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"Avec l'Ajax, je n'ai jamais perdu une seule fois contre le Real Madrid. J'espère qu'après le match d'aujourd'hui, je pourrai continuer à dire la même chose en tant qu'entraîneur..." Les mots de Louis Van Gaal, adressés aux vétérans de l'Ajax avant d'affronter ceux du Real Madrid, donnaient déjà le ton pour inaugurer les célébrations du 125e anniversaire du club ajacide. Et ainsi fut-il : les locaux se sont imposés sur le fil (2-1).

Ces célébrations ont débuté par la remise en place de l'ancien écusson, arboré par les joueurs du club d'Amsterdam de sa création en 1928 jusqu'en 1991, et qui sera réintroduit officiellement en 2025.

Les joueurs du Real Madrid, dont certains retrouvaient le stade où avait débuté la deuxième ère dorée des triomphes européens en 1998 avec la conquête de la Septième Coupe d’Europe, étaient les premiers invités à ces festivités. Parmi eux, Morientes, Fernando Sanz et Karembeu (Mijatovic était également présent, mais il n’a pas joué, tout comme Butragueño et Santillana, deux autres légendes du club).

Les joueurs dirigés par Camacho, en effectif réduit pour cette rencontre, ont affiché un bon visage, menés par Rubén de la Red. Celui-ci, en plus de marquer l’unique but des Madrilènes (2-1 pour les hollandais) grâce à un sursaut de courage, a dirigé les actions offensives des Blancos, qui portaient pour l’occasion leur deuxième maillot orange de la saison. La blessure de Casillas a été le point noir de la soirée, bien que des gestes techniques mémorables de ces illustres vétérans aient émerveillé les jeunes spectateurs et rappelé des souvenirs aux plus anciens, évoquant dribbles et feintes d’un autre temps.

Des moments empreints de nostalgie ont également marqué l’événement, comme la minute d’applaudissements dédiée à Nouri, joueur qui est resté deux ans et neuf mois dans le coma. Autre moment fort : Clarence Seedorf jouant avec les deux équipes (contrairement à Sneijder et Van der Vaart). Une cérémonie émouvante a aussi été organisée en l’honneur de Daley Blind, actuellement joueur de Girona, qui a porté les couleurs de l’Ajax à 333 reprises.

Les légendes du Real Madrid affronteront les Barça Legends lors de deux Clásicos : le 28 novembre au Qatar et le 15 décembre à Tokyo.

Fiche du match, comositions des deux équipes
Ajax Legends : Van der Sar ; Silooy, F. de Boer, Chivu, R. de Boer ; Babel, Seedorf, Kreek, Sneijder ; Litmanen et Kluivert. Ont également joué : Stekelenburg, Winter, Vanenburg, Arveladze, Tahamata, De Jong, Schoenaker, Musampa, Dani, Enoh, Van der Vaart, Emanuelson, Wamberto et De Zeeuw.

Real Madrid Leyendas : Casillas ; Núñez, Iván Campo, F. Sanz, R. Bravo ; Milla, Karembeu, McManaman, De la Red ; Morientes et Baptista. Ont également joué : Contreras, Pavón, Granero, Munitis, Seedorf et Balboa.

Buts :
1-0 (41’) : Arveladze.
2-0 (89’) : Siem de Jong.
2-1 (91’) : De la Red.

Arbitres : Dick Jol et Roelof Luinge, Néerlandais.

Stade : Johan Cruyff Arena, pratiquement plein avec 57 000 spectateurs.

https://as.com/futbol/los-veteranos-blancos...en-amsterdam-n/

[madrid25000]

Le Levante a souhaité remercier le Real Madrid pour son geste de lui avoir offert la grande bannière de la Senyera (drapeau de la Communauté Valencienne), déployée lors des minutes de silence en hommage aux victimes de la DANA au stade Santiago Bernabéu.

"Les hommages aux victimes et à notre terre touchée par la DANA ont été nombreux dans les stades du monde entier. Nous avons donc demandé au Real Madrid la Senyera avec laquelle ils nous ont honorés au Bernabéu : un geste symbolique pour ramener chez nous tout ce soutien. Merci de l’avoir rendu possible", a exprimé le Levante sur ses réseaux sociaux.

Un hommage au Bernabéu
Le club madrilène avait déployé cette immense bannière de la Communauté valencienne lors du match de Ligue des Champions contre le Milan et celui de Liga face à Osasuna. La Senyera occupait une large partie du côté ouest du stade.

La Senyera au Ciutat de València
Le Levante a reçu la bannière et l’a étendue sur la pelouse avant le match contre l’Elche, dans un hommage précédant le coup d’envoi.

