Si il l'avait fait contre la Juventus, avec Ramos à droite et Marcelo à gauche. Mais il avait dit que c'était pour qu'un match.
Moi j'ai toujours bien aimé Ramos à droite, comme il est technique, et sur le papier c'est probablement le mieux, mais après là on a Carvajal et Arbeloa.

C'est toi qui défendait depuis longtemps l'idée de mettre DM22 milieu central gauche. J'étais sceptique, mais j'avoue que je prends bien plus au sérieux ton point de vue depuis le match contre le BEtis. Espérons qu'Ancelotti perpétue à l'avenir ce schéma tactique et qu'il s'avère viable sur la durée!


Et qui surtout était inexistant dans nombre de matchs contre les équipes très repliées de Liga, matchs dans lesquels sil avait énormément de mal à animer notre secteur offensif à 0-0 contrairement à Modric cette année.



Avec Ozil, s'il avait joué en 10, ça aurait empiré la situation, vu que Modric aurait été remplaçant au retour d'Alonso, avec un milieu Khedira/Alonso/Ozil, et que notre maestro croate, meilleur joueur de l'équipe cette saison avec CR7, n'aurait pas pu exploser au plus haut niveau. Avec Ozil milieu droit, ça aurait pu donner quelque chose, mais vu qu'on a Bale c'est inutile. Et contrairement à ce que de nombreux fans de l'Allemand disaient, Ronaldo n'a pas besoin de lui pour enchaîner les buts, ses stats sont encore meilleures depuis son départ. Et a contrario, Ozil est moins fort statistiquement cette année, ce qui prouve que c'est bien le Portugais qui bonifiait les stats de l'Allemand et pas l'inverse.

Bref, j'irai plus loin que toi AlexWest, je pense qu'avec Ozil titulaire, notre équipe aurait probablement été plus faible (même si j'aurais aimé qu'il reste, comme milieu droit ou remplaçant).

Ce message a été modifié par Gouliakine: 21/01/2014, 15:02:36

http://www.goal.com/fr/news/32/espagne/201...i-perdus-de-vue

Cet article a comme titre la situation de Isco & Illarra. Je me demandais ou j'allais le posté..
Mais le contenus parle beaucoup plus de l'evolution de l'équipe & de la gestion de certains joueurs par Ancelotti, & ses changements tactiques. Donc On parle beaucoup plus de l'equipe & Ancelotti que de Isco & Illara

Isco Alarcon et Asier Illarramendi, recrutés pour préparer l'avenir du Real Madrid, ne jouent plus beaucoup en équipe première. Faut-il vraiment s'en inquiéter ?

Ah "Perdu de vu". L’émission culte des années 1990. Une émission que les (champions d’Europe espagnols des) moins de 21 ans ne peuvent pas connaître. Pourtant, un numéro du show de Jacques Pradel pourrait bien être consacré à deux des plus illustres représentants de la compétition continentale remportée par la Rojita, Francisco Alarcon et Asier Illarramendi, histoire de leur accorder un appel à témoins. Avec 3 buts et 3 passes décisives depuis fin septembre (en 15 matchs) Isco notamment, gagnerait à être retrouvé. Arrivé à Madrid l’été dernier, il s’est offert le luxe de chasser Mesut Özil de la Maison Blanche pour prendre sa place au centre du pré. Comme un passage de témoin. Ce qui menace désormais Isco, c’est d’être un témoin de passage. Et d’écumer les bancs et les prêts comme Morandini les plateaux de la TNT. Mais nous sommes encore loin d’en arriver là.

« Pour recruter Isco, tapez 1 »

Le témoin N°1, dans cette affaire, c’est Zidane. C’est lui le téléspectateur des très bonnes saisons d’Isco à Malaga et d’Illarra à la Sociedad qui a pris son téléphone pour les recruter. Illarramendi ne voulait pas partir, Isco avait son avenir tracé dans la colonie espagnole grandissante de Manchester City dans le sillage de son coach Manuel Pellegrini, mais l’appel de Zidane a tout changé, de l’aveu même de nos « disparus ». Zidane leur a promis de les inscrire dans le projet de jeu d’Ancelotti sur la durée, le mythique ancien numéro 5 du Real leur a assuré qu’ils auraient du temps de jeu (leur principale préoccupation) et qu’ils ne seraient pas que des figurants dans la nouvelle saison du grand show merengue. Mais des prime time, les deux joueurs n’en ont pas eu énormément.

