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18/10/2006, 16:54:51
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#1
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Capitaine Madridista Groupe : Membres Messages: 1,343 Inscrit : 14/10/2006 Lieu : Miami, Rabat Membre No. : 4 Joueur(s) Préféré(s): Tout joueur portant la camiseta blanca |
Cyclisme - Dopage : Armstrong, la suite
Deux ans et demi après «L.A. Confidentiel», ses auteurs récidivent et publient jeudi la suite de leur essai à charge contre Lance Armstrong intitulé «L.A. Officiel». Pierre Ballester et David Walsh ont cette fois centré leur livre sur les témoignages recueillis lors de la procédure d'arbitrage entre le coureur et l'assureur SCA, qui s'est tenue en octobre 2005 à Austin. L'assureur, qui s'était engagé en 2001 à verser 9,5 millions de dollars de primes à Armstrong en cas de succès dans les Tours 2001, 2002, 2003 et 2004, avait en effet été alerté par le premier ouvrage des deux auteurs, «L.A. Confidentiel», et avait tenté, en vain, de rompre cet engagement. Le nouvel essai publié jeudi reprend plusieurs témoignages recueillis lors de cette procédure et notamment celui du père du test sanguin de dépistage de l'EPO, Michael Ashenden. L'Australien, cité par SCA, démonte point par point les justifications scientifiques avancées pour la défense d'Armstrong concernant sa transformation physique après son cancer des testicules, en 1997. «Ce n'est pas de l'acharnement, a expliqué Pierre Ballester, c'est un complément d'enquête qui remet en perspective les témoignages éclairant la personnalité d'Armstrong» qui est selon lui un coureur «convaincu de dopage, à la carrière marquée par le mensonge et la tricherie» et qui pourtant a quitté le cyclisme «indemne, impuni, intouchable.» Lance Armstrong avait finalement renoncé à attaquer les deux auteurs pour «L.A. Confidentiel» lors d'un procès en France initialement prévu pour le début du mois d'octobre. |
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01/03/2007, 21:03:32
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#2
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Madridista Groupe : Membres Messages: 179 Inscrit : 22/01/2007 Membre No. : 949 Joueur(s) Préféré(s): Torres, klose , reyes, villa, raul, diarra |
Appel au dialogue
Pour régler le conflit latent entre l'UCI et les fédérations nationales, les solutions commencent à manquer et le temps presse. La crise, qui porte notamment sur l'organisation de Paris-Nice, épreuve interdite aux équipes du ProTour par l'UCI parce que placée sous l'égide le la FFC, pourrit un peu plus le climat au sein du peloton, et l'une des parties vient enfin de faire le premier pas. Les fédérations autrichienne, belge, espagnole, française, italienne et luxembourgeoise ont ainsi réclamé à l'Union cycliste internationale une solution concertée : «L'heure n'est plus à multiplier dans tous les sens, rappels discutables au règlement, mesures malsaines et communiqués tendancieux, mais plutôt à trouver la solution et/ou un compromis nécessaire au bon fonctionnement du cyclisme et ce avant le départ du Giro 2007.» Cette lettre ouverte est publiée en réaction aux «derniers développements de la lutte de pouvoir que se livrent l'UCI et les organisateurs des trois grands Tours» (France, Espagne, Italie), annonce le texte en préambule. «Il est donc urgent que soit créé, avec les fédérations nationales intéressées, un groupe de travail indépendant des acteurs actuels du litige né de l'UCI ProTour, ayant pour mission d'organiser une concertation avec toutes les familles du cyclisme et de formuler des propositions à court et moyen terme acceptables par tous», poursuit le texte. «Selon ses statuts, l'UCI se fixe notamment comme objectif le développement et l'encouragement des rapports d'amitié entre tous les membres du monde cycliste. A partir de là , comment peut-on vouloir s'opposer à la participation d'équipes, de coureurs et de commissaires à une épreuve phare du cyclisme ?», s'interrogent les signataires de la lettre ouverte. Pour justifier son interdiction aux «équipes détentrices d'une licence UCI ProTour et aux équipes continentales professionnelles UCI» de prendre le départ du Paris-Nice, l'UCI avait rappelé que, dans son règlement, il était précisé que «ces deux types de formations ne peuvent prendre le départ d'une course nationale». |
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