Prochaine étape : Mestalla
La bannière rejoindra maintenant les tribunes de Mestalla pour soutenir le Valencia lors de son retour en championnat, à l’occasion du match contre le Betis, correspondant à la 14ème journée de Liga.

https://www.marca.com/futbol/levante/2024/1...ra-gigante.html

[madrid25000]

Ces dernières semaines, joueurs et entraîneurs se sont plaints de l'intensité du calendrier. Ancelotti est l'un des entraîneurs les plus interrogés à ce sujet lors de chaque conférence de presse : « Se plaindre ne changera pas le calendrier. Il est important de réfléchir à cela. Les instances doivent penser aux joueurs, qui s’épuisent. » Flick, l’entraîneur du Barça, demande également de mieux protéger les joueurs et de réduire le nombre de matchs : « Je pense que la FIFA doit prendre davantage soin des joueurs. Ce n'est pas la meilleure situation pour eux. Nous aimons tous le football et voulons que les joueurs offrent le meilleur rendement. Si nous voulons la meilleure qualité possible, nous devons réduire le nombre de matchs. »

Chaque fois plus fréquemment, les joueurs de haut niveau subissent des blessures de longue durée (Carvajal, Militao, Ter Stegen, Rodri, Marc Bernal, Hamari Traoré...) et l’une des raisons invoquées pour expliquer ces malheurs est la surcharge des matchs. Justement, l’un de ces blessés, Carvajal, s’est plaint du calendrier dès le premier match de la saison, avant la finale de la Supercoupe d’Europe : « Le calendrier n’a aucun sens. Il est impossible de maintenir un niveau optimal. Si nous participions à tout, il serait impossible d’être performant sur 72 matchs. Les instances compétentes devraient analyser cela. La qualité des matchs diminue, et ceux qui en souffrent, ce sont nous et nos familles. »

Ces blessures ne sont pas entièrement liées à la surcharge de matchs, comme l’a expliqué à AS Sergio Pardo Carrillo, préparateur physique ayant travaillé dans des clubs comme le Rayo Vallecano et Almería : « C'est une blessure multifactorielle. On parle beaucoup de la charge de matchs, qui est l’un des facteurs, mais il n’y a pas autant de fatigue actuellement », précisant que cette surcharge n’est ni le seul ni le principal motif à ce stade de la saison. Après toutes ces plaintes, y a-t-il réellement plus de matchs aujourd’hui qu’il y a 20 ans ?

Cette saison, l’équipe pouvant jouer le plus de matchs est le Real Madrid, car elle disputera jusqu’à sept compétitions officielles. Si elle allait jusqu’en finale de chacune d’elles, l’équipe d’Ancelotti accumulerait un total de 69 matchs. C’est plus que d’habitude, car cette saison inclut la nouvelle Coupe du monde des clubs, organisée tous les quatre ans, qui ajouterait sept matchs si le club atteignait la finale. Sans cette compétition, au niveau des clubs, une équipe pourrait jouer jusqu’à 63 matchs.

Ces matchs seraient répartis comme suit : 38 en Liga, six en Coupe, deux en Supercoupe d’Espagne, un en Supercoupe d’Europe, 15 en Ligue des champions et un en Coupe intercontinentale. Si l’on remonte 20 ans en arrière, lors de la saison 2004-2005, une équipe atteignant toutes les finales aurait joué le même nombre de matchs, soit 63. Certaines compétitions ont changé le nombre de matchs, mais le total reste le même : 38 en Liga, neuf en Coupe, deux en Supercoupe d’Espagne, 13 en Ligue des champions, un en Supercoupe d’Europe et un en Coupe intercontinentale. Deux ans plus tôt, il y avait même davantage de matchs, puisque la Ligue des champions se disputait en deux phases de groupes, ce qui portait à 17 matchs si l’équipe atteignait la finale, pour un total de 67 matchs par saison.

Malgré les plaintes des joueurs et des entraîneurs, au niveau des clubs, la quantité de matchs sur une saison est très proche de ce qu’elle était il y a 20 ans. Depuis le début du siècle, la charge de matchs est restée similaire, avec quelques variations mineures. Depuis l’introduction de la phase de groupes en Ligue des champions lors de la saison 1994-1995, le nombre de matchs au niveau des clubs est très comparable.


Les trêves internationales sont scrutées avec attention, et les clubs essaient d’empêcher la convocation de leurs joueurs dans certaines fenêtres, ou demandent leur libération après le premier match si le deuxième est amical ou si le joueur ne peut pas jouer en raison d’une suspension. Ces derniers temps, il est question de regrouper toutes les trêves en une seule, afin de réduire le nombre de déplacements des internationaux et d’éviter d’interrompre les compétitions des clubs.

En réalité, il y a aujourd’hui une trêve de moins qu’auparavant. Actuellement, il y a deux matchs en septembre, deux en octobre, deux en novembre, deux en mars et deux en juin, soit un total de dix matchs. Cela, sans compter les années d’Euro ou de Coupe du monde. Au début du siècle, en plus de ces trêves, les sélections jouaient un match amical en août et un autre en février, entre deux journées de championnat, ce qui signifiait que les joueurs enchaînaient deux matchs avec leur club et un avec leur sélection en une semaine. En tout, ils jouaient 11 à 12 matchs internationaux par saison.

La différence par rapport au début du siècle réside dans les matchs amicaux. Les sélections jouaient entre trois et quatre amicaux par saison, mais aujourd’hui, avec l’introduction de la Ligue des Nations de l’UEFA, elles n’en jouent presque plus, car la plupart des matchs sont désormais des compétitions officielles.


L’une des conséquences de la COVID-19 dans le football a été l’augmentation du nombre de remplacements par match, passant de trois à cinq, permettant ainsi aux joueurs d’accumuler moins de minutes sur le terrain, et d’atténuer les critiques liées au calendrier. Prenons l’exemple du Real Madrid : lors de la saison dernière, seuls deux joueurs ont dépassé les 4000 minutes (Rüdiger et Valverde), tandis que six ont joué plus de 3 000 minutes, et autant plus de 2000. Si l’on remonte 20 ans en arrière, lors de la saison 2003-2004, neuf joueurs madrilènes avaient dépassé les 4000 minutes (Casillas, Salgado, Roberto Carlos, Helguera, Raúl Bravo, Zidane, Beckham, Raúl et Figo), tandis que deux avaient dépassé les 3000 minutes.