"Je suis une célébrité, sortez-moi de là"

Il était de bon ton, dans ces Reality Show, de proposer une reconstitution pour remettre en contexte les éléments de la disparition. Notre flashback nous emmène en pleine pre-temporada madrilène. Après 15 jours d’entraînement, Ancelotti teste son célèbre 4-3-2-1 contre Lyon. Le Real arrache le nul (2-2) avec de nombreuses difficultés en première période de cet amical. La principale nouveauté est au milieu du terrain, où le technicien veut imposer Angel Di Maria dans l'entrejeu aux côtés d'Isco et Illarramendi. Xabi Alonso est blessé, Özil finira par partir et il y a des places à prendre au milieu.

Ancelotti n’est pas encore convaincu par son système cependant et essaiera un 4-4-2 avec Isco, Özil, Modric et Khedira au milieu lors de la Champions Cup que le Real remportera de belle manière contre Chelsea en août. Isco joue (avec Özil) dans un rôle semi-excentré et fait un bon match notamment sur l’aspect défensif, où il empêche la deuxième relance des Blues et gêne leurs mouvements vers les flancs. Dans le jeu offensif, Isco repique dans l’axe et permet la montée de son latéral et donc le surnombre. Son jeu court et ses prises de balle rapides sont un cauchemar pour la défense de Chelsea. Le Real l’emporte 3-1. Et gagne surtout un système de jeu.

Corne d’abondance ou abondance de cornes ?

Le Real se retrouve avec un nouveau "problème de riche" sous les bras comme le signifiera Isco lui-même, avec l’arrivée de Gareth Bale en septembre dans le onze. Le Gallois n’a pas participé à la pré-saison, mais sa place en tant que titulaire est quasiment assurée contractuellement, même si le Real vient d’enchaîner trois succès convaincants en Liga. Özil, déjà remplaçant de Di Maria contre Bilbao en août (3-1) est désigné pour l’autel sacrificiel. Le Real joue en 4-3-3 et s’offre une prestation bancale à Villarreal (2-2) au cours de laquelle Bale ouvre le score, mais ne parvient pas à cacher le fait qu’il n’est pas encore sur la même longueur d’onde que ses coéquipiers. Illarramendi est titulaire lors de cette rencontre et si l’on entrevoit les qualités du jeune basque, on constate également qu’il n’est pas encore 'mûr' pour réguler le grand orchestre merengue.

Le Real peine dans le jeu, mais progresse et si Illarramendi se contente de bouts de matchs, Isco est toujours là. Il ouvre le score et livre une prestation aboutie à Galatasaray lors d’un succès 6-1 du Real en Turquie le 17 septembre. Illarramendi remplace Modric à 15 minutes de la fin et Isco, titulaire et buteur à la 33e minute, est remplacé par… Bale à l’heure de jeu. Le Gallois est impliqué dans les trois derniers buts du Real en compagnie de Benzema et de Ronaldo, la BBC est née et va phagocyter le temps de jeu d’Isco de manière drastique. Illarramendi verra Khedira se blesser pour le reste de la saison, mais constatera aussi le retour de Xabi Alonso, remis de sa pubalgie et de sa blessure au pied droit et qui de par son positionnement unique devant la défense (et entre les deux défenseurs centraux en phase défensive) et ses longs ballons soyeux bonifie immédiatement le jeu du Real. Pour son retour, l’ancien joueur de Liverpool remplace justement Illarramendi à la 65e minute d’un match complètement fou contre Séville qui se terminera sur le score hallucinant de 7-3 et au cours duquel la BBC marque les 7 buts merengue.

Faites entrer l’accusé

Le trio gagnant empile ensuite les buts et en est désormais à 54, soit le meilleur total du pays avec 31 pions pour Ronaldo, 13 pour Benzema et 10 pour Bale. Avec cette moyenne de 1,08 but par match, la BBC se rapproche du trio le plus prolifique de l'histoire du Real composé de Ronaldo, de Benzema et d'Higuain, et qui avait atteint le fabuleux total de 118 buts en une saison (soit une moyenne de 2,03 buts par match). Une stat qui rapproche le Real des cimes historiques, mais qui éloigne Isco vers le précipice séparant les titulaires des remplaçants.


