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22/06/2008, 01:19:13
Message
#1
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Admin Groupe : Admin Messages: 39,893 Inscrit : 13/10/2006 Membre No. : 1 |
La confiance de l'Australie
Le président de la Fédération australienne Frank Lowy s'est dit confiant samedi quant aux chances d'attribution pour son pays de la Coupe du monde 2018. «Je vais être clair : (la candidature de l'Australie) n'est pas un galop d'essai», a-t-il assuré au Daily Telegraph australien. «Je n'ai pas de plan B. Je m'attends à obtenir l'aval (de la FIFA) et le droit d'organiser la Coupe du monde 2018». Difficile de faire plus clair en effet. Reste toutefois à connaître la position de la FIFA. Selon Lowy, l'un des hommes les plus riches de son pays, Sepp Blatter, le président de l'instance dirigeante mondiale, aurait été impressionné par la détermination de l'Australie. «L'enthousiasme dont il a été témoin en Australie a été un facteur décisif pour lui», a estimé Lowy. Mais pour en savoir plus, il faudra attendre 2011, date de nomination du pays organisateur. L'Equipe |
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09/02/2012, 07:27:50
Message
#2
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***Ton pire cauchemar*** Groupe : Membres Messages: 9,438 Inscrit : 11/08/2007 Membre No. : 1,780 |
La face obscure du football: un livre qui se noircit Le Syndicat mondial des footballeurs professionnels dresse un bilan alarmant du métier de joueur en Europe de l'Est. Dans cette région du monde, en moyenne, au moins un membre par équipe est victime de violences physique ou mentale, selon une étude de la FIFpro. "15% des joueurs ont été forcés de s'entraîner tout seul (séparés du reste de l'équipe); 11,7% d'entre eux ont été victimes de violences (dont 33% directement initiées par leur club); 10,2% des joueurs ont été victimes d'intimidation et de harcèlement", note la FIFpro dans un livre noir consacré aux footballeurs professionnels évoluant en Europe de l'Est. "En moyenne, cela signifie que dans chaque équipe qui rentre sur le terrain, il y a au moins un joueur qui a été victime d'une forme ou d'une autre de violence physique ou mentale", estime le syndicat. L'étude, réalisée en octobre et novembre dernier, concerne 12 pays (Bulgarie, Croatie, République Tchèque, Grèce, Hongrie, Kazakhstan, Monténégro, Pologne, Russie, Serbie, Slovénie et Ukraine). Ces joueurs harcelés ou maltraités deviennent autant de proies plus vulnérables à la corruption, souligne la FIFpro. Le livre noir, truffé de témoignages de joueurs, donne ainsi la parole à Dragisa Pejovic, un joueur serbe de 29 ans, qui a porté les couleurs du club du FK Borac Cacak pendant six ans. "Contraints de truquer des matches" "Pendant six ans, il y a eu beaucoup de fois où les joueurs ont été contraints de truquer des matches. Celui qui ne le voulait pas était exclu de l'équipe. J'ai joué des matches truqués non pas parce que je le voulais, mais parce que je devais le faire. Si je n'avais pas joué, je n'aurais pas eu de salaire et donc pas pu aider ma famille", explique-t-il. "L'an dernier, j'ai été victime d'une agression physique de la part du directeur du club, devant les autres joueurs. On m'a aussi fait chanter et on m'a trompé quand j'ai reçu des offres de transfert. Je n'ai pas été autorisé à partir car des individus au club demandaient de l'argent en contre-partie. Maintenant je suis heureux de ne plus être un joueur professionnel, même si j'étais un des meilleurs défenseurs du championnat serbe", relate Pejovic. |
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