Les effectifs sont de plus en plus larges, ce qui permet de réduire la charge de minutes pour les joueurs, afin qu’ils ne soient pas obligés de jouer autant qu’autrefois. Ce qui a réellement changé, ce sont les préparations d’avant-saison. Autrefois, il y avait un mois de préparation dans la ville de chaque équipe. Aujourd’hui, les tournées estivales empêchent les joueurs d’atteindre leur état optimal au début des saisons.

Sans nier les arguments des entraîneurs et des joueurs qui se plaignent d’un calendrier long et chargé, la réalité est que cela dure depuis 20 ans dans le football. Cependant, avec des effectifs plus larges et un plus grand nombre de remplacements possibles, la charge est mieux répartie. L’exigence sportive et physique est plus élevée, mais le calendrier est resté similaire depuis le début du siècle.

https://as.com/futbol/primera/calendario-en...hace-20-anos-n/

[Madridista For L...]

Je trouve qu'il y a un aspect qui n'est pas souvent relevé et à mon sens c'est un grand tort. Dans l'article d'AS le préparateur physique dit que le nombre de matchs n'est qu'un seul facteur parce qu'actuellement il y a beaucoup de blessés alors que la fatigue n'est pas élevée en ce moment parce qu'on serait en début de saison.

Or non je pense que c'est faux. Le nombre de matchs est le facteur principal. Les intervenants sur le sujet font toujours comme si chaque début de saison on remettait le curseur à zéro en terme de fatigue. Mais non en fait il n'y a pas plus faux. Les meilleurs joueurs du Real Madrid sont susceptibles d'aller loin dans toutes les compétitions non seulement avec le club mais aussi avec la sélection. Et quand tu enchaines comme ça sur plusieurs années le corps peut lâcher au mois d'octobre et ce sera bel et bien dû à l'accumulation des matchs sur plusieurs années et des vacances trop courtes chaque été.

On voit des trucs lunaires à mon sens. Des joueurs qui jouent blessés pendant des années et on ne le découvre qu'après (Raphaël Varane, Sergio Ramos..), Jude Bellingham qui joue depuis je ne sais combien de temps avec une gêne alors que ce serait plus rationnel de tout simplement la soigner pour passer à autre chose. On ne traite plus les joueurs comme des êtres humains et c'est un scandale pour moi. L'intégrité physique d'un être humain est primordiale. M'enfin bon après si les mecs eux mêmes ils acceptent ça qu'est-ce que je vais dire moi?

Dernier truc, je ne comprends pas pourquoi les joueurs ne font pas grève contre tous ces matchs qui s'accumulent. Ils ont pourtant l'air d'être à bout mais ils ne font pas ce qu'il faut pour y mettre un terme et je ne comprends pas. Par exemple j'ai entendu un mec de je ne sais quel syndicat défendant les joueurs sur l’Équipe 21, il te dit qu'ils ont fait toutes les démarches auprès des instances dirigeantes avec des arguments scientifiques à l'appui ainsi que des études prouvant qu'il faut réduire le nombre de matchs.. Que ça a été fait depuis des années.. Malgré ça les instances choisissent d'organiser de plus en plus de matchs.. Et le mec du syndicat t'explique qu'il est contre la grève alors que toutes les autres voies et moyens qu'il a essayé n'ont mené nulle part lol. C'est à n'y rien comprendre. Au final s'ils veulent tous plus de matchs qu'ils le fassent et arrêtent de faire semblant dans les médias.

Ce message a été modifié par Madridista For Life: 22/11/2024, 12:14:29

[Sined]

Pour faire grève il faut avoir beaucoup d'adhérent.
Déjà tu n'auras que les internationaux des grands clubs qui seront pour.
Surtout que les joueurs ne sont pas fous. Ils savent très bien que si les clubs vont couper ça sera dans les "petits matchs" qui rapportent peu.
Ils ne supprimeront pas les tournois style mondial des clubs mais plutôt les coupes du rois. Et surtout surtout, les clubs proposent de réduire les équipes dans les championnat pour réduire le nombre de matchs. Ça sera la fin de beaucoup de petits clubs et des milliers de joueurs au chômage. Déjà Piqué parle de liga à 10. Avec une Liga à 10,tu es sûr de la disparition des clubs style Majorque, Osasuna. De plus les Brahim, Ceballos, Vásquez seront virés et le reste recevra encore un pression plus terrible pour jouer blessés.

Je suis un peu d'accord avec lui pour moi le facteur prépondérant des blessures actuelles est l'intensité au cours des matchs. C'est juste inhumain quand on compare à il y a 20 ans. Avec ça, même avec une semaine de repos entre matchs tu finiras claqués au bout de 3 mois. Aussi ce temps libre les clubs le mettront à profit pour faire des "mini pré-saison régulière". Le temps gagné en ne jouant pas sera investi en entraînement intensif. Et là plus d'excuse, gegenpress pendant 90 minutes. Ils tomberont comme des mouches.

