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[madrid25000]

L'organisme européen concentre son enquête sur Rüdiger, Mbappé, Ceballos et Vinicius, quatre des joueurs qui ont célébré la qualification pour les quarts de finale après avoir éliminé l'Atlético de Madrid, dans le secteur du stade où se trouvaient les supporters madrilènes.

En particulier, dans le cas de l’Allemand Rüdiger, le geste consistant à se passer la main sur le cou est examiné ; pour Mbappé, il s’agit d’un geste touchant ses parties génitales ; et pour Vinicius, un affrontement avec la tribune avant et après la fin du match. Certaines informations ont indiqué la semaine dernière que l’Atlético de Madrid avait déposé un dossier contre le comportement des joueurs madrilènes.

Cette célébration a été ternie par le lancer de bouteilles et d'autres objets sur la pelouse de la part des supporters de l’Atlético de Madrid, ce qui a conduit l’UEFA à proposer une sanction contre le club rojiblanco. L’Atlético a tenté de se défendre pour éviter la sanction en fournissant des preuves, parmi lesquelles figureraient le comportement des joueurs madrilènes lors de leur célébration.

L'une des bouteilles a même été renvoyée par Bellingham avec la tête, sans savoir si elle était pleine, après un saut de joie. Quelques instants plus tôt, Vinicius avait posé le manteau qu'il portait pour se réchauffer au sol, avait regardé la tribune et avait montré l'écusson du Real Madrid en disant : « Ici, ici ». Rodrygo, quant à lui, a esquissé des danses brésiliennes pour éviter les bouteilles lancées, tandis que Jude et Ceballos, qui vivait intensément le match depuis le banc, se sont mis à danser ensemble.

Un processus d'enquête est désormais ouvert, au cours duquel l'instructeur du dossier recueillera des informations sur ce qui s'est passé, et le Real Madrid présentera des arguments pour éviter d'éventuelles sanctions, notamment sous forme d'interdiction de matchs avec présence de public.

Un Inspecteur de l'Éthique et de la Discipline de l’UEFA a été désigné pour enquêter sur les accusations de comportement indécent de la part des joueurs du Real Madrid CF (Antonio Rüdiger, Kylian Mbappé, Daniel Ceballos Fernández et Vinícius Júnior) lors du match des huitièmes de finale de la Ligue des champions de l’UEFA entre le Club Atlético de Madrid et le Real Madrid CF le 12 mars 2025.

En 2019, l’UEFA a sanctionné Cristiano Ronaldo d’une amende de 20 000 euros pour ses gestes à la fin du match de huitièmes de finale de la Ligue des champions contre l’Atlético de Madrid, alors qu’il jouait pour la Juventus. Le Portugais, auteur d’un triplé éliminant les rojiblancos, avait réalisé des gestes obscènes pour célébrer son troisième but.

Ce geste était une réponse à ceux effectués par Simeone lors du match aller au Metropolitano, pour lesquels il avait été sanctionné de la même somme que Ronaldo.

https://www.marca.com/futbol/real-madrid/20...ropolitano.html

[Real Team]

J'espère une amande pour chaque joueur cité et on oublira vite cette triste histoire, en esperant qu'elle ne se reproduira plus jamais.

Ce message a été modifié par Real Team: 28/03/2025, 23:36:22

[El Canterano]

D'après Marca, ils vont tous prendre une amende et un match de suspension avec sursis s'ils le refont dans l'année qui arrive.

Tous, sauf Rudiger. On le saura demain mais il est possible qu'il soit suspendu pour le match aller contre Arsenal suite à son geste d'égorgement. En plus d'une amende.

Ce message a été modifié par El Canterano: 03/04/2025, 20:46:23

[madrid25000]

Vinicius a échoué face à Mamardashvili sur un penalty qui aurait pu changer le cours du match. C’est la deuxième tentative depuis les onze mètres que le Brésilien manque, après avoir réussi toutes les précédentes qu’il avait tirées avec le Real Madrid en matchs officiels. Mais ce n’est pas un problème qui lui est propre : aucun autre grand d’Europe n’a manqué autant de penalties cette saison que l’équipe d’Ancelotti.

