Real Madrid - Atletico : 2-1, 1/8eme finale Aller - Rodrygo, Brahim Options

[Féli]

N'empêche, j'ai été pas mal agacé pendant le match, frustré au coup de sifflé final, mais faut dire qu'on a très bien fait le taff.

En face on avait un 4411 à l'ancienne, une défense avec deux latéraux rugueux et les ailiers devant eux ont des profils de pistons.

Nous on a fait ce qu'il fallait pour les prendre à leur propre jeu : Marquer très tôt, les attendre pour les forcer à se découvrir. C'est un peu notre force depuis 3/4 ans, on s'arrange pour que le contexte soit défavorable à l'adversaire et on fait ressortir leurs points faibles.

Le but d'Alvarez qui sort de nul part aurait pu nous faire mal mais finalement on l'emporte logiquement en reprenant le dessus sur le jeu après l'entrée de Modric.

AU niveau des individualités, tous le monde a très bien fait le taff de la défense au milieu, ceux qui ont manqué leurs rdv ce sont des deux joueurs les plus offensifs, que l'Atleti a complétement muselé. Du coup on a eu un Kylian trés effacé et Vini qui ne leur a finalement pas trop posé de problème car trop trop prévisible.

Par contre le fait de mobiliser systématiquement deux voir trois joueurs pour couper toutes les possibilités de passes vers Vini et Mbappé, ils l'ont payé sur le but de Brahim. L'hispano-marocain réalise un enchainement complement dingue, mais quand vous regardez le début de l'action, les trois cochons qu'il humile était à la base monté sur Vini à 30m de leur but et se sont retrouvés le cul entre deux chaises au moment où Brahim reçoit le ballon. C'est un peu pareil sur le but de Rodrygo, il récupère le ballon proche des buts adverse et t'as les centraux de l'Atleti qui quand ils ne sont pas en surnombre ne savent plus sur quel pied danser (soit monter sur Rodry, soit couper la passe vers Kyky) et le n°11 à le talent pour punir systématiquement une défense qui hésite.

Pour le football, je suis bien content que ce soit Rodrygo et Brahim Diaz qui se sont illustrés, eux qui sont souvent restés dans l'ombre pour permettre à l'équipe d'être équilibré.

Ce message a été modifié par Féli: 05/03/2025, 07:38:06

[Skynet]

Bon petit match, on arrive à être sérieux quand on veut.
Rien n'est fait en tout cas.

[Serino]

Par contre l'Atletico est un club des chiens . Hier j'ai halluciné, ils ont sifflé le une minute de silence et le public était obligé d' acclamer pour etouffer les sifflés . On est dans un monde des dégénérés .

Elle était pour quoi la minute de silence ?

[R. Carlos]

C'est moi ou Tchouameni a fait un match de patron au milieu ?

Il a été tres bon et il est souvent bon en 6, moyen en central mais ce n'est pas son poste. moi je l'aime bien Aurelien et le Tchouameni Batching est largement exagéré à mon sens

[R. Carlos]

Elle était pour quoi la minute de silence ?

Jurado, un ex joueur du Real décédé à 48 ans .

[R. Carlos]

Bon match globalement, maitrisé sur une bonne partie du match. trois tres beau buts . On part au Metropolitano avec un but d'avance , ce qui est le plus important. le retour de Bellingham fera du bien, pas de blessés et pas de suspendu pour le match retour. ça me va

[Serino]

Jurado, un ex joueur du Real décédé à 48 ans .

Bizarre je ne vois rien sur internet.

[Redondo]

Bizarre je ne vois rien sur internet.

C'est Javier Dorado
https://www.realmadrid.com/es-ES/noticias/f...abeu-04-03-2025

**

Ancelotti a plutot apprécié le match, il trouve que l'équipe a bien travaillé, il a dit que Rodrygo et Brahim étaient les meilleurs sur le terrain, l'Atletico a eu le controle par moment mais sans se creer beaucoup d'opportunités

[madrid25000]

Ancelotti avait tort. Ou peut-être voulait-il simplement l’être. Et tout cela faisait partie de son plan. Non seulement il ne faut pas écarter cette hypothèse, mais elle est même très probable. Contrairement à la sienne, incertaine. Manifestement imparfaite. « Il y a deux types de joueurs : ceux qui courent et ceux qui font la différence. Si quelqu’un veut être entre les deux... ce n’est pas possible. Soit tu cours, soit tu fais la différence », a-t-il déclaré avant le derby. Regard rigide et visage impassible. Il ne manquait plus qu’un coup sur la table. Ou un « c’est comme ça ». Mais aussi vite qu’elle est née, sa théorie est morte en une journée. Parce qu’il est possible de courir et de faire la différence. Bien sûr que c’est possible. Et pour les plus exigeants des empiriques, il y a Brahim et Modric. Des exceptions. Des exemples.

