'arrivée de Mediapro à une « croissance exponentielle du piratage ».

Les effets du Covid

Il n'y a pas que le foot qui s'inquiète. « Je viens du monde du golf et toutes les compétitions sont piratées, notamment les Majeurs ou la Ryder Cup. Le seul avantage par rapport à d'autres sports, c'est qu'on a un peu plus de temps pour faire retirer le contenu piraté », témoigne Mark Lichtenhein, président de la Sports Rights Owners Coalition (SROC), une association européenne d'ayants droit.

En 2019, Adam Silver, le patron de la NBA, s'était inquiété du gouffre entre l'intérêt manifeste du jeune public pour sa ligue et son faible penchant pour l'abonnement télévisé. Dans le monde de la boxe, de récents combats de Floyd Mayweather ou Tyson Fury ont fait l'objet d'un piratage massif.

Une percée que le contexte extraordinaire de ces derniers mois a accentué. « Sur tous les types de piratage, on était début 2020 sur une baisse assez encourageante et on en a perdu l'effet. Bien sûr, il n'y a pas eu de sport pendant le confinement mais c'est reparti très fort à partir de l'été », souligne Pauline Blassel, la secrétaire générale de l'Hadopi, qui a comptabilisé pas moins de 3,4 millions de pirates en live streaming en septembre dernier.

En écho, Mathieu Moreuil, directeur des relations internationales de la Premier League britannique, a fait le constat, sur la fin repoussée de la saison 2019-20, d'« une hausse d'un tiers du nombre de liens détectés, même si on ne peut pas dire que c'est uniquement dû à la pandémie ». Le confinement a créé un brusque sevrage, et peut-être une fringale en rattrapage.

Les contraintes sanitaires ont, ces derniers mois, privé de très nombreux fans (plus de 200 000 chaque semaine pour la seule Ligue 1) de leur pèlerinage hebdomadaire en tribunes. Elles ont aussi gêné ou empêché les rassemblements en famille, entre amis ou dans les bars pour regarder du sport.

Un piratage très facile d'accès

À cela est venue s'ajouter, en France, l'arrivée d'un nouveau diffuseur. Du vivant de la chaîne Téléfoot, un des principaux sites français de streaming illégal avertissait en page d'accueil, logos des diffuseurs officiels à l'appui, qu'ils avaient le choix entre pirater et « dépenser 89 euros par mois pour assister à tous les matches ». « Il est assez classique d'observer une recrudescence du piratage dès qu'on change de diffuseur, analyse le consultant en droits télé Pierre Maes. Pour qu'un client s'abonne à une offre légale, il faut que le prix soit accessible et que l'offre soit lisible et compréhensible. En France, on ne coche aucune des deux cases. »

De quoi, comme lors du lancement parfois chaotique de RMC Sport à l'automne 2018, faire de la fragmentation de l'offre une cible idéale, même si la directrice juridique de beIN Sports, Caroline Guenneteau, nuance : « Le facteur essentiel est que le piratage est très facile d'accès : il suffit de chercher sur Google pour avoir accès à un match dans une très bonne qualité et avec des commentaires en français. Tant qu'on ne mettra pas un terme à cette facilité technique, le piratage prospérera. »

Une facilité qui a atteint de nouveaux niveaux de sophistication avec l'IPTV, un service de streaming pirate permettant, via une box ou une application et un abonnement de quelques euros par mois, d'accéder à plusieurs milliers de chaînes et de programmes en vidéo à la demande.

Selon une estimation de l'Hadopi, cette technologie compte au moins 1,8 million d'utilisateurs en France, avec des revendeurs qui se multiplient et n'hésitent pas à proposer un véritable SAV : « Un mois avant l'arrivée de Téléfoot, le type qui me fournit avait laissé une annonce sur une messagerie sécurisée : "Vous inquiétez pas, la famille, vous aurez Téléfoot le jour 1" », se souvient Julien, employé dans un grand groupe bancaire et abonné IPTV.

Ces derniers mois, plusieurs procès contre des revendeurs français ont eu lieu et, au niveau européen, des milliers de serveurs de piratage on été saisis. « On ne parle pas de nerds astucieux de Seattle mais de criminels qui ont une stratégie, savent l'appliquer et adapter leur offre », tranche Sergio Tirrò, responsable de la lutte contre les crimes envers la propriété intellectuelle à Europol. Une organisation dont les consommateurs n'ont pas forcément conscience : « Ce que vous voyez en façade, ce sont surtout les revendeurs, qui achètent eux-mêmes l'accès à un service via des grossistes, qui eux-mêmes l'achètent via de super grossistes... », énumère Frédéric Delacroix, secrétaire général de l'Association de lutte contre la piraterie audiovisuelle (Alpa).