Le Real Madrid est l’équipe ayant obtenu le plus de penalties depuis le début de la saison. Avec celui obtenu contre Valence, le total s’élève à 16 en 51 matchs. Derrière, on trouve le Bayern, avec 15. La différence réside dans l’efficacité : les Bavarois n’en ont raté qu’un — Gnabry, lors de la défaite 2-3 contre Hoffenheim après avoir mené 2-0 — tandis que Madrid en a laissé passer plusieurs.

Dans le cas du Real, le nombre de tirs manqués depuis les onze mètres s’élève à cinq, soit presque un sur trois. Vinicius (contre l’Atlético de Madrid et Valence), Mbappé (contre Liverpool et l’Athletic) et Bellingham (à Mestalla) forment la liste des tireurs ayant échoué cette saison. En ce qui concerne les réussites, Kylian mène le classement avec six buts sur penalty, suivi de Vinicius avec trois et Jude Bellingham avec un.

À l’opposé, on trouve le FC Barcelone. L’équipe dirigée par Hansi Flick a transformé en but les dix penalties qu’elle a obtenus cette saison. Cette série parfaite s’est poursuivie grâce à la répétition du tir de Dani Olmo contre Osasuna, que le joueur a corrigé lors de sa deuxième tentative. Le spécialiste de l’équipe blaugrana est Lewandowski, avec un sans-faute de huit réussites sur huit tentatives, tandis que Raphinha en a inscrit un de plus depuis le point de penalty.

Tout près de l’efficacité du Barça, on retrouve Liverpool, qui a transformé 12 des 13 penalties qu’il a tirés cette saison. La seule erreur a été celle de Salah contre le Real Madrid, dans le même match où Mbappé a aussi manqué. Si l’on cherche une équipe connaissant autant de difficultés depuis les onze mètres que Madrid, Milan se signale : seulement cinq penalties convertis pour quatre ratés. En ce qui concerne Arsenal, futur adversaire du Real en Ligue des champions, le bilan est irrégulier : quatre penalties réussis et trois ratés.

Ces cinq erreurs représentent un chiffre inédit pour le Real Madrid à l’ère moderne. Après trois saisons sans le moindre échec, les trois précédentes n’avaient connu que quatre ratés au total. Cette saison, le club a franchi un cap supplémentaire — mais dans le mauvais sens.

https://www.marca.com/futbol/real-madrid/20...l-madrid-2.html

[madrid25000]

Ce n’est pas le moment de se rejeter la faute et encore moins de s’entredéchirer, mais plutôt d’ouvrir la porte à un changement d’attitude et de jeu, et de continuer à représenter le Real Madrid avec dignité. C’est en tout cas ce que pensent les dirigeants madrilènes après la claque reçue à l’Emirates. L’analyse de tout ce qui se passe durant cette saison difficile est en cours, comme il se doit, mais le diagnostic définitif ne sera posé que dans quelques semaines. Il ne s’agit pas de détourner le regard, mais ils estiment que le moment est venu de penser à l’avenir sans baisser les bras. Des titres sont encore en jeu, à commencer par la Ligue des Champions elle-même.

Les dirigeants savent qu’il y a des problèmes, que loin du discours habituel du « on ne peut pas toujours gagner », une réalité s’impose : l’équipe qui défilait sur la Castellana à deux reprises la saison dernière n’est plus ce qu’elle était. Elle n’est plus une équipe.

Arsenal a pris une sérieuse option pour les demi-finales et Madrid a besoin d’un miracle au Bernabéu.
Au-delà de la perte de cette identité collective, qui se confirme match après match, une donnée a particulièrement retenu l’attention des dirigeants et du staff technique : les dix kilomètres de moins parcourus par les hommes d’Ancelotti par rapport à ceux d’Arteta, et les vingt kilomètres de moins si l’on se réfère au quart de finale entre le Bayern et l’Inter Milan, disputé également mardi soir. C’est une tendance qui se répète tout au long de la saison européenne, sauf lors de la confrontation face à City.

Le “méthode Pintus”
Les bons résultats obtenus auparavant avaient masqué cette certaine nonchalance des joueurs du Real Madrid. Elle avait été évoquée à plusieurs reprises lors des réunions du vendredi, mais ce n’est que maintenant que cela a explosé au grand jour que l’on commence à en faire un sujet central. Cette fois-ci, la méthode Pintus n’a pas atteint son apogée dans la phase décisive de la saison, accompagnée, bien sûr, d’un laisser-aller de la part de nombreux joueurs.