Brahim a fait la différence. L’homme de la couverture, l’auteur du but décisif. Et dans le football, le but éclipse tout. Ou presque. Parce que son match, au-delà de cette 55ème minute, a été le reflet parfait d’un joueur engagé dans le sacrifice défensif. Deux statistiques : il a été le joueur du Real Madrid ayant remporté le plus de duels (3) et celui ayant réalisé le deuxième plus grand nombre de récupérations (6, juste derrière Tchouaméni avec 7). Un milieu offensif théorique. Un joueur à vocation offensive. Et c’est là qu’intervient la deuxième partie de la théorie d’Ancelotti.

« Les joueurs qui ont de la qualité sont ceux à qui il est le plus difficile de faire preuve de sacrifice et d’engagement collectif, c’est évident », a-t-il ajouté. Comme une réflexion générale. Brahim, le cinquième fantastique, aurait pu se laisser porter par la tendance. Mais il ne l’a pas fait. Il a profité de la liberté que lui accorde Carletto pour attaquer, mais il a été particulièrement discipliné en défense, repliant dans le 4-4-2 et occupant le flanc gauche. Concentration maximale. Pratiquement sans erreurs. Brahim, auteur de six buts et sept passes décisives cette saison (une implication toutes les 128 minutes), court et décide. En même temps. Défiant ainsi la théorie d’Ancelotti.

Luka ouvre un débat
Mais il n’est pas seul. Le match de Modric était de ceux qui crient pour une titularisation au Metropolitano. Pendant une heure, le Real Madrid a joué sans rythme ni coordination. Perdu. Désorganisé. Donnant même l’impression d’improviser. Jusqu’à l’entrée de Luka. Là, tout a changé. L’homme de 39 ans, brassard au bras (transmis par Valverde dès son entrée), a commencé à agiter sa baguette magique. Et le Real est devenu une autre équipe. Radicalement différente. Non seulement elle a retrouvé de l’ordre et du jeu, mais elle a aussi fait disparaître l’Atlético. Modric a donné 50 passes et réussi... 50 passes. Parfait. Une leçon de création.

Et cela aussi, c’est décider. En fait, il y a un art dans le fait de faire peu de bruit et beaucoup d’effet. Modric, sans élever la voix, a entonné quelque chose de très proche de Nessun Dorma, mais avec le ballon aux pieds. Il a touché 56 ballons, adressé deux centres et a eu une occasion dans le temps additionnel, avec une frappe depuis l’entrée de la surface qui est partie au centre. Un but à ce moment-là aurait mis le stade en ébullition. Comme l’a fait, mais pour une autre raison, le duo Tchouaméni-Camavinga. Il a semé de sérieux doutes. Et avec Aurélien indiscutable et Luka à ce niveau... un débat s’ouvre pour le match retour. Un grand débat. Contrairement à celui sur la théorie d’Ancelotti, qui, lui, est clos.

Il avait tort. Ou peut-être tout était-il un plan. Admettre que sa phrase pouvait lui revenir en pleine figure à tout moment. Comme un boomerang. Mais si, entre-temps, cela produisait l’effet escompté, alors tant mieux. C’était un message à ses joueurs : si vous ne faites pas la différence, assurez-vous au moins de courir. Mais oui, bien sûr, on peut faire les deux à la fois. Évidemment. Et dans le football d’aujourd’hui, on doit même le faire. Brahim et Modric en ont fait la démonstration. Simple et efficace. Beaucoup de travail sans ballon et beaucoup de magie avec. Deux exceptions. Deux exemples. Deux remplaçants titulaires.

https://as.com/futbol/champions/dos-que-corren-y-deciden-n/

[julianrealmadrid]

Et ces gros batard de l’ztletico qui siffle une minute de silence pour une personne décédé d’une leucémie, vraiment des merdes.

J’espère qu on va les sortir mercredi histoire de les faire encore pleurer.