Fin du flashback. Quel avenir pour nos deux joueurs aujourd’hui ? Et bien désormais, c’est bien Illarramendi qui semble mieux placé qu’Isco dans leur quête perpétuelle de temps de jeu. Le Basque avait coûté 9M€ de plus que l’Andalou en été, mais ce qui justifie son avantage c’est surtout l’équilibre de l’équipe. "Nous avons utilisé le 4-3-3 avec Xabi Alonso et Illarra à Pampelune (contre Osasuna en Copa Del Rey, 0-2). Ce système nous permet une meilleure couverture défensive. L'équipe est bien plus équilibrée. Cela nous assure le contrôle du jeu. J'aime bien ce système", a déclaré Ancelotti juste avant le match contre le Betis Séville, qui a vu le Real livrer sa prestation la plus aboutie depuis l’entame de saison, avec un très bon Xabi Alonso et surtout, un excellentissime Luka Modric. La BBC a de nouveau brillé avec le 100e but de Benzema et des réalisations de Ronaldo et Bale. Illarramendi est entré à 20 minutes de la fin et Isco a passé l’après-midi sur le banc.

L’étau se resserre autour du meilleur joueur de l’Euro Espoir. Questionné au sujet d’Isco lundi en conférence de presse préalable au match de l’Espanyol, Ancelotti a laissé subsister quelque espoir : " Nous allons continuer en 4-3-3. C’est le système qui nous donne le plus de garanties défensives et d’équilibre. C’est dur dans pour Isco dans ce dispositif. Il peut remplacer Di Maria ou Modric, mais c’est compliqué pour lui. Il peut jouer en faux 9 comme Benzema à l’instar du match contre Osasuna et comme demain (mardi contre l’Espanyol) aussi." S’il faut faire entrer un accusé, ce ne serait ni la BBC, ni Ancelotti, mais uniquement la recherche constante de l’équilibre de l’équipe. Isco et Illarramendi n’ont d’autre choix que de persévérer et de se montrer sous leur meilleur jour quand le contexte leur en donnera l’occasion. Recrutés pour prendre la relève des titulaires actuels, les deux jeunes Espagnols ont encore beaucoup de temps devant eux pour parvenir à leurs fins. En une moitié de saison, ils sont déjà parvenus à afficher d’excellentes dispositions et à se montrer capables de se battre quasiment d’égal à égal avec de grandes stars internationales pour leurs places. Il ne tient qu’à eux d’être patients, de ne pas s’engager dans d’autres shows éphémères de téléréalité et d’attendre un grand soir qui risquera forcément d’arriver. Nul besoin de sonner l'alerte enlèvement pour le moment.

Ce message a été modifié par Dr X: 21/01/2014, 15:31:05

Je le met ici car je ne vois pas où le mettre, si un modo a une idée, qu'il le déplace si nécessaire et désolé par avance.


François david nous livre sa vision sur le renouveau du real qui est un habitué historique des remontadas pour gagner un championnat. Info très intéressantes : il parait que cr7 et Messi s'apprécient énormément en dehors du terrain.


Comment en est on arrivé là ?

Un changement d'ère, une cassure radicale. José Mourinho, ses polémiques, ses divisions dans le vestiaire du Real, ses accointances avec son ami et agent Jorge Mendes (qui avait carrément un bureau au club), son obsession des arbitres : tout cela devait être effacé pour faire place nette au calme et à la pacification. Pour faire place à Carlo Ancelotti et à Zinédine Zidane.