Des changements importants
Avec encore trois mois de compétition à venir, ce qui se passera mercredi prochain au Bernabéu, et plus encore que le résultat, l’attitude que les joueurs montreront sera décisive dans la prise de nombreuses décisions. À plusieurs reprises, dans les coulisses de Valdebebas, on a évoqué la nécessité de changements importants, et aujourd’hui cette conviction revient avec force pour envisager l’avenir.

Ce que les dirigeants du Real Madrid veulent faire passer comme message, c’est que ce blason ne permet pas de baisser les bras face à aucune adversité. Ils vont le transmettre aux joueurs, en pensant au match retour et avec l’idée d’une possible remontée. Ils veulent qu’ils mettent de côté leurs ego et que le Real Madrid redevienne une équipe, une mission pour Ancelotti.

https://www.marca.com/futbol/real-madrid/20...eal-madrid.html

[madrid25000]

Tous les clubs qui joueront la semaine prochaine leur match retour des quarts de finale de la Ligue des champions seront ce dimanche entièrement concentrés sur leur engagement européen. Tous… sauf le Real Madrid. L’équipe d’Ancelotti est la seule des huit quarts de finalistes de la Ligue des champions à disputer ce week-end son match de Liga le dimanche. Les six autres équipes jouent samedi, tandis que le PSG ne joue pas du tout. La Ligue 1 a reporté le match des hommes de Luis Enrique, et ce alors même que l’entraîneur asturien aurait pu largement faire tourner son effectif puisque son équipe est déjà championne. Un désavantage pour tenter de renverser la situation face à Arsenal, qui, comme les autres, jouera samedi. Une situation unique.

Les horaires ont fait polémique cette saison. Le Real Madrid s’est plaint il y a quelques semaines d’avoir dû jouer contre Villarreal avec moins de 72 heures de récupération, après une prolongation et une séance de tirs au but dans le derby européen. Une saison où une tendance s’est confirmée : les clubs de LaLiga ne bénéficient plus comme avant du privilège de jouer le samedi avant un match de Ligue des champions. Sur les 25 matchs disputés un mercredi cette saison par le Real Madrid, le Barça, l’Atlético et Gérone en compétitions européennes, seuls 7 ont été précédés par un match de Liga le samedi. Les 18 autres fois, le match de championnat s’est joué le dimanche. Dans le cas spécifique du Real Madrid, sur les 7 fois où il a joué en Ligue des champions un mercredi, LaLiga n’a avancé son match précédent au samedi que deux fois. Les cinq autres fois, les hommes d’Ancelotti ont dû enchaîner dimanche-mercredi.

L’inconvénient du Real Madrid lié aux horaires de LaLiga est un cas unique.
Une situation qui ne se limite pas à LaLiga, mais qui y est beaucoup plus fréquente que dans d’autres grands championnats européens. Sur les 99 matchs de Ligue des champions programmés cette saison un mercredi (en comptant déjà les deux matchs retour des quarts de finale), 41 équipes venaient de jouer le dimanche. Autrement dit, 44 % des fois où une équipe a enchaîné dimanche-mercredi, cela concernait un club de LaLiga. Les suivants les plus touchés sont les Italiens (10 fois sur 26 possibles, dont 5 fois l’Inter) et les Anglais (9 sur 23).

Les deux autres grands championnats, la France et l’Allemagne, qui ont un calendrier allégé avec 18 clubs au lieu de 20, protègent davantage leurs équipes. En Ligue 1, seuls deux clubs (Lille et Brest, une fois chacun) ont joué un dimanche avant un match de Ligue des champions le mercredi. Cinq fois, le match a été avancé au vendredi, et pour ces quarts de finale, celui du PSG a tout simplement été reporté. En Bundesliga, aucun club n’a joué le dimanche avant un match de Ligue des champions le mercredi, et cinq matchs ont été avancés au vendredi pour alléger la charge des équipes concernées.