[R. Carlos]

Bizarre je ne vois rien sur internet.

Dorado, pas Jurado, Pardon

[Serino]

Et ces gros batard de l’ztletico qui siffle une minute de silence pour une personne décédé d’une leucémie, vraiment des merdes.

J’espère qu on va les sortir mercredi histoire de les faire encore pleurer.

Je suis entièrement d'accord avec toi, des sous-hommes.

[Neiam]

Très bonne performance de l’équipe, surtout Valverde, Rodrygo et Brahim qui ont sorti un gros match.

C’est un peu dommage de pas avoir réussi à mettre le 3eme but pour être plus tranquille au retour, mais je suis sur que l’équipe va se mobiliser pour être prêt au WandaMetropolitano, la qualif n’est pas encore assurée. Je fais confiance à l’équipe.

[madrid25000]

Les notes de l'équipe

[Aporla15]

Sans surprise on est l’équipe qui a le moins couru hier :

Real : 105km
Bruges : 110km
Aston Villa : 113km
PSV : 114km
Atletico : 114km
Lille : 120km
Dortmund : 121km
Arsenal : 121km

Mbappé est le joueur qui court le moins depuis le début de la Ligue des Champions avec une moyenne de 7km par match.

[llaz]

Sans surprise on est l’équipe qui a le moins couru hier :

Real : 105km
Bruges : 110km
Aston Villa : 113km
PSV : 114km
Atletico : 114km
Lille : 120km
Dortmund : 121km
Arsenal : 121km

Mbappé est le joueur qui court le moins depuis le début de la Ligue des Champions avec une moyenne de 7km par match.

et pourtant c'est visible sur le terrain, les joueurs font aucun effort quand il s'agit de presser ou d'attaquer, c'est hallucinant et je rejoins les personnes qui pointent la préparation physique de cette année qui est pour moi la principale cause des blessures et de la fatigue des joueurs.

[madrid25000]

Quel poids a eu le match de Liga disputé le 8 février dernier au Santiago Bernabéu (1-1) entre le Real et l'Atlético dans la préparation de ce huitième aller de C1 entre les deux voisins ? Difficile de répondre à cette question avec précision, même s'il semble évident que les staffs des deux clubs ont dû passer cet affrontement à la loupe au moment de préparer cette rencontre.

Preuve en est, Carlo Ancelotti a demandé à ses deux ailiers théoriques Vinicius Junior et Rodrygo de coller leur ligne de touche, renforçant ainsi une animation offensive déjà entreprise le mois dernier et qui avait notamment offert à la Maison Blanche cinq grosses occasions.

(1/2) De gauche à droite, les ballons touchés par Vinicius et Rodrygo début février en Liga face à l'Atlético.

(2/2) Dans le même sens, ceux touchés par les deux Brésiliens mardi soir en Ligue des champions. Leur influence est désormais presque uniquement cantonnée aux couloirs.
Écarter pour créer des espaces

Pour tenter de manipuler le 4-4-2 compact mis en place par Diego Simeone, le Real a évolué dans un système oscillant entre le 4-2-3-1 et le 4-3-3 selon la position de Brahim Diaz, mais surtout, avec deux vrais ailiers. Une volonté qui a notamment permis aux hommes de Carlo Ancelotti de profiter systématiquement d'une option à l'opposé sur les renversements.

D'autant que l'Atlético a, comme à son habitude, tenté de défendre de manière très dense, n'hésitant pas à coulisser sur un côté pour enfermer au maximum le porteur de balle adverse. Un parti pris qui peut sembler pertinent face à la proximité que peuvent parfois avoir Vinicius, Mbappé et Rodrygo, mais qui s'est cette fois heurté à une répartition des espaces bien définie. Ainsi, le Real a pu contourner le bloc des Colchoneros assez facilement très tôt dans la rencontre.


(1/2) Dès l'entame du match, Vinicius et Rodrygo s'installent proches de leur ligne de touche. À l'instant où le second est servi, Diego Simeone demande à ses joueurs de venir resserrer côté ballon pour empêcher le Real de combiner et enfermer le Brésilien.

(2/2) Alors l'ailier joue en retrait vers Asencio qui tente ensuite directement de renverser pour permettre à Vinicius de profiter de l'espace à l'opposé. Le ballon filera en sortie de but, mais le ton est donné.