Pour finir : l'aspect financier. Dans les clauses de contrats beaucoup de joueurs ont des nombre mini des matchs pour toucher des primes. Je me pense pas qu'ils soient prêt à s'associer dessu.

[Tanjiro]

Yaaay nouveau record pour le Real !

Le Real Madrid devient le premier champion en titre de la Champions League à perdre 3 matchs en phase de groupes après avoir remporté le titre la saison précédente

Opta

[madrid25000]

On a tellement de blessures qu'il faut faire un véritable inventaire...

Le Real Madrid aborde la saison 2024/2025 avec la ferme intention de lutter pour les titres de Liga, de Ligue des Champions et de Coupe du Roi, comme à son habitude. Cette saison, l’intense accumulation de matchs exige une attention particulière à l’état physique et mental des joueurs afin de prévenir les blessures qui pourraient nuire aux performances de l’équipe tout au long de l’année.

L’impact de ces blessures ne se limite pas aux résultats des matchs. Elles influencent également la planification stratégique au fil de la saison. Le manque de continuité dans la composition de l’équipe titulaire peut déstabiliser la dynamique collective et compromettre les performances à des moments clés de la campagne.

La saison précédente, le Real Madrid a dû faire face à des absences importantes, notamment celles de Courtois, Militao et Alaba. Cela a même poussé le club à recruter Kepa Arrizabalaga sur le marché des transferts. Cette nouvelle saison n’a pas débuté sans heurts. En plus de l’absence prolongée d’Alaba, qui traîne une blessure datant de la saison 2023/2024, des joueurs comme Carvajal, Rodrygo ou Militao sont également sur la touche. Voici un état des lieux des joueurs actuellement blessés au Real Madrid.

Les joueurs blessés du Real Madrid
David Alaba : Souffrant d’une rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche depuis le début de la saison 2022/2023, le joueur est toujours en convalescence. Son retour est espéré pour début 2025.

Dani Carvajal : Le latéral est victime d’une triple blessure au ligament croisé, au ligament collatéral droit, ainsi qu’une rupture du tendon poplité. Il passera par une intervention chirurgicale et manquera toute la saison 2024/2025.

Aurélien Tchouaméni : Le milieu de terrain souffre d’une entorse au pied gauche. Son retour est prévu pour début décembre.

Rodrygo Goes : L’attaquant brésilien est gêné par des douleurs au muscle droit antérieur de la cuisse. Il sera indisponible pendant un mois. Cette blessure concerne la même jambe que celle touchée lors du match contre Dortmund. Il pourrait revenir pour le match contre l’Atalanta, tout comme Lucas Vázquez.

Éder Militao : Le défenseur s’est blessé au genou gauche et présente une rupture complète du ligament croisé antérieur, avec une atteinte des deux ménisques. Il manquera l’intégralité de la saison.

Vinícius Júnior : L’ailier brésilien souffre d’une blessure au biceps fémoral de la jambe gauche. Son évolution est en cours, mais il pourrait faire son retour d’ici mi-décembre, soit dans environ trois semaines.

Eduardo Camavinga : Touché au biceps fémoral, le milieu de terrain pourrait être de retour pour la finale de la Coupe intercontinentale.

https://www.relevo.com/futbol/liga-primera/...0124941-nt.html

[madrid25000]

Le nouveau et élargi Mondial des Clubs, qui se tiendra l'été prochain aux États-Unis, a désormais sa liste complète de participants. Botafogo, grâce à sa victoire en Copa Libertadores, est devenu le 32ème et dernier club à se qualifier pour ce tournoi mondial, qui se déroulera désormais tous les quatre ans.

Les deux représentants espagnols seront le Real Madrid et l’Atlético de Madrid, une décision connue depuis un certain temps. Le Real s’est qualifié en tant que vainqueur de la Ligue des champions en 2022, tandis que l’Atlético a surpassé le FC Barcelone dans le classement FIFA. La limite de clubs par pays étant fixée à deux, le Barça a été exclu.

Exceptions à la règle des quotas
Une exception à cette limite est prévue pour les clubs champions continentaux sur les années précédentes, ce qui a permis aux clubs brésiliens (Palmeiras, Flamengo, Fluminense et Botafogo) et mexicains (León, Rayados et Pachuca) d’être qualifiés.

Le tirage au sort
Le tirage au sort de la phase finale aura lieu ce jeudi 5 décembre à Miami. Les pots ne sont pas encore définis, mais les critères géographiques et les classements des confédérations seront respectés autant que possible.

Format et calendrier du tournoi
Le tournoi comptera huit groupes de quatre équipes. Les deux premiers de chaque groupe se qualifieront pour les huitièmes de finale. Le match d’ouverture se jouera à Miami, tandis que la finale se déroulera à New York. La compétition s'étalera du 15 juin au 13 juillet 2025.

Chelsea (Inglaterra)
Real Madrid (España)
Manchester City (Inglaterra)
Bayern (Alemania)
PSG (Francia)
Inter (Italia)
Oporto (Portugal)
Benfica (Portugal)
Dortmund (Alemania)
Juventus (Italia)
Atlético (España)
Salzburgo (Austria)
Al Hilal (Arabia)
Urawa (Japón)
Al Ain (Emiratos Árabes)
Ulsan (Corea del Sur)
Al Ahly (Egipto)
Wydad (Marruecos)
Esperance (Túnez)
Mamelodi (Sudáfrica)
Club León (México)
Rayados (México)
Pachuca (México)
Seattle Sounders (EE UU)
Palmeiras (Brasil)
Fluminense (Brasil)
Flamengo (Brasil)
Botafogo (Brasil)
River Plate (Argentina)
Boca Juniors (Argentina)
Auckland City (Nueva Zelanda)
Inter Miami (EE UU)

[madrid25000]

Le chaos continue concernant la date du match de Liga entre Valence et le Real Madrid, reporté en raison de la DANA. Le juge de la Commission de Compétition avait fixé la rencontre pour le jeudi 2 janvier à 20h00, mais selon les informations d'AS, les joueurs des deux équipes ont exprimé leur refus de jouer ce jour-là. Cette date est considérée comme non ouvrable pour le football professionnel, conformément à un accord entre le syndicat AFE et LaLiga dans le dernier contrat collectif. Les joueurs ne céderont pas, et la nouvelle date proposée par eux est le 3 janvier, comme l'a indiqué l'Agence EFE et que ce journal a pu confirmer. Ce scénario pourrait provoquer un effet domino dans le calendrier de plusieurs compétitions.

Après que la Commission de Compétition ait fixé la nouvelle date pour le Valence-Real Madrid, l'AFE a contacté les joueurs des deux équipes pour vérifier s'ils étaient prêts à réduire la période de repos protégée prévue dans le contrat collectif, du 23 décembre au 2 janvier inclus. Selon les informations d'AS, les joueurs des deux équipes ne seraient pas favorables à cette option et l'AFE a déjà transmis aux clubs, à LaLiga et à la RFEF leur refus de jouer un jour non ouvrable. "Jouer le 2 janvier viole la Convention Collective et les droits des joueurs", affirment des sources syndicales à ce journal, ajoutant qu'ils ne croient pas que les joueurs changent d'avis.

La nouvelle proposition du syndicat est de jouer le premier jour ouvrable de l'année, le 3 janvier, ce qui entraînera un effet domino sur les matchs suivants. Les matchs de seizièmes de finale de la Coupe du Roi, tant pour Valence que pour le Real Madrid, ne pourront plus se jouer le 5 janvier comme prévu (le tirage au sort des matchs a lieu ce lundi 9 décembre).

L'AFE a uniquement proposé de jouer le 3 janvier, sans se mêler des autres matchs, comme ceux de la Coupe et de la Supercoupe (qui se dérouleront entre le 8 et le 12 janvier). Cependant, ce sont les autres parties impliquées qui devront décider de la suite des événements. L'une des options envisagées est de jouer les matchs de Coupe le 6 et 7 janvier. Le premier jour pour le Real Madrid, qui devrait ensuite partir rapidement pour l'Arabie afin de jouer la Supercoupe le jeudi, et le 7 pour Valence. Une option que les joueurs trouveraient plus acceptable car elle respecterait leur période de repos et leurs vacances. À ce moment, toutes les institutions discutent de la meilleure solution, bien que la Liga défende de jouer le 2 janvier, comme cela avait été convenu initialement.

https://as.com/futbol/primera/afe-propone-q...s-3-de-enero-n/

[Madridista For L...]

Ils arrêtent pas de rajouter des matchs alors que le calendrier est tellement chargé que même déplacer un seul match devient compliqué.

[madrid25000]

Le Real Madrid domine le onze idéal FIFPRO 2024. Après le vote de 28000 professionnels, pas moins de six joueurs du club madrilène figurent dans cette équipe : Carvajal, Rüdiger, Kroos, Bellingham, Vinicius Jr. et Mbappé, la recrue phare du Real lors du mercato estival. Par ailleurs, on retrouve également le Ballon d’Or 2024, Rodri Hernández, dans cette sélection.

Le Real Madrid compte ainsi plus de la moitié des joueurs de ce onze. Le club a remporté le championnat national et décroché sa quinzième Ligue des champions. Les performances remarquables des six joueurs en championnat, ainsi que leurs contributions au sein de leurs sélections respectives, expliquent leur présence dans cette formation.

Rodri et Carvajal ont joué un rôle clé dans la victoire de l’Espagne lors de l’Euro 2024 en Allemagne. Par ailleurs, Rüdiger, Bellingham, Kroos (qui a récemment pris sa retraite) et Vinicius Junior se sont illustrés en remportant la Ligue des champions, la Supercoupe d’Europe et la Supercoupe d’Espagne sous la direction de Carlo Ancelotti. Quant à Mbappé, désormais membre de l’équipe du Santiago Bernabéu, il s’est contenté cette saison des titres de champion de France et de la Coupe de France avant de rejoindre le Real.

Ce onze idéal compte six joueurs du Real Madrid et quatre du Manchester City. En plus de Rodri, lauréat du Ballon d’Or, figurent le gardien brésilien Ederson, le milieu de terrain belge Kevin De Bruyne, et l’attaquant norvégien Erling Haaland. La dernière place est occupée par le défenseur néerlandais Virgil Van Dijk, de Liverpool, seul joueur de cette sélection à ne pas appartenir au Real Madrid ou à Manchester City.