Dans d’autres ligues, la protection des clubs est presque exemplaire. Au Portugal (également avec 18 équipes), ni Benfica ni le Sporting n’ont joué un dimanche avant un match de Ligue des champions le mercredi. Mieux encore, le Sporting, chaque fois qu’il a joué en C1 un mardi, a disputé son match de championnat précédent un vendredi, voire un jeudi.

La possibilité d’avancer un match de Liga au samedi lorsqu’un match de Ligue des champions est programmé la semaine suivante est pourtant prévue dans le Règlement général de la RFEF. Il y est même indiqué qu’il n’est pas nécessaire d’avoir l’accord de l’adversaire pour avancer la rencontre. L’article 237.4 de ce règlement stipule : « Les équipes qui participent à des compétitions européennes peuvent, qu’elles jouent à domicile ou à l’extérieur, demander à avancer leur match de championnat national ou, le cas échéant, de Coupe du Roi au samedi précédant la journée internationale, sans qu’il soit nécessaire d’obtenir l’accord de l’adversaire. Cette possibilité s’applique pour la Ligue des champions à partir de la phase de groupes, et pour la Ligue Europa ou une autre compétition équivalente à partir des quarts de finale. »

Le week-end dernier, le Betis, qui affrontait le Barça, a bien joué son match de Liga le samedi avant son match de Conference League (le texte de l’article n’a pas été modifié depuis plus de dix ans). L’Athletic, en revanche, n’a pas eu droit à ce traitement de faveur : il a joué contre Villarreal le dimanche.

Le grief de la finale de Coupe
Une nouvelle polémique liée aux horaires se profile à l’occasion de la finale de la Coupe du Roi. Le Barça disputera la finale décisive à La Cartuja le samedi 26 avril avec 24 heures de récupération de plus que le Real Madrid. Lors de la 33e journée, les hommes de Flick recevront Majorque le mardi 22, tandis que le Real Madrid se déplacera à Getafe le mercredi 23.

Les saisons précédentes, lorsqu’une journée de championnat précédait une finale de Coupe, les deux finalistes jouaient habituellement le mardi. Ce ne sera pas le cas cette fois pour le Real Madrid, car lors de la 32e journée, il joue déjà contre l’Athletic le dimanche 20, ce dernier ayant joué en Ligue Europa le mardi.

Si la Real Sociedad s’était qualifiée pour la finale, elle aurait aussi été désavantagée, car LaLiga avait publié les horaires de la 33e journée avant les demi-finales de la Coupe. Elle a ainsi programmé le match contre Alavés également le mercredi 23. Pourtant, le match Villarreal – Real Sociedad de la 32e journée se joue le dimanche 20… alors qu’aucun empêchement ne s’opposait à son avancement.

Cette saison, Barcelone et le Real Madrid n’ont joué leur match de Liga le même jour qu’à deux reprises : lors de la 16e journée (le samedi 7 décembre) et lors de la 30e (le samedi 5 avril dernier). Dans les deux cas, la semaine suivante, le Real jouait en Ligue des champions le mardi et le Barça le mercredi.

https://as.com/futbol/primera/la-desventaja...n-caso-unico-n/

[madrid25000]

Niko Mihic, conseiller médical du Real Madrid, s’est exprimé dans l’émission El Larguero de la Cadena SER.

"Y a-t-il une relation claire entre le nombre de matchs et les blessures ? Absolument ! C’est indiscutable", a expliqué Niko Mihic à Iturralde González.

Le médecin croate, qui est également conseiller médical pour Air France et KLM, a souligné que "jouer un match tous les trois jours est impossible".

"Lors des matchs que nous avons eus cette année, des jeunes de 22 ans s’écroulent parce qu’ils ne peuvent même plus respirer. Mais ils doivent jouer et ils doivent gagner", a-t-il décrit.

"Il existe une génération de joueurs qui jouent une décennie après leur date de péremption. Modric (39 ans), Djokovic (37 ans), LeBron James (40 ans), Tom Brady (44 ans)... L’évolution de la médecine est irrésistible", a-t-il souligné.

Niko Mihic s’est montré prudent au moment de répondre à la question de savoir si, dans 10 ans, on verra des joueurs prendre leur retraite à 45 ans : "Le problème, c’est qu’il y aura toujours un gamin de 20 ans qui pousse derrière".