    Une pratique massive et coûteuse
    626 000 téléspectateurs pirates en moyenne pour une journée de L1 en 2020. 1,8 million d'utilisateurs en France d'IPTV, service de streaming pirate. 80 millions d'euros de pertes estimées de recettes annuelles d'abonnement pour les diffuseurs.
    Sources : Médiamétrie, Hadopi (estimations)


Dans une récente étude mondiale, le fournisseur vidéo Synamedia distinguait, en une métaphore maritime, deux types de pirates : les « boucaniers d'Internet » piratent car ils considèrent ne pas pouvoir s'offrir d'abonnement ; les « pilleurs de contenus », parce que c'est possible et pratique, et y voient peu d'objections morales.

Prise de conscience progressive

Une distinction qui souligne la nécessité de lutter sur deux fronts, prévention et répression : l'élaboration d'une offre légale attractive et la mise hors ligne des contenus illégaux. Sur ces sujets, estime Pierre Maes, l'industrie du sport a été lente au démarrage, comme les majors de la musique après les prospères années CD : « Il y a d'abord une première phase qui est le déni, "ça n'existe pas". Puis, vous vous faites rattraper par les chiffres. »

Secrétaire général de l'Association de protection des programmes sportifs (APPS), qui rassemble une quinzaine de fédérations et de diffuseurs, Arnaud Decker reconnaît que la prise de conscience, puis de parole, a été progressive : « On avait une vision un peu ambivalente, on se disait que plus on parlait du piratage en place publique, plus on risquait d'y inciter. Mais on s'est dit que le manque à gagner en chiffre d'affaires et en abonnés était tel qu'il fallait qu'on se concerte et qu'on négocie avec les moteurs de recherche, les hébergeurs et les réseaux sociaux. »

Au quotidien, la lutte des ayants droit passe par des tentatives de blocage en direct des contenus illicites, identifiés grâce à un watermarking. Une procédure complexe, affirme Caroline Guenneteau, qui avance « des taux de retrait de 20 à 30 %, la plupart du temps après les matches ». « Toute la chaîne de surveillance, de la détection de la marque au retour vers l'opérateur pour qu'il bloque le stream, doit se faire sur la base d'une quinzaine ou de vingtaine de minutes », détaille Jean-Philippe Plantevin, vice-président chargé des services antipiratage de la société Nagra.

Nouvelle proposition de loi

Évoquant une « crispation », plusieurs acteurs du secteur soulignent les relations complexes entre les ayants droit et les intermédiaires techniques, notamment les fournisseurs d'accès Internet. Ce qui a poussé le législateur à se saisir du sujet avec, en tête, les systèmes mis en place au Portugal ou en Angleterre pour obtenir le blocage des sites pirates dans la durée.

La mesure aurait dû passer par la réforme de l'audiovisuel ébauchée par le gouvernement en 2019, mais l'examen de ce texte touffu et polémique a été gelé par la crise sanitaire. Dans un contexte rendu encore plus pressant par l'échec de Mediapro, la majorité LREM a donc intégré le sujet dans une proposition de loi, bien plus resserrée, sur la démocratisation du sport français, qui sera examinée à l'Assemblée à partir du 16 mars.

Le texte prévoit non seulement que les ayants droit puissent demander le blocage d'un site qui piraterait leurs contenus mais aussi qu'ils puissent obtenir de la justice une « ordonnance dynamique » permettant, en concertation avec le régulateur, de bloquer durant toute une saison les « sites miroirs », les éventuels clones que les pirates pourraient créer à une autre adresse. « L'objectif est de ne pas rester statique, mais d'être rapide car on mène un jeu du chat et de la souris », résume le député LREM des Alpes-Maritimes, Cédric Roussel, un des co-rapporteurs du texte.

Les promoteurs du dispositif insistent aussi sur la nécessité de faire prendre conscience aux fans du poids des droits dans l'économie du sport, pro comme amateur, au travers des 60 millions d'euros annuels reversés au titre de la « taxe Buffet ». « Le piratage dévalorise le travail de beaucoup de gens. Vous pouvez dire que vous vous fichez de Cristiano Ronaldo car il est multimillionnaire mais une énorme industrie travaille derrière », souligne Jean-Philippe Plantevin de la société Nagra.

« Faire prendre conscience de la réalité, à court terme, du modèle économique permettrait aux passionnés de sport de comprendre que le geste de pirater n'est peut-être pas anodin pour leur club », complète Cédric Roussel, tout en appelant à une réflexion des diffuseurs sur « le coût de l'abonnement et la compréhension des offres ».

À l'étranger, plusieurs fédérations et ligues ont mis en place des campagnes de prévention. En Italie, au début de la saison dernière, une campagne publicitaire montrait ainsi un bambin dans un stade déserté, des mauvaises herbes envahissant les travées vides, sous l'intitulé « Le piratage tue le football ». Quelques mois plus tard, Covid oblige, l'image est quasiment devenue réalité. Qu'en sera-t-il du slogan ?

L'Equipe


Merci Panenka pour ce partage hyper intéressant !

