Julen Lopetegui licencié, Officiel |
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Julen Lopetegui licencié, Officiel |
12/06/2018, 15:56:53
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Capitaine Madridista Groupe : Membres Messages: 1,691 Inscrit : 22/10/2006 Membre No. : 234 |
https://twitter.com/YahooSportFR/status/1006550045074878464
Officiel. Je trouve ça long 3 ans. Edit : Julen* Ce message a été modifié par Redondo: 29/10/2018, 21:00:03 |
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12/06/2018, 21:29:28
Message
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Jeune sophiste anonyme. Groupe : Membres Messages: 12,829 Inscrit : 16/11/2006 Lieu : Convention (75015) Membre No. : 533 |
Dix choses à savoir sur Julen Lopetegui, le nouveau coach du Real Madrid C'est désormais officiel : Julen Lopetegui succède à Zinédine Zidane sur le banc du Real Madrid. Actuel entraîneur de la Roja et ancien de Porto et du Rayo Vallecano, FF.fr dévoile dix choses à savoir sur le nouveau technicien merengue. 1. Le douzième entraîneur de l'ère Florentino Perez. Grand admirateur de Zinédine Zidane, Florentino Perez était, en plus des titres, totalement comblé. Pourtant, son chouchou lui a fait faux bond, à la surprise générale, et il a fallu reconstruire. Et après des prises de contact avec tous les top coachs du Vieux Continent - dont Pochettino, Low, Sarri, Conte ou Villas-Boas -, c'est finalement sur Julen Lopetegui, à la tête de la sélection espagnole, que le président du Real Madrid et ses conseillers ont jeté leur dévolu. L'héritage est lourd, le défi absolu, et Lopetegui va arriver avec l'ambition de faire aussi bien que son prédécesseur, alors que peu de ses confrères auraient osé se lancer dans cette difficile et abrupte aventure. Le Basque succède en tout cas à onze autres entraîneurs connus par Florentino Perez au Real Madrid. Qui ont connu plus ou moins de réussite... 2. Une copie parfaite avec la Roja. Depuis sa nomination à la tête de la Roja le 21 juillet 2016, Julen Lopetegui a réalisé un sans-faute. En effet, le Basque est toujours invaincu après vingt rencontres passées sur le banc de la sélection espagnole (14 victoires, 6 nuls). Après les échecs de 2014 et 2016, il s'apprête à disputer sa première compétition majeure à la tête d'une Espagne en pleine confiance et qui fait partie des favoris pour la victoire finale. La succession de Vicente del Bosque n'était pourtant pas simple. