Jacobo Ramón Options

[madrid25000]

Il a fait ses débuts en équipe première lors de la victoire 5-1 face à Salzbourg en LDC. En ce jour, il est revenu au Castilla, tel un Sergio Ramos (qui avait marqué un doublé face au Bayern et Naples en LDC, même si les plus pointilleux souligneront que son deuxième but était un CSC d'un napolitain), il a su marquer un doublé, de la tête, certes pas au même niveau, mais un doublé décisif permettant à l'équipe de Raul de récolter un précieux point face à la réserve de Villarreal.

Voici un article de AS à ce sujet :

Le Castilla a réalisé l’un de ces matchs qui, en début de saison, se seraient soldés par une défaite certaine, mais qui, grâce à une nette amélioration générale et au retour de certains éléments clés, peuvent désormais être sauvés au moins avec un match nul. C’est notamment le cas grâce à Jacobo Ramón, le sauveur face à Villarreal B au stade Di Stéfano, avec un doublé spectaculaire qui démontre que ses qualités ne sont pas uniquement défensives. C'est un défenseur central tranchant, un profil qui s’inscrit parfaitement dans l’histoire du club.

Jacobo a répondu aux buts de Villarreal B par deux coups de tête. L’équipe adverse, dotée d’une belle qualité technique et d’un jeu offensif intense, a également profité d’une très mauvaise journée du gardien Piñeiro. Ce dernier a commencé son calvaire en encaissant le 0-1 sur une frappe exceptionnelle d’Eyong depuis une distance lointaine. Le Camerounais, auteur de 12 buts cette saison, a démontré pourquoi son nom circule déjà pour une éventuelle promotion en équipe première à court terme. Son tir était tout simplement parfait, difficilement améliorable, mais Piñeiro lui a facilité la tâche en étant bien trop avancé par rapport aux exigences de l’action.

Cet épisode a marqué le gardien, qui a douté sur chaque ballon aérien jusqu’à la fin du match. Pourtant, malgré ce début compliqué, le Castilla a su réagir et prendre le contrôle du jeu en exploitant des espaces dans l’axe du terrain adverse. Jacobo, Chema, Manuel Ángel, Fortuny et enfin Víctor Muñoz ont assuré la fluidité offensive de l’équipe madrilène, qui a été récompensée par un coup franc bien frappé par Fortuny et repris de la tête par Jacobo, totalement démarqué.

Le Castilla a insisté dans cette voie et aurait mérité davantage, en grande partie grâce à l’impact de Víctor Muñoz, qui a continué à se montrer inspiré. L’équipe aurait pu atteindre la pause en menant, mais une erreur arbitrale de Pozueta Rodríguez l’en a empêchée. Solá a clairement fait faute sur Fortuny alors que ce dernier pénétrait dans la surface après un superbe échange avec David Jiménez. L’arbitre a immédiatement rejeté toute idée de penalty, mais les ralentis ont montré que Fortuny avait le contrôle du ballon et une position favorable, tandis que le contact avec Solá était évident. De plus, ce dernier était déjà averti. Cette décision a privé le Castilla d’un possible 2-1 avec toute une seconde période à jouer en supériorité numérique.

Peut-être encore marqué par cette injustice, le Castilla a entamé la seconde mi-temps de manière fébrile, ce qui a conduit au 1-2, avec une nouvelle erreur de Piñeiro. Le gardien n’a pas su capter un ballon relativement simple, qui lui a échappé des mains, sans doute aussi en raison de la pluie intermittente. Un joueur de Villarreal B en a profité pour remettre le ballon dans la surface, où Valverde, qui disputait son premier match avec la filiale de Villarreal), a redonné l’avantage à son équipe.

Si en première période le Castilla avait bien réagi, cette fois-ci, il a semblé sonné pendant plusieurs minutes, permettant à Villarreal B d’avoir plusieurs opportunités de sceller la rencontre. Mais les visiteurs n’en ont pas profité, et Raúl a pris les devants en modifiant son système défensif à quatre et en rafraîchissant l’attaque avec les entrées de Yáñez et Borja. Le Castilla a attaqué avec plus d’énergie que de lucidité, mais a insisté jusqu’à trouver une brèche sur le côté gauche. C’est de là que Borja a envoyé un centre parfait repris de la tête par Jacobo, qui a mis à profit son gabarit imposant (près de 1m90) pour envoyer le ballon au fond des filets.

Ainsi, Jacobo a signé un doublé lors de la semaine de son premier match avec l’équipe première en Ligue des champions face à Salzbourg, et a permis au Castilla d’arracher un point précieux. L’équipe madrilène affiche désormais un tout autre visage par rapport à la première moitié de saison.

https://as.com/futbol/mas_futbol/san-jacobo-al-rescate-n/

[madrid25000]

Sans Rüdiger ni Alaba : Jacobo Ramón. La vague de blessures frappe la défense et la pole position revient à Jaco. Une revanche après Leganés. Son heure est venue de se faire remarquer. Comme il le fait avec le Castilla depuis que ses blessures appartiennent au passé. Les pépins physiques l’ont éloigné du début de saison et l’opportunité a été saisie par Asencio, mais dans cette dernière ligne droite, il va prendre l’ascenseur. Il le fait après s’être affirmé comme le káiser du Castilla. Et comme porte-bonheur.

Car 15 matchs plus tard, le Castilla a cédé. Du Ceuta au Ceuta. D’une défaite 2-1 à l’Alfonso Murube à un 0-1 au Di Stéfano. Deux revers séparés par une série tonitruante. Du flirt avec la relégation à celui avec les hauteurs du classement. Avec des barrages qui, après ce faux pas, paraissent chimériques (à sept points). Deux défaites avec un dénominateur commun : l’absence de Jacobo. Le défenseur avait écopé de son cinquième carton jaune lors de la victoire face au Recre (1-4) et a manqué la réception du leader. Dimanche (contre Marbella), il pourra jouer, mais il fait désormais partie des grands…

Invaincu En Primera RFEF, il est déterminant. Les pépins musculaires l’ont torturé au départ, mais une fois remis, il a retrouvé du rythme. Et sur ses épaules s’est bâtie une bonne partie de la remontée de la réserve. Un Castilla plus solide, qui s’est construit depuis sa défense. L’importance de Jaco se mesure aussi en chiffres. Sur les 15 matchs qu’il a disputés : six victoires et neuf nuls. Pas une défaite. Et seulement 11 buts encaissés, soit 0,7 par match. Sans lui : quatre victoires, sept nuls et huit défaites cette saison pour le Castilla. Avec 23 buts encaissés en 19 matchs, soit 1,2 par rencontre.

Une différence plus que notable. Et qui renforce le ressenti interne au club, où l’on continue de penser à Jacobo comme un défenseur central au potentiel pour la première équipe. On estime que son premier match comme titulaire, à Butarque en Coupe, fut un accident. Le fruit de l’inexpérience. Et voilà qu’arrive son examen de passage.

Son heure Très apprécié par Ancelotti, celui-ci l’avait défendu après Leganés : « Ce n’est pas pour aujourd’hui. Il a payé le prix du premier match avec l’équipe première. Il est très bon. Il va mieux jouer, j’en suis convaincu. » Son opportunité de le prouver va arriver.

La seule voie qui pourrait l’empêcher d’apparaître régulièrement avec les A est le Castilla. Que Raúl demande à Ancelotti, avec qui il entretient d’excellentes relations, de le laisser continuer à jouer ses cartes pour la montée avec l’un de ses piliers. Un rêve compliqué, mais encore envisageable à La Fábrica. Et pour réaliser cet exploit, Raúl a besoin de son porte-bonheur. Même si tout indique qu’il devra tenter l’impossible sans lui.

https://as.com/futbol/primera/la-revalida-de-jacobo-ramon-n/

[Medson]

Sans Rüdiger ni Alaba : Jacobo Ramón. La vague de blessures frappe la défense et la pole position revient à Jaco. Une revanche après Leganés. Son heure est venue de se faire remarquer. Comme il le fait avec le Castilla depuis que ses blessures appartiennent au passé. Les pépins physiques l’ont éloigné du début de saison et l’opportunité a été saisie par Asencio, mais dans cette dernière ligne droite, il va prendre l’ascenseur. Il le fait après s’être affirmé comme le káiser du Castilla. Et comme porte-bonheur.

Car 15 matchs plus tard, le Castilla a cédé. Du Ceuta au Ceuta. D’une défaite 2-1 à l’Alfonso Murube à un 0-1 au Di Stéfano. Deux revers séparés par une série tonitruante. Du flirt avec la relégation à celui avec les hauteurs du classement. Avec des barrages qui, après ce faux pas, paraissent chimériques (à sept points). Deux défaites avec un dénominateur commun : l’absence de Jacobo. Le défenseur avait écopé de son cinquième carton jaune lors de la victoire face au Recre (1-4) et a manqué la réception du leader. Dimanche (contre Marbella), il pourra jouer, mais il fait désormais partie des grands…

Invaincu En Primera RFEF, il est déterminant. Les pépins musculaires l’ont torturé au départ, mais une fois remis, il a retrouvé du rythme. Et sur ses épaules s’est bâtie une bonne partie de la remontée de la réserve. Un Castilla plus solide, qui s’est construit depuis sa défense. L’importance de Jaco se mesure aussi en chiffres. Sur les 15 matchs qu’il a disputés : six victoires et neuf nuls. Pas une défaite. Et seulement 11 buts encaissés, soit 0,7 par match. Sans lui : quatre victoires, sept nuls et huit défaites cette saison pour le Castilla. Avec 23 buts encaissés en 19 matchs, soit 1,2 par rencontre.

Une différence plus que notable. Et qui renforce le ressenti interne au club, où l’on continue de penser à Jacobo comme un défenseur central au potentiel pour la première équipe. On estime que son premier match comme titulaire, à Butarque en Coupe, fut un accident. Le fruit de l’inexpérience. Et voilà qu’arrive son examen de passage.

Son heure Très apprécié par Ancelotti, celui-ci l’avait défendu après Leganés : « Ce n’est pas pour aujourd’hui. Il a payé le prix du premier match avec l’équipe première. Il est très bon. Il va mieux jouer, j’en suis convaincu. » Son opportunité de le prouver va arriver.

La seule voie qui pourrait l’empêcher d’apparaître régulièrement avec les A est le Castilla. Que Raúl demande à Ancelotti, avec qui il entretient d’excellentes relations, de le laisser continuer à jouer ses cartes pour la montée avec l’un de ses piliers. Un rêve compliqué, mais encore envisageable à La Fábrica. Et pour réaliser cet exploit, Raúl a besoin de son porte-bonheur. Même si tout indique qu’il devra tenter l’impossible sans lui.

https://as.com/futbol/primera/la-revalida-de-jacobo-ramon-n/

Le problème avec lui comme avec tous les jeunes qui viennent de la Castilla c'est qu'ils n'ont pas les épaules solides, ils paraissent non seulement faibles physiquement mais aussi mentalement, ils manquent de caractère, une chose essentielle pour réussir au Real Madrid, c'est ce que a Raul Asensio (et des canteranos comme Nacho, Carvajal et Vasquez avant lui)contrairement aux autres jeunes, il ne se laisse intimider ni par l'adversité ni par les évènements.