Anciens du Real Madrid Options

[El Canterano]

Ce n'est pas un canterano Iker Bravo, il ne nous a jamais appartenu. C'était un joueur de Leverkusen prêté au Real Madrid Castilla. Il est retourné à Leverkusen à la fin de son prêt.

Ce message a été modifié par El Canterano: 30/09/2024, 09:57:42

[madrid25000]

Ce n'est pas un canterano Iker Bravo, il ne nous a jamais appartenu. C'était un joueur de Leverkusen prêté au Real Madrid Castilla. Il est retourné à Leverkusen à la fin de son prêt.

Oui, il n'a eu qu'un court passage au Real mais en catégorie Castilla
D'ailleurs je crois mais c'est à vérifier que l'UEFA a sa définition de ce qu'est un joueur formé au club (il faut avoir fait 2 ou 3 saisons consécutives dans le club en question à moins de 21 ans, c'est pour cela que Vini ou Valverde sont, avec des gros guillemets considérés comme ainsi alors qu'ils ont été formés respectivement à Flamengo et Peñarol).

Avec une saison en prêt ce n'est bien entendu pas le cas de Iker Bravo

Edit j'ai retrouvé le critère :

Un « joueur formé par le club » est un joueur qui, entre l’âge de 15 ans (ou le début de la saison pendant laquelle il a son quinzième anniversaire) et l’âge de 21 ans (ou la fin de la saison pendant laquelle il a son vingt-et-unième anniversaire) et quels que soient sa nationalité et son âge, a été inscrit auprès de son club actuel pendant trois saisons complètes, consécutives ou non, (une saison commençant avec le premier match officiel du championnat national correspondant et se terminant avec le dernier match officiel de ce championnat) ou pendant 36 mois, continus ou non. Dans le contexte de cet alinéa, la saison précédant immédiatement le quinzième anniversaire du joueur peut être comptée si son anniversaire est après le dernier match du championnat national correspondant mais au plus tard le 30 juin (championnats d’hiver) ou le 31 décembre (championnats d’été), et la saison suivant immédiatement son vingt-et-unième anniversaire peut être comptée si son anniversaire est au plus tôt le 1er juillet (championnats d’hiver) ou le 1er janvier (championnats d’été) mais avant le premier match du championnat national correspondant.

https://documents.uefa.com/r/Reglement-de-l...-joueurs-Online

Ce message a été modifié par madrid25000: 30/09/2024, 10:42:06

[madrid25000]

Marco Asensio est de retour. L'ailier, blessé à la cuisse droite lors du match contre Gérone a été inclus dans la liste du PSG pour affronter Arsenal ce mardi à l'Emirates Stadium. Cette convocation pourrait lui offrir des minutes de jeu, surtout après l'exclusion de Dembélé pour des raisons disciplinaires, créant une opportunité pour l'ancien joueur du Real Madrid de s'affirmer dans le onze de départ.

L'entraîneur Luis Enrique, qui a perdu Gonçalo Ramos lors du premier match de la saison (blessure à la cheville gauche), avait décidé de positionner Asensio en tant que faux neuf, un rôle dans lequel il avait déjà excellé l'année précédente. Avant sa blessure contre Gérone, Asensio, 28 ans, avait cumulé trois contributions décisives (un but et deux passes décisives) et s'était solidement imposé comme titulaire, tout comme il l'avait fait la saison précédente avant sa blessure au pied avec la sélection espagnole.

Sa blessure à la cuisse, bien que sérieuse, n'était pas grave. Asensio s'est reposé et a commencé à s'entraîner seul vendredi avant de rejoindre l'entraînement collectif dimanche sans aucun problème. Il est peu probable qu'il soit titulaire contre Arsenal, mais il pourrait devenir une solution pour Luis Enrique si le match devenait difficile. L'absence de Dembélé lui offre plus de chances de jouer à Londres.

Lors de la victoire 3-1 contre Rennes vendredi dernier, c'est Kang-in Lee qui a été aligné en tant que faux neuf, livrant une excellente performance et marquant un but. Luis Enrique est très satisfait de ses apports à l'équipe, et il pourrait à nouveau le titulariser pour pallier l'absence de Gonçalo Ramos. Aligner Asensio dès le début pourrait en effet comporter des risques.