"Toutes les études révèlent que les meilleures équipes, qu’elles soient sportives ou professionnelles, sont un mélange de la sagesse d’un joueur plus âgé et de l’enthousiasme d’un jeune. Il ne faut négliger ni une génération ni l’autre", a-t-il conclu.

[Sined]

Qu'on arrête de faire jouer 1000 matchs à des enfants de 17 ans.

Yamal il ne devrait pas être à 30 matchs .

Je ne parle pas du plus grand problème qui est le pressing et l'intensité.. il y a 20 ans les Gattuso était vu en chien aujourd'hui c'est l'effort que te fait des joueurs offensifs...
Sans parler de l'entraînement pendant les vacances , avoir des abdos les Pintus. Gegen pressing par ici....bloc équipe par là.

Il me manque le temps des équipes coupées en deux . Aujourd'hui y'a que des coureurs...

Carlo au moins permet un peu au gar de respirer ...

[madrid25000]

On recherche des talents. Toujours. C’est la règle de toute académie de football sur la planète. Et encore plus dans la plus grande exportatrice de pépites d’Europe : La Fábrica, la plus prolifique de ces vingt dernières années. Mais la machine ne s’arrête jamais. Une prospection permanente qui commence à Madrid (« ici, personne ne peut nous échapper », glisse-t-on depuis Valdebebas), mais qui s’étend partout. À travers toute l’Espagne… et jusqu’aux États-Unis. C’est là-bas qu’aura lieu un casting pour dénicher des prodiges. Pas moins de 1 250 garçons de 18 et 19 ans avec un seul objectif : transformer leur rêve américain en réalité. Intégrer un Dream Team final. Arriver à Valdebebas. Et continuer de rêver.

Un projet dans lequel le club merengue et Abbott, multinationale spécialisée dans les soins de santé présente à Chamartín depuis 2021 (là où la collaboration a commencé), unissent leurs forces. Une sorte de Jeux de la faim footballistiques. Avec cinq villes hôtes et cinq épreuves. Et un maximum de 250 talents par ville. Le coup d’envoi sera donné à Dallas, le 17 juin, avant de passer par Philadelphie (25 juin), Washington (10 juillet), Chicago (17 juillet) et Los Angeles (24 juillet). Le Real Madrid part à la recherche de diamants dans le pays des opportunités.

Le Real Madrid cherche des prodiges
Un camp d’entraînement en cinq étapes destiné à détecter et développer du talent. « Tous participeront à des sessions intensives d’entraînement dirigées par des entraîneurs du Real Madrid et recevront des conseils en santé et nutrition dispensés par Abbott », précisent les responsables du programme. Et c’est ce même encadrement qui désignera le onze final, le Abbott Dream Team. Les critères : les compétences footballistiques bien sûr, mais aussi les valeurs et la détermination sur le terrain et en dehors. La clé pour décrocher le billet doré pour la Ciudad Real Madrid.

À Valdebebas et au Bernabéu
C’est la récompense ultime pour ces jeunes : plusieurs séances d’entraînement à Valdebebas sous la houlette des techniciens de la maison blanche. Le tout accompagné de bonus. D’une part, une invitation pour assister à un match au Santiago Bernabéu. D’autre part, des masterclass en nutrition sportive proposées par l’Abbott-Real Madrid Innovation Lab. Puis, retour à la maison… ou peut-être pas.

« Changer des vies »
Car si l’un d’entre eux brille vraiment, il pourrait frapper à la porte du Real Madrid. Et la pousser. Faire son trou. Ce ne serait ni le premier miracle sorti de nulle part, ni le dernier. Il suffit de demander au parrain de l’initiative. « J’ai bénéficié d’un accompagnement nutritionnel de premier plan pendant ma carrière et je sais à quel point une base de santé solide est cruciale pour atteindre son meilleur niveau. Ce programme peut réellement changer la vie de jeunes sportifs et les aider à s’épanouir », explique Clint Dempsey, ancien international américain qui a aussi brillé en Premier League, notamment à Tottenham et à Fulham. Une légende des Stars and Stripes, le modèle rêvé pour ce Dream Team en quête de blanc, de leur American Dream, de La Fábrica, du Real Madrid.

https://as.com/futbol/primera/el-madrid-busca-prodigios-n/