Les débuts du duo n'ont pas été simples. D'un jeu attentiste, basé sur la force, l'intensité, le physique et le talent individuel pour concrétiser les contre attaques, l'ex-entraîneur du Milan, de Chelsea et du PSG a dû mener la transition vers un jeu de possession. Pour l'initiative et la domination de l'adversaire. Une révolution culturelle qui a pris du temps et qui est passée, dans la douleur, par diverses évolutions tactiques. Carlo a bien essayé de ressortir son "sapin de noël" en présaison, donnant les clés au trio Isco-Ozil-Cristiano Ronaldo pour voir ce qu'il en était. Mais CR7, qui aime avoir de la liberté, ne se sentait pas à l'aise. Comment lui refuser un changement ? Le Ballon d'Or 2008 et 2013 est l'arme fatale du Real. Le duo Ancelotti-Zidane fut obligé de s'adapter et donner vie à un 4-3-3 plus adapté aux qualités du Portugais et à la recherche de "l'équilibre", ce mot si cher à Ancelotti. Et les débuts ont été bien difficiles... Je me souviens que certains voulaient brûler Ancelotti après une dizaine de matches. "Il est trop mou", "ce n'est pas l'entraîneur qu'il faut au Real" etc etc... Je n'ose imaginer la haine des commentaires des suiveurs du Real (et de leurs rivaux) si Zidane n'avait pas été là... Zizou, icône du "madridismo" et inspirateur de nombreux joueurs de la nouvelle génération (Ozil par exemple), a été la caution morale d'Ancelotti. Celle qui lui a permis d'avancer. Rappelons aussi que Carlo a su séduire les médias au plus fort de la tempête, enchaînant les interviews au contraire de son prédécesseur. Ancelotti et sa simplicité, ses explications tactiques, la justification de ses choix (Casillas sur le banc, départ d'Ozil) et son respect, surtout, sont parvenus à amadouer.


Et à partir de là, à partir aussi d'un Clasico perdu, le Real a commencé à relever la tête. Une équipe-type s'est dessinée, équipe rendue possible par le retour essentiel de Xabi Alonso. Le Basque, vrai patron technique de cette équipe, celui qui donne le ton et apporte la clairvoyance, était indispensable. Il a permis à Sami Khedira de s'installer dans un rôle de milieu relayeur-perforateur de défense. Il a donné de l'espace à Isco ou Modric pour créer le jeu. Et permis enfin au très complémentaire trio Bale-Benzema-Cristiano Ronaldo (le fameux "BBC") de s'occuper de ses affaires en toute tranquillité.

La grave blessure de Khedira obligea le staff technique à changer ses plans. Du 4-3-3, le Real est passé à un 4-2-3-1 où la polyvalence de Luka Modric fut décisive. Dorénavant, le Real a deux systèmes tactiques privilégiés et peut s'adapter à tout moment pour incorporer un joueur du banc, généralement le plus en forme (Illaramendi, Isco ou Di Maria). Lors des deux derniers matches en Liga, sur les terrains de l'Espanyol et du Betis, le Real est d'ailleurs revenu à ses premiers amours. Un 4-3-3 avec au milieu Xabi Alonso (milieu défensif) - Modric (milieu relayeur, plus "Xavi" que "Khedira") - Di Maria (milieu offensif, la même place qu'il occupe parfois en sélection argentine).

Passons aux individualités. Cristiano Ronaldo intenable, Benzema à l'aise et permutant constamment avec CR7, Bale de plus en plus dangereux et tranchant, ce trio a évidemment été mis en lumière. L'apport de Di Maria, essentiel en début de saison pour compenser la blessure de Bale (et qui a fait de gros progrès, notamment dans la justesse) est aussi à souligner. De même que quelques errances en défense où hormis Diego Lopez et Casillas, Pepe et Marcelo, on y a vu quelques flottements. Arbeloa ne semble pas avoir pris la mesure de la nouvelle concurrence de Carvajal. Varane joue sur une jambe depuis six mois (quel dommage...) et Sergio Ramos a montré d'étonnants signes de fébrilité et de déconcentration pour un joueur de sa catégorie.

Au-delà de ça, fort de cette confiance, de la qualité de leur effectif et de leur nouvelle palette tactique, les hommes d'Ancelotti sont peu à peu revenus dans la partie. En Liga, Madrid en est à neuf victoires sur les dix derniers matches. Seuls un nul à Osasuna (2-2) lui a fait perdre des points. Enterré il y a à peine deux mois, le Real n'est désormais plus qu'à un point du duo Barça-Atletico...


Perspectives

Ce Real Madrid fait peur. Il est cohérent, riche en profondeur de banc, en qualité et évolue en pleine confiance à l'instar de son joueur référence. Il peut aller loin. Il y a peu de problèmes majeurs à l'horizon. Ancelotti a bien su gérer la perte de Khedira (titulaire quand il s'est blessé) et su intégrer les jeunes Morata et Jesé à son projet. Ancelotti a délégué leur apprentissage du très haut niveau à Zinédine Zidane. Et ça marche.