En plus du retour d'Asensio, Luis Enrique récupère également Donnarumma, absent contre Rennes, et Vitinha, le moteur du milieu de terrain parisien, qui s'était blessé à la cheville droite et n'avait pas pu participer au match de vendredi. Cette semaine est cruciale pour le PSG, et Asensio est prêt à revenir dans l'équipe.

https://as.com/futbol/internacional/asensio...nrie-por-fin-n/

[Nessay]

Nico Paz sera appelé par Lionel Scaloni. Il devrait faire ses débuts en équipe nationale.

RM

[madrid25000]

'La Fábrica' a été une véritable affaire pour le Real ces dernières saisons. Bien que peu de joueurs formés aient pu rejoindre l'équipe première, nombreux sont ceux qui ont rapporté de grandes sommes d'argent au club grâce à leur départ. Certains, comme Fran García, ont pu revenir, et d'autres continuent de progresser loin de la capitale espagnole, en cherchant à évoluer en tant que footballeurs.

Le dernier joueur formé à exploser est Mario Gila, qui a passé quatre ans dans l'équipe Juvenil A et le Castilla, et qui a même fait ses débuts sous les ordres d'Ancelotti, avant de décider de partir à la Lazio. Là-bas, il a connu une première saison terne, avec un rôle moins important que prévu, mais petit à petit, il s'est fait une place dans le onze romain et est maintenant l'une des pièces clés de l'équipe.

Ils occupent la quatrième place en Serie A, avec 4 victoires, 1 nul et 2 défaites, totalisant 13 points (à seulement une victoire du leader). L'une des raisons de ce succès est la paire Gila-Romagnoli au centre de la défense. Mario, qui avait joué très peu sous Sarri, a réussi à inverser la situation avec le nouvel entraîneur : Marco Baroni.

Mario n'est pas un défenseur central très grand (1,83m), mais il a une bonne qualité de passe, avec un taux de réussite de 91 %. De plus, il s'est beaucoup amélioré dans d'autres aspects défensifs, récupérant plus de 3 ballons par match et minimisant ses erreurs. En fait, il a même marqué un but lors de la défaite de son équipe face à la Fiorentina.

Le Real Madrid conserve une même philosophie lorsqu'il s'agit de vendre ses jeunes talents. Ils les laissent se développer en dehors du club, mais en conservant un pourcentage élevé des droits. Cela permet d'alléger un éventuel retour dans l'équipe ou de profiter en cas de transfert. Avec Mario Gila, la stratégie n'a pas été différente. Le catalan est parti en Italie pour 6 millions d'euros, mais les Madrilènes ont conservé 50 % des droits du joueur. Maintenant, grâce à sa grande forme, ils commencent à se frotter les mains.

Son retour au Real Madrid semble lointain, mais il ne faut pas exclure un transfert vers un autre club. Sa valeur marchande a grimpé à 13 millions d'euros, donc le club madrilène pourrait toucher la moitié d'un éventuel transfert. Il est sous contrat en Italie jusqu'en 2027, et dans le pays transalpin, il est déjà question d'une prolongation de contrat, alors que plusieurs clubs s'intéressent à lui.

Son agent, Alejandro Camaño, reste serein : « Nous ne sommes pas inquiets pour l'avenir. Nous sommes satisfaits de la progression de Mario et il est heureux à la Lazio. Il aura un avenir important ». En tout cas, c'est un joueur à surveiller de près, et il pourrait apporter une grande satisfaction au Real Madrid malgré ses deux années loin du club. Une preuve supplémentaire que la formule économique utilisée avec la cantera continue de bien fonctionner.

https://www.marca.com/futbol/futbol-interna...01098b45db.html

[Nessay]

Le Real Madrid est TRÈS HEUREUX du développement de Nico Paz à Como et en Argentine. Le club à le "contrôle" sur son contrat.

Fabrizio Romano

[madrid25000]

Le Real Madrid est TRÈS HEUREUX du développement de Nico Paz à Como et en Argentine. Le club à le "contrôle" sur son contrat.

Fabrizio Romano

Il a fait une passe décisive pour Messi lors du 6-0 face à la Bolivie et le propre Messi l'a encensé.