Ederson (Manchester City, Brésil)
Dani Carvajal (Real Madrid, Espagne), Virgil Van Dijk (Liverpool, Pays-Bas), Antonio Rüdiger (Real Madrid, Allemagne)
Jude Bellingham (Real Madrid, Angleterre), Kevin De Bruyne (Manchester City, Belgique), Toni Kroos (Real Madrid, retraité, Allemagne), Rodri (Manchester City, Espagne)
Erling Haaland (Manchester City, Norvège), Kylian Mbappé (Paris Saint-Germain/Real Madrid, France), Vinicius Jr (Real Madrid, Brésil).

https://www.marca.com/futbol/futbol-interna...-jugadores.html

[madrid25000]

La FIFA innove dans cette nouvelle édition des prix The Best 2024, qui récompenseront le meilleur joueur, la meilleure joueuse, le meilleur entraîneur ou entraîneuse de football masculin et féminin, ainsi que le meilleur gardien et gardienne de la saison passée. En raison des contraintes du calendrier, la FIFA surprend en annonçant que les lauréats seront révélés ce mardi 17 décembre à distance !

Le calendrier est surchargé, rendant très difficile la recherche de dates libres pour les équipes masculines et féminines. Pour éviter la situation embarrassante de l'édition précédente, où aucun des trois finalistes masculins n'était présent à la cérémonie, la FIFA a choisi un format télématique. Cependant, cette décision est controversée car de nombreux matchs importants se jouent cette semaine.

Les matchs de la Conference League ont lieu ce jeudi, et la dernière journée de la phase de groupes de la Ligue des champions féminine se déroule mardi et mercredi (un match Real Madrid-Chelsea se jouera le même jour que la cérémonie). De plus, le Real Madrid se prépare à disputer la finale de la Coupe intercontinentale à Doha, la Coupe de la Ligue anglaise et la Coupe d'Italie se déroulent également, ainsi qu'un match Monaco-PSG en Ligue 1.

Les 211 capitaines de toutes les sélections affiliées à la FIFA, les 211 sélectionneurs nationaux, un journaliste spécialisé représentant chaque pays, et le vote populaire ont choisi les meilleurs, après la clôture des votes le 10 décembre à 23h59.

Candidats masculins

Dani Carvajal (Espagne), Real Madrid

Erling Haaland (Norvège), Manchester City

Federico Valverde (Uruguay), Real Madrid

Florian Wirtz (Allemagne), Bayer Leverkusen

Jude Bellingham (Angleterre), Real Madrid

Kylian Mbappé (France), Paris Saint-Germain/Real Madrid

Lamine Yamal (Espagne), Barcelone

Lionel Messi (Argentine), Inter Miami

Rodri (Espagne), Manchester City

Toni Kroos (Allemagne), Real Madrid (retraité)

Vinícius Jr. (Brésil), Real Madrid


Candidats féminins

Aitana Bonmatí (Espagne), Barcelone

Barbra Banda (Zambie), Shanghai Shengli/Orlando Pride

Caroline Graham Hansen (Norvège), Barcelone

Keira Walsh (Angleterre), Barcelone

Khadija Shaw (Jamaïque), Manchester City

Lauren Hemp (Angleterre), Manchester City

Lindsey Horan (États-Unis), Olympique Lyonnais

Lucy Bronze (Angleterre), Barcelone/Chelsea

Mallory Swanson (États-Unis), Chicago Red Stars

Mariona Caldentey (Espagne), Barcelone/Arsenal

Naomi Girma (États-Unis), San Diego Wave

Ona Batlle (Espagne), Barcelone

Salma Paralluelo (Espagne), Barcelone

Sophia Smith (États-Unis), Portland Thorns

Tabitha Chawinga (Malawi), Paris Saint-Germain/Olympique Lyonnais

Trinity Rodman (États-Unis), Washington Spirit


Favoris pour les prix

Aitana Bonmatí espère remporter son deuxième prix après celui obtenu en 2023 et après avoir décroché le Ballon d'Or. Ce serait le quatrième prix consécutif pour l'Espagne, après le doublé d'Alexia Putellas (2021 et 2022) et le prix remporté par Bonmatí l'année dernière.

Côté masculin, le successeur de Messi est recherché. Bien qu'il soit à nouveau nommé, il semble difficile pour lui de remporter le prix après ses victoires en 2022 et 2023. Rodri, récent Ballon d'Or, est le favori, bien que Vinícius et Bellingham espèrent le détrôner.

https://as.com/futbol/internacional/fifa-so...a-telematica-n/

[madrid25000]

Lorsque Florentino Pérez a commencé à concevoir dans son esprit les premières esquisses du Santiago Bernabéu 2.0, l’objectif était clair : transformer le colisée blanc en bien plus qu’un simple stade. Une arme pour accroître encore davantage l’impact global du club. « Le point de départ vers notre avenir », avait-il prédit. Ce n’était pas un hasard si sa poignée de main avec Legends et Sixth Street a permis de doter le Bernabéu d’une exploitation “made in USA”.

Car c’est là-bas, au pays des opportunités, que se trouve le cœur des entités les plus valorisées de la planète. Pour la neuvième année consécutive, les Dallas Cowboys occupent la première place selon Forbes, avec une estimation de 10 milliards de dollars. Derrière eux, on trouve beaucoup de sport nord-américain... et le Real Madrid. Les Blancos sont neuvièmes, avec une valorisation de 6,6 milliards de dollars. Un succès réitéré puisqu’ils conservent la même position qu’en 2023, tout en révélant une réalité : il reste du travail à accomplir.