Finalement, je ne vois que deux problèmes pour le Real. Deux problèmes de riche. Gérer le mécontentement de quelques uns sur leur temps de jeu (Casillas, Di Maria et Morata) et trouver une place au prometteur Francisco Alarcon dit "Isco", qui a perdu de l'influence. Varane devrait bien revenir un jour et donner de la concurrence au duo Pepe-Ramos. Un point beaucoup plus important qu'il n'y paraît.

Parti à la chasse du Barça et de l'Atletico, le Real, expert en "remontadas", a tout à fait le profil pour coiffer tout le monde sur le poteau... tout en produisant du spectacle. En Ligue des champions, le huitième de finale face à Shalke 04 ne devrait (normalement) pas poser de problèmes. Et je ne vois pas le Real trop s'éparpiller entre la Liga et la conquête de la Decima, cette dixième C1, devenue une obsession chez les joueurs comme chez les socios. L'institution Real a trop d'expérience. J'en fais mon outsider numéro 1 en Liga derrière le Barça et le vois aller très, très loin en Ligue des champions. Avec en fond, un duel de personnalités sans égal aujourd'hui. L'affrontement à distance entre Messi et Ronaldo (qui, je le précise cette fois dans un blog, s'entendent très bien en dehors) devrait atteindre des sommets. Plus que jamais.


Calendrier

Le premier tournant de cette deuxième partie de saison est prévu bientôt : début février, le Real se rend au nouveau San Mames, antre de l'Athletic Bilbao, qui parait invulnérable dans son nouveau stade. Le Barça y a d'ailleurs connu sa seule défaite en championnat. Le déplacement chez les voisins de l'Atletico Madrid un mois plus tard vaudra aussi son pesant d'or (et de points). Quant au Clasico, prévu à la fin de ce même mois, en mars, il donnera la véritable tendance de cette Liga 2013-14. La dernière journée verra les Merengue recevoir l'Espanyol Barcelone à domicile tandis que le Barça accueillera l'Atletico Madrid au Camp Nou. Suspense garanti.



http://eurovisions.eurosport.fr/football/l...630/story.shtml

Courbis allume Carlo:

« Leonardo, je trouve quand même que ses propos sont un peu plus sévères que Carlo, admet d’emblée Rolland Courbis. Carlo, il peut faire la comparaison avec ce qu’il a connu en Italie. Quand je me rappelle l’effectif et la composition de l’équipe du Milan AC avec Carlo comme entraîneur, je regardais sans aucune jalousie mais en étant envieux… Je me disais : « Comment peut-on faire pour perdre avec cette équipe ? » Il a même réussi à faire un exploit inverse, c’est-à-dire perdre une finale -ce qui peut arriver à tout le monde- de Ligue des champions en menant 3-0 à la mi-temps (Liverpool-Milan AC en 2005, ndlr). C’est un exploit qui est passé sous silence, mais si un jour ça m’arrive à moi un truc comme ça, je vais le porter comme une croix tout au long de ma carrière jusqu’à mes derniers jours quand je serai au cimetière !
Donc le gars, il lui arrive ça dans sa carrière et ce n’est pas grave. On va au PSG, on n’est pas champions la première année, il n’y a rien de grave. On quitte le PSG et on va au Real Madrid avec tous les efforts qu’a pu faire le PSG, il n’y a toujours rien de grave. Eh bien qu’est-ce que vous voulez que je rajoute ? Je rajoute un « Bravo Carlo ! » et aujourd’hui, on suit avec beaucoup de curiosité les résultats du Real Madrid… »

RMC

Je suis partagé sur ce qu'il dit. Y'a un fond de vérité mais bordel, tu te permet de parler de chose qui ne t'arriveront jamais quoi!! il a un palmarès proche du néant et il fait des vagues. (il a gagné une D2 une fois il me semble). Bref, autant si mourinho avait dit ça, ça serait "crédible" et encore, ancelotti a raison, tout les joueurs de ligue 1 allant à l'étranger disent tous la même chose "oh purée les entraînements c'est intense contrairement à mon ancien club".

C'est lui qui prend Montpellier en 2007 alors qu'ils sont en zone de relégation et il les fait monter en ligue 1 en 2009. Il est très fort pour ça.

Ce message a été modifié par GahZ Gold: 22/01/2014, 19:51:19

Traité de fainéants par Carlo Ancelotti, les joueurs français du Paris Saint-Germain ont trouvé un défenseur en la personne de Raymond Domenech. Sur Ma Chaîne Sport, l’ancien sélectionneur des Bleus a recadré le coach du Real Madrid.