(1/2) Une minute plus tard, le Real sort le ballon côté gauche. Eduardo Camavinga hérite du cuir et s'empresse de basculer le jeu vers le côté droit. Voyant le départ du latéral de l'Atlético vers Rodrygo, il choisira finalement de servir Federico Valverde. Samuel Lino (entouré), milieu gauche adverse, ferme l'intérieur.

(2/2) Mais l'Atlético et Lino n'ont pas assez de 3 secondes pour coulisser et sortir sur l'Uruguayen afin de l'empêcher de profiter de l'espace côté droit. Bien servi par son capitaine du soir, Rodrygo fera ensuite la différence athlétiquement dans la profondeur et techniquement dans la surface, 1-0.

Réputés pour leur mobilité, Vinicius Junior et Rodrygo n'ont toutefois pas été scotchés à leur ligne durant l'intégralité de la rencontre. Afin de se connecter à leurs partenaires, les deux Brésiliens ont parfois décroché pour laisser Federico Valverde, Ferland Mendy, ou encore Kylian Mbappé occuper la largeur. Des mouvements perpétuels qui ont offert des appels au Real, destinés à être servis ou non, afin de perturber les repères défensifs de l'Atlético.

D'autant que la présence dans les couloirs a aussi permis aux Merengues de se faciliter certaines transitions défensives, Brahim Diaz étant majoritairement proche de Vinicius en possession, dans le demi-espace gauche, à l'instar de son poste excentré dans le 4-4-2 sans ballon mis en place par Carlo Ancelotti. Au-delà de son but crucial (55e), le Marocain a notamment récupéré 6 ballons, second plus haut total de son équipe derrière Aurélien Tchouaméni (7).


Afin de combiner avec Vinicius et lui permettre de se lancer dans le couloir, Brahim Diaz vient servir de relais au Brésilien. Ce dernier percutera jusqu'à défier Jan Oblak, sans succès. Dans le même temps, Rodrygo reste à l'extrême opposé, toujours dans le souci d'étirer le bloc adverse ou d'offrir une possibilité de renversement.

En deuxième période, séquence similaire mais c'est cette fois le Marocain qui vient s'appuyer sur Vinicius pour se lancer dans le couloir. Huit secondes et une bonne remise de Ferland Mendy plus tard, le Real doublera la mise.

Côté droit, Rodrygo n'a pas d'équivalent technique à Brahim Diaz pour combiner mais il peut compter sur la générosité de Valverde pour aspirer des adversaires et lui permettre de se retrouver en un contre un avec de l'espace dans son couloir. Dans le même temps, Aurélien Tchouaméni compense et couvre les courses intérieures du latéral uruguayen.
Dorénavant en ballottage favorable avec cette courte victoire (2-1), avant la rencontre retour mercredi prochain (21 heures) dans un Riyadh Air Metropolitano bouillant, le Real Madrid devra toutefois parvenir à faire preuve d'une maîtrise plus conséquente pour éviter certaines sueurs à ses plus fidèles supporters. Même si ces derniers connaissent désormais la chanson mieux que quiconque : bien que profondément imparfaite, cette équipe dispose de ressources techniques et mentales capables de faire vaciller n'importe qui, n'importe quand, n'importe comment.

https://www.lequipe.fr/Football/Article/Dec...tletico/1544417

[loranais84]

Mbappé par sa mentalité , est entrain de fissurer notre mentalité de gagnant de ceux qui mouillent le maillot .

On lui fait une place de choix avec un changement de systeme et on sacrifie notre meilleur offensif de l'an dernier .

[Aporla15]

Sans surprise on est l’équipe qui a le moins couru hier :

Real : 105km
Bruges : 110km
Aston Villa : 113km
PSV : 114km
Atletico : 114km
Lille : 120km
Dortmund : 121km
Arsenal : 121km

Mbappé est le joueur qui court le moins depuis le début de la Ligue des Champions avec une moyenne de 7km par match.

Update avec les matchs du soir :

Real : 105km
Bruges : 110km
Leverkusen : 110km (rouge à la 62eme)
Barcelone : 112km (rouge à la 22eme)
Aston Villa : 113km
PSV : 114km
Atletico : 114km
Feyenoord : 116km
Inter : 116km
PSG : 116km
Liverpool : 116km
Bayern : 116km
Benfica : 119km
Dortmund : 120km
Lille : 121km
Arsenal : 121km

Ce message a été modifié par Aporla15: 05/03/2025, 23:22:35