Depuis que Dani Carvajal est revenu de Leverkusen il y a plus de dix ans, aucun joueur formé au club n'a réussi à se stabiliser dans le onze de départ du Real Madrid. Mais, tandis que Cesc Fàbregas le façonne à Como et que Leo Messi le parraine en Argentine, on a l'impression que le Santiago Bernabéu a laissé filer un 'diamant' avec le départ de Nico Paz vers la Serie A.

"C'est un garçon fantastique qui grandit avec un entraîneur que je connais. Au-delà de son âge, il a une tête impressionnante. J'espère qu'il continue à grandir et qu'il le fasse de notre côté. Il va se sentir à l'aise", a commenté un Leo Messi étonné lorsqu'on lui a dit que Nico Paz n'était même pas né quand lui, Messi, a fait ses débuts officiels avec le FC Barcelone il y a exactement 20 ans.

La vie de Nico Paz a radicalement changé ces derniers mois, passant de la Primera RFEF avec le Castilla à briller lors de ses débuts avec l'Albiceleste à 20 ans, en offrant une passe décisive à Messi lors de la victoire contre la Bolivie. "C'est l'un des plus beaux jours de ma vie. C'était un rêve. C'est incroyable comment les gens soutiennent ici. C'est différent de tout ce qui existe dans le monde", a-t-il déclaré ému après le match.

Cela dit, ce n'est que la récompense d'un début de carrière brillant en Serie A. En effet, si Scaloni l'avait déjà appelé à s'entraîner alors qu'il était à la Fábrica, il n'a pas hésité un instant à le faire jouer après avoir fait le saut dans l'élite, accumulant 17 minutes de jeu impressionnantes : 18 interventions, 15 passes réussies sur 16 (94%), une passe clé, un dribble réussi sur un tenté.

C'est vrai que cet été, Nico Paz a pris un risque en choisissant de rejoindre le promu Como. Mais dès qu'il a enfilé le maillot pour la première fois, avant de s'embrasser avec Fàbregas, il a montré qu'il avait fait le bon choix.

Cesc Fàbregas n'a pas voulu précipiter les choses et l'a fait entrer en jeu comme remplaçant lors des deux premiers matchs contre Cagliari et Udinese. Cependant, il n'a pas pu se retenir plus longtemps devant une telle révélation et, depuis lors, Nico Paz a enchaîné quatre titularisations consécutives, ne reposant que durant les dernières minutes inutiles des matchs.

Grâce à la liberté totale que lui accorde Fàbregas pour évoluer en position de milieu offensif, sa stature imposante, sa qualité technique exquise et son audace balle au pied le font ressembler à un cygne dansant sur le pittoresque lac de Côme. Et ce, en plus d'avoir déjà offert deux passes décisives et de figurer dans le Top-10 de la Serie A pour les tirs par 90 minutes (4,09), les tirs cadrés (1,05), les dribbles réussis (2) et les occasions créées (4,7).

Le chemin ne fait que commencer, et il reste encore beaucoup à parcourir. Mais, sous l'aile de Fàbregas à Como et de Messi en Argentine, Nico Paz est en train de cesser d'être une promesse pour devenir une réalité.

https://www.marca.com/futbol/futbol-interna...resionante.html

[Tanjiro]

Keylor Navas : « Je me souviens d'un match en Ligue des Champions, très difficile. La première mi-temps était terminée..."

"...Et nous étions dans le tunnel et Cristiano a dit : ‘Vamos, tu dois garder ta cage inviolée, ne laisse aucun ballon entrer, ARRÊTE TOUT. Je vais marquer 2 BUTS et on va gagner le match !' »

"Oui, on a gagné. Il est sorti comme une bête, comme dans le film 300, quand le héros sort pour écraser tout le monde !"

« Ronaldo a ce caractère fort, il soutient ses coéquipiers, croit toujours et nous Y AVONS CRU. »

Et le reste appartient à l' histoire

[Erwin67]

Il était avec Eto'o quand il parlait ? Ça ressemble vachement aux histoires racontées par "Samuel "

[Priink]

Pour le coup y a pas mal d'histoires comme ça avec CR, le truc c'est que les gens racontent les fois ou ça a marché, et pas quand il dit ce genre de trucs et qui se sont terminés par une défaite.

[madrid25000]

Nico Paz est passé du statut de promesse à celui de l'un des noms les plus discutés dans le football international. À seulement 20 ans, le gaucher, actuellement au Como sous la direction de Cesc Fàbregas, a impressionné lors de ses débuts avec l'équipe nationale argentine, délivrant une passe décisive à Messi dans la large victoire contre la Bolivie (6-0). Trois jours plus tard, il a inscrit son premier but en Serie A lors d'un match contre Parme (1-1), où il a été élu MVP. Preuve après preuve, il continue d'envoyer des messages forts.

Au Real Madrid, certains regrettent déjà la décision de laisser partir ce talent, en particulier avec les nombreuses absences enregistrées en début de saison. Formé à La Fábrica, Nico Paz a connu une ascension fulgurante. En Italie, avec la confiance de Cesc Fàbregas et la liberté de jouer à son poste préféré, il a montré une grande maturité footballistique et s’est imposé comme l’une des révélations de la saison. Pour Messi, qui l’a pris sous son aile au sein de l’équipe argentine, sa « mentalité exceptionnelle » est un signe qu'il a un avenir brillant.

Son transfert vers le Como, fraîchement promu en Serie A, avait été perçu par beaucoup comme un pari risqué, mais l'Argentin a transformé cette décision en un succès retentissant. Sous la direction de Fàbregas, il a trouvé l’environnement idéal pour développer son jeu et gagner en visibilité. Sa capacité d’association et sa technique lui ont permis de briller rapidement. Son choix de représenter l'Argentine plutôt que l'Espagne, malgré sa naissance à Tenerife, ajoute un élément supplémentaire à son parcours, suivant les traces d'autres talents argentins.

L’histoire de Nico Paz avec l'équipe nationale argentine est profondément enracinée dans sa famille. Son père, Pablo Paz, a également porté le maillot de l'Albiceleste, ayant participé aux Jeux Olympiques d'Atlanta en 1996 et à la Coupe du Monde en 1998. Cependant, Nico semble être en passe de surpasser l’héritage de son père, tant par sa qualité sur le terrain que par son impact immédiat au sein de la sélection.

Pendant qu’en Argentine et en Italie, on se réjouit de la progression rapide de Nico, au Bernabéu, certains supporters commencent à se demander si le club n’a pas laissé filer un talent qui aurait pu jouer un rôle clé. Depuis les débuts de Carvajal et Nacho, aucun joueur formé au club n’a réussi à s’imposer comme une pièce maîtresse dans l’équipe première du Real Madrid. Des joueurs comme Lucas Vázquez ont dû partir avant de revenir, et maintenant, avec Nico Paz qui brille en dehors du club, la question se pose inévitablement : le Real Madrid a-t-il fait une erreur en ne misant pas sur lui ?

Pour l’instant, Nico Paz continue son parcours sous la tutelle de deux figures majeures : Cesc Fàbregas et Messi. Cela ne fait qu’alimenter les attentes quant à l’étendue de son potentiel. Il délivre déjà des passes décisives pour l'Argentine et marque en Serie A, et il n’a que 20 ans. Tout ne fait que commencer.

https://as.com/futbol/primera/nico-paz-hace...ar-al-madrid-n/

[madrid25000]

Álvaro Benito, footballeur du Real Madrid de 1995 à 2022, a exprimé son point de vue sur la défaite cinglante de l’équipe blanche par 0-4 contre le FC Barcelone au Santiago Bernabéu lors du Clásico.

Le Real Madrid souffre cette année d’un manque de plan offensif : le jeu est lent, uniquement dépendant de la capacité de Vinicius ou Mbappé à trouver un espace, mais sans éclat.

"Carlo Ancelotti a pris la parole au début, le front un peu froncé, car quelque chose ne lui plaisait pas. De plus, le Real Madrid souffre cette année d’un manque de plan offensif : le jeu est lent, uniquement dépendant de la capacité de Vinicius ou Mbappé à trouver un espace, mais sans éclat. Il fallait être prudent, mais on t’a donné une gifle et on a exposé tes lacunes," a expliqué l’ex-footballeur devenu analyste télé et radio dans l’émission 'Carrusel Deportivo' de la Cadena SER.