« Carlo Ancelotti dit que les Français n’aiment pas s’entraîner. Je trouve que cette sortie n’est pas sympa. De plus quand tu as un joueur comme Blaise Matuidi dans ton équipe, c’est difficile de dire que lui il ne travaille pas. Je n’aime pas les gens qui s’en vont et qui après critiquent. Certes il y en a qui travaille, d’autres pas, mais on n’a pas le droit de dire çà. Il y a aussi des joueurs dans d’autres pays qui ne travaillent pas comme les Anglais qui sont entre deux bars à l’entraînement. Il dit dans l’esprit que les Français ne se font pas violence et qui faut les bousculer, çà ce n’est pas vrai et çà me dérange. Il y a des Français qui ont du caractère, d’autres qui n’en ont pas tout simplement. »


http://www.footmercato.net/breves/domenech...ncelotti_122779

Les dinosaures ressortent comme à l'époque avec René Girard. On doit rien dire sur le football français en plus je parierai sur une faute de traduction mais bon Carlo sera obligé de clarifer ses propos vu l'ampleur que ça prend.
Daniel Riolo qui retwette "au moins Carlo a eu l'opportunité de perdre une finale de LDC".

Carlo Ancelotti est revenu en conférence de presse sur la présence de Zinédine Zidane dans son staff. L’entraîneur du Real Madrid n’a que de bonnes choses à dire concernant son adjoint :

« Le travail de Zidane est important, c’est une aide importante. Il a du charisme et de la personnalité. Il parle avec les attaquants et le travail qu’il réalise avec les jeunes portent ses fruits. Il travaille aussi avec Benzema. Je pense aussi que l’entraîneur fait du bon travail. »

Footespagnol.fr

Elle veut rien dire la dernière phrase ^^
L'entraîneur c'est lui-même.
S'il parle toujours de Zidane, pourquoi il rajoute le "aussi". Alalala la traduction de footespagnol ^^

Bon, peut être que je cherche juste la petite bête

Ben non ,il parle de lui à la troisième personne . C'est de l'humour en fait .

Oui c'est pour ça qu'il faut regarder les conférences de presse ,et non pas lire seulement ce qui est écrit. Parce que dès que le ton change, le sens de la phrase change, et c'est pour ça qu'il y a souvent des malentendus.
Il a dit ça en rigolant avec les journalistes, et c'est pas mentionné dans la traduction x)

J'espère qu'on va vite revenir au système avec lequel on a le mieux joué. Soit un meneur de jeu comme Isco, un milieu qui sait garder la balle, construire, combiner entre les lignes.

Et non un truc hybride 4-4-2 avec un Di Maria prévisible à gauche.

Je pense tout l'inverse. Quand on a joué avec Isco meneur après la blessure de Khedira, on est très loin d'avoir "mieux joué", au contraire notre jeu s'est dégradé, et il s'améliore depuis qu'Isco est passé sur le banc. Et au passage, on gardait beaucoup moins bien la balle quand Isco était titulaire!



Notre système actuel est à la base un 4-3-3, Modric jouant clairement décalé à droite, CR7 touchant beaucoup de ballon sur l'aile gauche et DM22 jouant en retrait par rapport à Bale; même si dès que Ronaldo passe 5 minutes dans l'axe ou ne redescend pas à la perte de balle, il se transforme en 4-4-2.

Ce message a été modifié par Gouliakine: 25/01/2014, 18:02:04

7 matchs consécutifs sans encaisser de but, record du club. Quand il y a des bonnes nouvelles comme celles-là c,est important de les souligner.

Ça a l'air de porter ses fruits son taf mais bon, je trouve encore qu'on a pas notre système de jeu encore bien définit mais si on a l'air de partir sur un 4 3 3 mais parfois c'est du 4 4 2.


Breff, on va pas chipoter, son real 2014 est très bon, aucun but encaissé, on marque pas mal, bravo à lui!! qu'il me fasse mentir, je ne souhaite que ça.