« Les Américains sont maîtres dans la construction de ligues et dans la négociation avec les médias. La NFL et la NBA possèdent des contrats colossaux avec les chaînes de télévision. Cela se reflète dans la valorisation des équipes, les dix plus grandes fortunes sportives du monde étant américaines, avec une domination totale de la NFL et de la NBA », explique Fábio Wolff, associé directeur de Wolff Sports et spécialiste en marketing sportif. Parmi les clubs de football, seuls six autres apparaissent dans le top 50, en plus du Real Madrid :

Manchester United (14e, avec 6,5 milliards de dollars)
Barcelone (20e, avec 5,6 milliards)
Liverpool (27e, avec 5,3 milliards)
Manchester City (31e, avec 5,1 milliards)
Bayern Munich (34e, avec 5 milliards)
PSG (47e, avec 4,4 milliards)

La dynamique ne cesse de croître. Selon une étude publiée vendredi par le magazine Forbes, les 50 équipes les plus valorisées au monde généreront 289 milliards de dollars en 2024, soit 13 % de plus qu’en 2023. Cependant, l’écart entre les sports nord-américains et les autres reste immense. Et c’est là que se situe le cœur de l’analyse, détaillée par plusieurs voix autorisées.

« Les contrats dépendent des audiences ; le sport est un divertissement qui doit suivre les tendances et comprendre rapidement les habitudes de consommation pour croître, se monétiser et, à l’inverse, éviter de devenir un actif quelque peu obsolète. Le football est un excellent exemple : un sport gigantesque, mais qui a besoin d’innovations sur et en dehors du terrain pour être plus performant économiquement », ajoute Renê Salviano, CEO de Heatmap et spécialiste en marketing sportif, qui gère des contrats entre des marques et des professionnels du sport.

Selon Forbes, la valorisation de ces équipes repose principalement sur les contrats médiatiques. Deux des ligues les plus représentées dans le classement, la NFL (avec 29 équipes, soit 58% du total) et la NBA (avec 12 équipes), démontrent ce phénomène. La NFL versera à chaque franchise 380 millions de dollars par an dans le cadre d’un contrat de dix ans. De son côté, la NBA garantit 230 millions de dollars par an.

Thiago Freitas, Directeur des Opérations de Roc Nation Sports au Brésil, une entreprise américaine, conclut avec une analyse qui propose des solutions : « Ce qui est le plus intéressant dans cette liste, c’est ce qui n’est pas dit explicitement, mais qui devient évident lorsqu’on observe comment s’organisent l’exposition et la commercialisation des clubs. La liste montre, essentiellement, que les grands clubs ont un agenda mal exploitée et que leur audience est sous-rémunérée. Cela les place derrière des franchises d’une ligue qui n’a de pertinence que dans un seul pays, même si c’est le plus riche. Nous devons repenser de toute urgence comment monétiser non seulement les marques, mais aussi les calendriers des principaux clubs du monde. »

https://as.com/futbol/primera/el-madrid-bus...mo-monetizar-n/

[madrid25000]

Le Real Madrid n'aurait pas pu mieux terminer l'année. Avec une victoire, une goleada, un récital de Rodrygo et Kylian Mbappé, un adieu émouvant à Jesús Navas au Bernabéu, et, en plus, une triple rencontre très spéciale pour les joueurs madrilènes. Tout cela grâce à une journée riche en détails, à la fois à Valdebebas et dans le temple blanc.

Tout a commencé ce dimanche, quelques heures avant le match contre Séville, encore dans la Ciudad Deportiva. Les joueurs de l'équipe première sortaient de leur concentration pour monter dans le bus, où les attendait... Carlos Alcaraz. Le tennisman murcien n’a pas voulu manquer l’occasion de souhaiter bonne chance à toute l’équipe blanche, avec laquelle il sympathise.

La présence de "Carlitos" avait une explication. Et cela ne s’est pas arrêté là. Alcaraz a été invité à Valdebebas pour participer à une série d’actes promotionnels avec BMW, également sponsor du Real Madrid, d’où sa visite au club. Après avoir passé un moment avec les joueurs, il a poursuivi son parcours.

Et juste après, il est monté dans la voiture de sécurité de BMW qui escortait le bus madrilène jusqu’au Santiago Bernabéu. Plus tard, il s’est installé en tribune pour profiter du match, où les siens ont brillé face à Séville. Carlitos Alcaraz n’était pas le seul à venir saluer les joueurs madrilènes.

Déjà dans les vestiaires, l'équipe d’Ancelotti a partagé un moment de grande joie avec deux joueurs très appréciés au Real Madrid : Nacho et Joselu. Tous deux sont de fervents supporters du club madrilène. Nacho et Joselu ont assisté au match au Bernabéu, le premier depuis la tribune présidentielle et le second en commentant le match pour DAZN.

Bien qu’ils ne soient plus au club après leur départ l’été dernier, ils restent très proches de l’équipe de leur vie. Et profitant de la pause des championnats en Arabie Saoudite et au Qatar, ils n’ont pas voulu manquer l’occasion de revoir leurs anciens coéquipiers au Bernabéu. Une visite qui a beaucoup touché l’effectif et qui a permis de clôturer l’année 2024 avec encore plus de joie.

https://www.relevo.com/futbol/liga-primera/...3040308-nt.html

[Tanjiro]

Le Real Madrid a décidé de RENOMMER le Santiago Bernabéu en 'le Bernabéu'.