"Pour moi, les erreurs défensives sont incompréhensibles, la ligne défensive n’a aucun sens. C’est du désordre, du chaos… terrible. Ne nous concentrons pas seulement là-dessus, mais le travail défensif laisse beaucoup à désirer," a-t-il souligné.

Cependant, pour Álvaro Benito, tout n’a pas été négatif dans la défaite du Real Madrid : "Tout n’a pas été chaotique, et le Real Madrid a eu de bons moments en première mi-temps, mais des joueurs sans réussite n’ont pas marqué".

Tu dois bien jouer au football, car sinon, à moyen et long terme, les choses ne vont pas bien se passer
"On ne peut ni attaquer ainsi ni défendre ainsi. L’héroïsme, c’est très bien, mais cela ne peut pas être ton paradigme. Tu dois bien jouer au football, car sinon, à moyen et long terme, les choses ne vont pas bien se passer"

Álvaro Benito a aussi voulu regarder en arrière pour rappeler d’où vient le Real Madrid actuel de Carlo Ancelotti : "On peut commencer par là d’où nous venons. Le Real Madrid, depuis le départ de Cristiano et Karim, a ressenti le besoin de faire des efforts supplémentaires pour rester compétitif. C’est la grande vertu des succès récents de l’équipe d’Ancelotti en Liga et au niveau européen (…) Cette année, cela a un peu changé. L’équipe a commencé avec le ventre plein (…) Le Real Madrid a du mal cette année à construire dans chaque match".

https://www.marca.com/futbol/real-madrid/20...-paradigma.html

[Aporla15]

Bon……

Toni tu veux pas revenir petit contrat de 6 mois ?

[madrid25000]

Fernando Morientes, footballeur au Real Madrid lors de deux périodes différentes (de 1997 à 2003 et de 2004 à 2005), a analysé dans l'émission *El Partidazo de COPE* la crise de jeu et de résultats que traverse l'équipe merengue ces dernières semaines.

L'ancien joueur de l'Albacete, du Real Saragosse, du Real Madrid, de Monaco, de Liverpool et de l'Olympique de Marseille a longuement répondu à Juanma Castaño sur l'une des questions fondamentales du madridisme : « Que faut-il changer au Real Madrid pour sortir de la crise ? Qui doit-on intégrer dans l’équipe ? »

« Je n’ai pas de baguette magique… Je pense que c’est un problème de fond », a répondu Morientes avant de disséquer certains des maux qu’il détecte dans le Real Madrid de Carlo Ancelotti et de Florentino Pérez.

Le « premier » problème que Morientes détecte au Real Madrid : « Sous-estimer le départ de Kroos »
Morientes a commencé par le « premier » problème qu’il observe au Real Madrid : « C’est un peu une question de sous-estimer le départ de l’un des leaders au milieu de terrain. On en a parlé des milliers de fois et on l’a entendu dans d’innombrables débats… et c’est Toni Kroos. »


L’« autre » problème que Morientes voit au Real Madrid : « Le déficit dans la construction de l’effectif »
« Dans les grands clubs, j’imagine toujours deux joueurs par poste. Par exemple, si tu joues avec un 4-4-2, quatre attaquants puissants. À notre époque, si tu n’étais pas en forme, il y avait des changements, et cela te poussait à t’entraîner mieux et à vouloir regagner ta place dans l’équipe », a-t-il partagé sur la Cadena COPE.

Morientes a expliqué que « ne pas avoir quatre défenseurs centraux de qualité est un handicap en cas de problème. Tu ne peux pas imaginer Tchouaméni en défense centrale, même s’il est grand, fort et puissant. Et ça, les défenseurs centraux peuvent te le confirmer. »
« Tu ne peux pas imaginer un milieu de terrain en attaquant, car les attaquants ont un travail complètement différent des autres », a-t-il ajouté.

Morientes parle du rôle d’Ancelotti et met deux noms sur la table
Fernando Morientes a également évoqué le rôle de Carlo Ancelotti dans la résolution de la crise du Real Madrid.
« Il y a un peu de tout, et ce qui serait bien, et que j’aimerais, c’est qu’Ancelotti fasse bouger l’équipe », a-t-il souligné.

