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22/06/2008, 01:19:13
Message
#1
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Admin Groupe : Admin Messages: 39,317 Inscrit : 13/10/2006 Membre No. : 1 |
La confiance de l'Australie
Le président de la Fédération australienne Frank Lowy s'est dit confiant samedi quant aux chances d'attribution pour son pays de la Coupe du monde 2018. «Je vais être clair : (la candidature de l'Australie) n'est pas un galop d'essai», a-t-il assuré au Daily Telegraph australien. «Je n'ai pas de plan B. Je m'attends à obtenir l'aval (de la FIFA) et le droit d'organiser la Coupe du monde 2018». Difficile de faire plus clair en effet. Reste toutefois à connaître la position de la FIFA. Selon Lowy, l'un des hommes les plus riches de son pays, Sepp Blatter, le président de l'instance dirigeante mondiale, aurait été impressionné par la détermination de l'Australie. «L'enthousiasme dont il a été témoin en Australie a été un facteur décisif pour lui», a estimé Lowy. Mais pour en savoir plus, il faudra attendre 2011, date de nomination du pays organisateur. L'Equipe |
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22/03/2013, 13:12:10
Message
#2
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Capitaine Madridista Groupe : Membres Messages: 1,294 Inscrit : 13/05/2010 Membre No. : 13,768 |
Source : http://www.rtbf.be/sport/football/detail_d...ents?id=7953244
La commission médicale de la fédération mondiale de football (FIFA) s'inquiète de l'utilisation massive d'anti-douleur par les joueurs, a confié son président Michel D'Hooghe. "C'est même davantage préoccupant que le doping", a estimé l'ancien dirigeant brugeois dans un entretien accordé au Laatste Nieuws. "D'autant que ce problème commence également à se manifester dans les compétitions pour jeunes..." La FIFA attribue ce phénomène de recours abusif aux médicaments au calendrier trop chargé. La commission médicale évalue en effet à soixante, le nombre de matches que peut supporter l'organisme d'un joueur en une saison. Or beaucoup dépassent allègrement et largement cette barre. Ce qui entraîne d'inévitables petites blessures et par conséquent, l'usage d'anti-douleur et autres anti-inflammatoires. "Celà permet sans doute de diminuer voire de faire disparaître la douleur, et donc au joueur de s'engager à fond sans retenue", commente Michel D'Hooghe, en rappelant que dans le même temps l'état de la blessure s'aggrave. Que la douleur est un signal d'alarme dont il vaudrait mieux tenir compte. Et qu'il est imprudent de passer outre. "On est aujourd'hui arrivé à un stade où certains ne sont plus en état de jouer sans l'aide des médicaments...", déplore le docteur brugeois. Le pourcentage de joueurs sous anti-douleur ou anti-inflammatoires est passé de 29 pc au Mondial'2006 en Allemagne, à 35 pc quatre ans plus tard en Afrique du Sud. "Et même à près de 100 pc dans une des équipes en lice", s'inquiète Michel D'Hooghe. |
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