Marca


Au moins, ils n'ont pas choisi 'Bernie' pour faire plus intime

[DieuZidane]

Si c’est le cas notre président n’a aucune parole !

Il a dit : pour rien au monde je changerais le nom …

Perso je suis ultra déçu même si je comprend que niveau marketing l’impact que ça puisse être

[madrid25000]

Le Real Madrid vit une dualité. Les blessures s’enchaînent sans répit, dépassant en nombre celui des matchs disputés. Pourtant, les récupérations, pour la plupart, défient les prévisions les plus optimistes. Des retours qualifiés de miraculeux, qui finissent par perdre leur caractère exceptionnel tant ils deviennent fréquents. Prenons l’exemple de Vinicius : son physique avait déjà été mis à l’épreuve avant la Coupe Intercontinentale. Le 25 novembre, son biceps fémoral gauche a cédé. On parlait alors de trois semaines d’absence, juste à temps pour le match de Lusail. Mais le Brésilien a accéléré sa récupération, réduit ce délai de huit jours et a pu être titulaire, jouant 90 minutes contre l’Atalanta à Bergame. Une dynamique qui semble désormais être la norme.

Voyons aussi le cas de Ferland Mendy. Lors de la victoire cruciale à Montilivi, le Français a quitté le terrain avec une blessure au quadriceps droit. On estimait qu’il ne jouerait plus en 2024... ce qui s’est vérifié, à quelques nuances près. Il était tout de même présent sur la feuille de match contre Séville pour le dernier duel de l’année. Ancelotti a choisi de ne pas le faire jouer, mais le latéral était disponible sur le banc en cas de besoin. Un miracle parmi d’autres pour les médecins du club madrilène.

Miracle, ou peut-être pas tant que cela. Ces récupérations express s’expliquent par un travail intensif, autant du côté du club que des joueurs eux-mêmes, souvent avec leurs préparateurs personnels travaillant des heures supplémentaires (toujours en accord avec le département de Pintus). Mais ces délais réduits s’appuient aussi sur une politique de précaution dans les estimations initiales. Cela permet de minimiser les inquiétudes, de réduire les spéculations médiatiques et d’épargner au joueur une pression supplémentaire, puisqu’il sait qu’il respecte (ou dépasse) les attentes.

La liste des cas similaires ne cesse de croître. Rodrygo, par exemple, a connu deux récupérations accélérées. En octobre, il a transformé une absence prévue de trois semaines en deux. Puis en novembre, il a réduit un délai de quatre semaines à trois. Ces problèmes musculaires, bien qu’améliorés, ne se sont totalement résorbés qu’en décembre, où il a retrouvé le sourire... et le chemin des filets : « Maintenant, je me sens bien. Cela a été compliqué à cause des blessures. J’ai été absent un mois, puis je revenais et me blessais à nouveau... C’était très difficile. Mentalement, c’est dur, parce que tu veux être en forme et aider, mais tu ne peux pas parce que tu es blessé. C’était difficile. »

Camavinga a dû quitter l’équipe en août à cause d’une entorse au ligament collatéral interne de son genou gauche. Initialement, on prévoyait sept ou huit semaines d’absence. Il est revenu en cinq semaines. En août également, Jude Bellingham a souffert d’une lésion au muscle plantaire droit, avec une absence estimée à un mois. Mais il était de retour en trois semaines. Une entorse de la cheville pour Tchouaméni en novembre l’a tenu éloigné des terrains pendant un mois, alors qu’on envisageait cinq semaines. Lucas Vázquez (adducteur long de la jambe gauche) a presque divisé par deux son délai de récupération initial de 30 jours, puisqu’il était déjà présent à Anfield contre Liverpool au bout de 16 jours...

Enfin, les deux cas les plus surprenants : Brahim et Mbappé. Une blessure à l’adducteur long de la jambe droite devait éloigner Brahim des terrains pendant trois mois, selon le club. Finalement, ces 12 semaines se sont réduites à six, comme rapporté par AS. Quant à Kylian Mbappé, annoncé absent pour trois semaines en septembre, il n’a finalement raté que le derby. Sept jours après sa blessure, il jouait contre Lille, aux côtés de son frère Ethan. Miracles de Lourdes... et du Real Madrid.

https://as.com/futbol/primera/milagro-medico-del-madrid-n/

[madrid25000]

Il y avait le seul entraînement ouvert au public à Valdebebas aujourd'hui. 6000 socios chanceux tirés au sort y ont assisté.

https://as.com/futbol/fotorrelato/casi-6000...sion-del-ano-f/

Jamais compris pourquoi ils ne l'organisent pas au Bernabéu

[Nessay]

Le Real Madrid est devenu le premier club de l'histoire à dépasser le milliard d'euros de revenus d'exploitation

Le nouveau Bernabeu a rapporté au club 251 millions d'euros grâce aux matchs, et les nouvelles zones VIP ont rapporté 83 millions d'euros.

Le Real Madrid possède l’effectif le plus valorisé d’Europe, avec une valeur estimée à 1,364 milliard d’euros, et est également le club ayant la plus grande valeur commerciale, évaluée à 5,097 milliards d’euros.

[ Marca ]

Ce message a été modifié par Nessay: 22/01/2025, 13:31:14

[Charly22]

Le futur maillot extérieur.

https://www.90min.com/fr/photos-le-maillot-...est-tres-reussi