L’ancien footballeur a mis les noms d’Endrick et Arda Güler sur la table : « Endrick est sorti deux fois et a marqué deux buts… il pourrait bien en marquer d’autres sur 90 minutes ! Il y a Güler aussi… Il s’agit de faire des ajustements dans l’équipe et de trouver des solutions qui n’ont pas encore été explorées. »

https://www.marca.com/futbol/real-madrid/20...da-nombres.html

[Skynet]

Sur kroos, toutes nos actions de but ou d'occasions franche passaient par lui. C'est lui qui initiait un mouvement vers l'avant, chose que ne sait pas faire notre milieu. C'est lui temporisait ou accélérait le jeu. C'était notre métronome.
Même défensivement les joueurs étaient moins perdus.

[madrid25000]

J'ai regardé le Clasico Portugais, victoire 4-1 du Benfica. Di Maria a marqué un doublé, homme du match, il a été capable de tenir jusqu'à la 80eme. Il est sorti sur standing ovation. Courses, dribbles, il a tout fait. Côté Porto, c'était très décevant. Les ballons n'étaient presque jamais récupérés et les actions trop peu dangereuses.

J'ai bien aimé le match de Álvaro Carreras, à 21 ans, ce latéral gauche passé par notre Cantera de 2017 à 2020 est arrivé à Lisbonne en provenance de Manchester United. Il a ouvert le score hier. C'est un joueur assez puissant, qui gagne pas mal de duels (pas évident à son poste) et qui, pour le moment a un rendement assez similaire à celui de Grimaldo lors de sa dernière saison à Benfica.

[madrid25000]

Article assez spécial du journal AS consacré au seul joueur chinois dans les rangs du Real Madrid

La tournée estivale du Real Madrid en 2015 fut une expérience extrême. (On se souvient notamment de la victoire face au City de Pellegrini 4 à 1). Les Merengues, alors dirigés par Rafa Benítez, ont voyagé en juillet et août en Australie, où il faisait un froid glacial, puis en Chine, où le club avait établi des écoles de formation en partenariat avec le Guangzhou Evergrande, une équipe de cette ville. Cependant, c'est dans l'autre équipe de la ville, le Guangzhou R&F FC, qu’évoluait Lin Liangming, un jeune ailier vertical, technique et offensif, qui allait rejoindre le Real Madrid en juillet de cette année-là. Son transfert n’a coûté que 300 000 euros, mais a eu son lot de particularités : le recrutement a été finalisé alors que l’équipe se trouvait en Australie, et il n’a été officialisé qu’une fois arrivée en Chine quelques jours plus tard.

Lin est ainsi devenu le premier footballeur chinois à signer au Real Madrid. Il intégrait les catégories inférieures du club avec un CV impressionnant : il était alors le meilleur joueur chinois de moins de 19 ans. Il rejoignait d'autres jeunes talents recrutés par les Merengues, comme Martin Ødegaard ou Marco Asensio, dans l’idée qu’ils pourraient soit faire carrière au sein du club, soit, en cas de performances insuffisantes (comme ce fut le cas pour Asensio), servir de levier économique. Cela s’est effectivement produit pour Ødegaard.

Le cas de Lin est emblématique : après un excellent départ avec le Juvenil A dirigé par Ramis (il a marqué deux doublés consécutifs contre Alcalá et La Puebla de la Calzada), le licenciement de Benítez en janvier 2015 a brisé son avenir madrilène. Zidane, qui l’avait fait monter pour s’entraîner avec le Castilla, a été promu à la tête de l’équipe première ; Ramis est passé au Castilla, et Solari, qui a pris en charge les Juvenil, ne comptait pas sur lui.

À la fin de cette première saison, Hebei China Fortune a proposé sept millions d’euros pour le recruter (une offre qui a ensuite grimpé à dix millions), mais Lin a choisi de rester. Cependant, sa deuxième saison fut moins convaincante, marquant le début d’une série de prêts : il a été prêté à Almería (où il a passé deux saisons), au Gondomar et au Marítimo au Portugal avant de retourner en Chine.