Ce message a été modifié par lefa: 26/01/2014, 00:25:39

C'est parfois irritant mais je ne pense pas que ça résulte d'un flou tactique, au contraire c'est l'intention d'Ancelotti d'osciller entre les deux options. CR7 est l'élément cental de ce système: quand il joue sur l'aile, DM22 se place en milieu central gauche et on joue en 4-3-3, et quand il va squatter en pointe, notamment sur les fins de mi-temps, ou lorsqu'il ne se replace pas après une perte de balle, Di Maria passe milieu gauche pour compenser et on se retrouve en 4-4-2.

Le but du système est de permettre à CR7 d'exprimer au maximum son potentiel offensif en tant qu'ailier, tout en le préservant le plus possible des tâches défensives, comme c'était le cas quand on jouait dans un vrai 4-4-2 en début de saison. Pour le moment ça marche, je ne sais pas ce que ça donnera dans les grands matchs de LDC ou les chocs de Liga, mais en tout cas ça me semble volontaire.

Pour moi Ancelotti était catastrophique dans sa gestion jusqu'au clasico, mais depuis je trouve qu'il gère bien l'équipe. Au moins on comprend ses intentions, la logique de ses choix. Il a d'abord réussi à former une équipe-type cohérente. Puis, avec la blessure de Khedira, il est passé dans un 4-2-3-1, avec Isco meneur, ce qui semblait être la meilleure solution de rechange. Puis, s'apercevant que ça ne marchait pas bien, il a réintégré DM22 dans l'équipe, en lui donnant avec un succès immédiat le rôle de milieu central gauche, trouvant un remplaçant à Khedira et une nouvelle équipe-type qu'il aligne depuis en championnat.

D'autre part, il a remplacé Arbeloa, pas au niveau cette année, par Carvajal, qui lui donne pour le moment raison, et a donné un temps de jeu correct à notre meilleur espoir, à savoir Jese. Plus largement, au niveau des rotations de l'effectif, je le trouve bon actuellement, avec un équilibre ancelottien entre maintien de l'ossature de titulaires et distribution d'un temps de jeu correct aux meilleurs remplaçants. Le seul qui mériterait de plus rentrer en fin de match, c'est Morata, mais pour le reste je trouve qu'il fait bien tourner l'effectif, ce qui est crucial pour arriver frais pour les grosses échéances de LDC.

Ce message a été modifié par Gouliakine: 26/01/2014, 01:34:19

La gestion du cas CR7 j'attend de voir les gros matchs. Parce que lui avoir dit, à peine arriver "t'es le meilleur du monde donc tu fais se que tu veux et surtout tu défend pas", ça marche contre des plots, mais dans les gros matchs, la rigueur tactique fait souvent la différence.
Or quand CR7 se retrouve en pointe pendant de longues minutes et qu'en plus le défenseur latéral gauche est Marcelo, on a un véritable appel d'air. Alors forcément on se retrouve avec Ramos qui traverse la moitié du terrain en taclant
Je trouve que CR7 qui ère sur le terrain comme bon lui semble met un boxon pas possible, ça déséquilibre tout, se qui est paradoxale pour Ancelotti qui nous bassine avec ça à chaque conférence.
Donc voila perso j'ai des doute. On vera pour les gros matchs mais perso, à la mi-saison, j'ai plus confiance en le 4-3-3, même si j'était le premier à critiquer la mise sur le banc d'Isco et le fait que l'équipe était souvent coupé en 2 (surement aussi parce que CR7 redescendait pas ... ).

Je trouve vraiment que le travail d'Ancelotti commence à porter ses fruits et que c'est du bon travail. En effet, ces dernières années, j'avais l'impression qu'on manquait cruellement de rigueur tactique. Certains joueurs se trouvaient dans des positions inhabituelles et chacun jouait comme il l'entendait. De temps en temps, ça devenait du grand n'importe quoi (même souvent).

Cette année j'ai l'impression qu'on a retrouvé une certaine cohérence de jeu. Chacun est conscient du boulot qu'il doit effectuer et c'est beaucoup plus fluide et organisé je trouve. C'est vraiment, je pense, ce dont le Real a besoin pour faire de grandes choses (surtout contre les grosses écuries).
La rigueur tactique alliée à de grandes individualités peut faire de grandes choses selon moi.

Avec Mourinho, c'était beaucoup trop basé sur la contre-attaque mais là on alterne jeu placé et contre-attaque. Je pense que c'est notre mode de jeu idéal. J'espère que l'on continuera comme ça