Il y a tellement à dire mais en ce qui me concerne j'ai envie de dire que tant qu'on fragmentera autant les diffusions (Bein Sports pour telle ligue, RMC pour la Champions etc) bah ça ne m'incitera pas à payer un abonnement car il en faudrait plusieurs.

Autre chose, je ne peux plus passer autant de temps qu'avant à regarder tous les matchs et cela ne m'intéresse pas. Par contre pouvoir payer au match pour les rencontres qui m'intéressent serait top, genre 2 euros .

Qu'il y ait plusieurs diffuseurs pourquoi pas, mais il faudrait un accès unique avec un abonnement unique et les diffuseurs se démerdent pour récupérer l'argent suivant les matchs qu'ils diffusent. Idéal mais utopique ?
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Panenka
* 14/03/2021, 18:47:12
Message #58737


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Oui perso je bénéficie de l'abonnement de mes parents qui habitent encore en Belgique. C'est accessible en France sans vpn.

Pour 15 euros par mois, j'ai Liga + C1, avec en option Serie A et Bundesliga, ainsi que des chaînes déjà par l'opérateur comme Eurosport (vital pour le tennis).

Quelque part je suis content de faire vivre le business (encore que), mais on va dire que je suis pas prêt à mettre beaucoup plus, même si j'aimerais bien avoir la PL.

Si un pote me file des codes Canal, j'en profite pour regarder la PL éventuellement, mais je pense que je paierais jamais un abonnement supérieur de plus juste pour ça.

Faut vraiment qu'ils trouvent un moyen de faire plus de volume (en audience) avec un tarif plus bas.

Pareil, comme je bosse dans le ciné, je dois avoir 3-4 abonnements de plateforme plus un abonnement UGC duo (pour faire profiter la copine + famille/amis). Mais même si je rentabilise en tournant à 5 films par semaine (+ des heures de séries), je trouve que je raque déjà énormément...

Tu rajoutes Spotify, c'est un délire. (en nuançant que comme pour les plateformes, ces abonnements-là peuvent être partagés avec la famille, ce qui rend le tout encore raisonnable.

Ce message a été modifié par Panenka: 14/03/2021, 18:54:42
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Serino
* 15/03/2021, 11:35:06
Message #58738


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CITATION(Panenka @ 14/03/2021, 18:47:12 ) *
Oui perso je bénéficie de l'abonnement de mes parents qui habitent encore en Belgique. C'est accessible en France sans vpn.

Pour 15 euros par mois, j'ai Liga + C1, avec en option Serie A et Bundesliga, ainsi que des chaînes déjà par l'opérateur comme Eurosport (vital pour le tennis).

Quelque part je suis content de faire vivre le business (encore que), mais on va dire que je suis pas prêt à mettre beaucoup plus, même si j'aimerais bien avoir la PL.

Si un pote me file des codes Canal, j'en profite pour regarder la PL éventuellement, mais je pense que je paierais jamais un abonnement supérieur de plus juste pour ça.

Faut vraiment qu'ils trouvent un moyen de faire plus de volume (en audience) avec un tarif plus bas.

Pareil, comme je bosse dans le ciné, je dois avoir 3-4 abonnements de plateforme plus un abonnement UGC duo (pour faire profiter la copine + famille/amis). Mais même si je rentabilise en tournant à 5 films par semaine (+ des heures de séries), je trouve que je raque déjà énormément...

Tu rajoutes Spotify, c'est un délire. (en nuançant que comme pour les plateformes, ces abonnements-là peuvent être partagés avec la famille, ce qui rend le tout encore raisonnable.


Les 15€ d'abonnement c'est chez qui ?

Oui l'accumulation des abonnements ca devient un vrai problème...
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Panenka
* 15/03/2021, 11:48:27
Message #58739


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Je crois que ça s'appelle Eleven Sports le truc, en tout cas l'opérateur c'est Proximus.
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Nessay
* 15/03/2021, 20:42:11
Message #58740


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Les gars je comprend pas votre discussion. L'iptv vous connaissez pas ? 120 euro maximum/an pour le plus gros serveur (Premium OTT) donc 10€ par mois et vous aurez tout. Les canal, Rmc, Bein, basket, sport américain, sport de combat, sport canadien, tout les films, toute les séries peut importe la plateforme (Netflix, Amazon, etc), toutes les émissions française (The voice, Koh Lanta, Les marseillais, meilleur pâtissier, etc), tout a la demande sans 1 euro de plus.

Toutes les chaînes francaise, belge (Francophone et Flammande), hollandaise, allemande, Turc, italienne, africaine (Maroc, Algérie, Liban, Congo,..), américaine, espagnol, Canadienne, albanaise, suisse, portugaise, anglaise, etc etc en FULL HD

L'abonnement varie entre 90 et 120 euro l'année pour le Premieum Ott

Ce message a été modifié par Nessay: 15/03/2021, 20:44:11
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