Aujourd’hui, Lin joue au Beijing Guoan et est international : il a fait ses débuts en mars 2023 contre la Nouvelle-Zélande, marquant son premier but en juin de la même année face à la Birmanie. Jeudi dernier, il a de nouveau été titulaire contre Bahreïn dans un match qualificatif pour la Coupe du Monde 2026 au Canada, aux États-Unis et au Mexique. Lin espère emmener son pays à ce qui serait la deuxième participation du géant asiatique à une Coupe du Monde de football, la première remontant à 2002 lors de l’édition en Corée et au Japon.

https://as.com/futbol/que-fue-del-unico-jug...-real-madrid-n/

[madrid25000]

Jesé Rodríguez, footballeur espagnol de 31 ans qui évolue actuellement au Johor Darul Takzim FC dans la Super League de Malaisie, a accordé une interview au youtubeur "Mowlihawk" où il a évoqué certains des moments les plus marquants de sa carrière.

"Il y avait beaucoup de gens qui prenaient de la merde pour être performants. À l’époque, ce n’était pas aussi contrôlé qu’aujourd’hui. Je ne critique ni ne juge personne, mais c’était comme ça. C’est juste que ça n’est peut-être pas sorti publiquement", a révélé l'attaquant originaire de Las Palmas

"Ancelotti a eu les couilles de mettre Gareth Bale sur le banc et de me faire jouer"
Lors de son entretien avec "Mowlihawk", le "Bichito" (petit insecte) a parlé de ses expériences au Real Madrid, de son passage au PSG, de la blessure qui a marqué sa carrière et de ses relations avec Florentino Pérez, Mourinho, Carlo Ancelotti, Cristiano Ronaldo ou Gareth Bale.

Au cours de sa carrière, Jesé Rodríguez a joué pour le Real Madrid Castilla (2011-2013), le Real Madrid (2013-2016), le Paris Saint-Germain F.C. (2016-2020), l’U.D. Las Palmas (2017), Stoke City F.C. (2017-2018), le Real Betis Balompié (2019), le Sporting de Portugal (2019-2020), l’U.D. Las Palmas (2020-2022), MKE Ankaragücü (2022-2023), U.C. Sampdoria (2023), Coritiba (2023) et Johor Darul Takzim FC (2024).

Jesé raconte comment "Floren" (Florentino Pérez) a retardé son intégration dans l'équipe première du Real Madrid
"Je n’ai passé que deux ans avec le Castilla. J’ai débuté à 16 ans, j’ai fini cette saison-là, j’ai commencé la suivante en 2e division B, et nous sommes montés en 2e division. Ils allaient me faire monter, mais Floren (Florentino Pérez) a dit : "Laissez-le jouer une autre année en 2e division, car c’est presque professionnel". Et l’année suivante, j’étais dans l’équipe première. En 2e division, j’ai battu le record de buts de Butragueño. Il en avait marqué 21, et moi 22."

"Karanka, qui était l’entraîneur adjoint de Mourinho et avec qui j’avais de bons rapports, m’a appelé pour me demander si j’étais prêt pour la pré-saison. Mourinho venait d’arriver, et Karanka lui a dit : "Celui-là, il faut l’emmener". J’ai marqué un but avec la poitrine en Chine sur un centre de Di María en rabona, et cette même année, à 18 ans, j’ai débuté contre la Real Sociedad. Cristiano est sorti et je suis entré. À ce moment-là, je voulais conquérir le monde."

Jesé et sa relation avec Mourinho : "J’ai eu deux disputes avec lui, mais sans manquer de respect"
"C’est un excellent entraîneur. Intelligent et stratège. On sent qu’il a de la rue. Mais avec certains joueurs, il y avait des frictions parce qu’il avait un fort caractère. J’ai eu deux disputes avec lui, en mode joueur-entraîneur, sans manquer de respect. C’était un gars qui aimait les confrontations. Il adorait la polémique, mais c’est un bon type. Il m’a beaucoup aidé à m’améliorer."

Jesé sur Ancelotti : "Il a eu les couilles de mettre Bale sur le banc et de me faire jouer"
"Avant ma blessure, je sentais que c’était à moi de jouer et que Bale ne jouerait pas. Moi, j’étais gratuit, et lui, il avait coûté 120 millions d’euros. Il parlait très peu, et en anglais. Ancelotti a eu le courage de le mettre sur le banc et de me faire jouer. Un autre entraîneur ne l’aurait peut-être pas fait. Florentino aimait beaucoup que les joueurs formés au club résolvent les matchs, car il pouvait dire : "C’est moi qui ai parié sur eux"."

"Quand Gareth Bale est arrivé, il a dit qu’il voulait jouer à gauche. Cristiano l’a appris, et avec Ancelotti et Florentino, ils lui ont dit : "Toi, tu joues à droite". Et moi, derrière, je me marrais. Mais il n’y avait pas de rivalité entre nous. Il y avait des visages fermés, mais que pouvait-il me dire, lui qui ne parlait pas ?"

Jesé sur sa blessure au genou : "Ce jour a changé ma vie pour toujours"
"Avec le recul, je réalise que ce jour a changé ma vie pour toujours. C’était l’un des pires jours de ma vie. Avant cela, je me sentais au meilleur moment de ma carrière. Je savais que si je maintenais ce rythme, je pouvais rivaliser avec n’importe qui."

"Florentino m’a emmené voir le meilleur chirurgien d’Allemagne. Mais quand j’ai eu l’infection et qu’ils ont dû nettoyer deux fois, j’ai dit : "C’est fini". Quand je me suis senti mieux, c’était ma dernière année au Real Madrid et la Liga était terminée."

Jesé sur son transfert au PSG : "La première fois que j’ai vu un million sur mon compte, j’ai dit : "Wow, tout ça pour marquer des buts ?""
"J’aurais pu rester au Real Madrid, mais l’option du PSG s’est présentée. Comme je ne jouais pas beaucoup, j’ai pensé à partir à Paris pour avoir du temps de jeu. Emery, l’entraîneur, m’a appelé. Le Real avait fait beaucoup de recrutements, et je voulais aller à l’Euro avec la sélection, car j’étais presque parti au Mondial au Brésil. Del Bosque allait m’emmener, mais je me suis blessé."

"Ils amélioraient aussi mon contrat et payaient beaucoup plus. Et pourtant, au Real, où on était payé tous les six mois, c’était déjà très bien. Je gagnais un peu moins de 5 millions d’euros bruts. La première fois que j’ai vu un million sur mon compte, j’ai dit : "Wow, tout ça pour marquer des buts ?"

Sur le PSG : "Ils m’ont très mal traité, et j’ai compris que le Real est le meilleur du monde"
"J’ai débuté au PSG en donnant une passe décisive pour une victoire lors de mon premier match. Mais ensuite, j’ai eu une appendicite et j’ai été KO pendant deux mois. En hiver, ils m’ont dit que je devais partir. J’ai dit à Emery que je me sentais trompé."

"Le président (Al-Khelaifi) ne voulait même pas me voir. Je ne sais pas s’il aimait plus ma femme que moi. Ils ne m’ont donné aucune explication. On pouvait être bien payé, mais ils m’ont très mal traité. J’ai compris que le Real est le meilleur club du monde en tout."

Sur Mbappé : "Je lui ai dit que s’il voulait le Ballon d’Or, il devait signer au Real Madrid"
"Avant de quitter le PSG, j’ai eu deux conversations avec Mbappé. Il m’a demandé comment était le Real Madrid, et je lui ai dit que c’était le meilleur club du monde et que s’il voulait gagner le Ballon d’Or, il devait y signer."

Sur Cristiano Ronaldo : "Je voulais gagner ce qu’il avait déjà gagné"
"C’est vrai que Cristiano et moi avions des aspects similaires, mais la presse exagérait beaucoup. Pour moi, il était comme un modèle. Parfois, il nous disait : "Allons dîner avec Sergio (Ramos)". Quand j’ai intégré l’équipe première, il s’est souvenu de moi."

Sur sa fameuse phrase : "Dans quatre ans, je rêve de gagner le Ballon d’Or"
"J’étais très jeune et je me sentais très fort. Avec le recul, je ne changerais pas cette phrase, mais j’aurais peut-être pu dire : "Si je continue comme ça, je pourrais prétendre au Ballon d’Or". Cristiano m’a montré son Ballon d’Or et m’a laissé poser avec. Il m’a demandé : "Tu vas le gagner ?", et j’ai répondu : "Oui". Il m’a dit : "C’est la bonne attitude"."

https://www.marca.com/futbol/futbol-interna...rda-rendir.html

[Skynet]

Ce qui est drôle c'est que tout le monde est unanime pour dire que le PSG est vraiment un club de merde lol.

[Priink]

Les passages avec Bale ça me fume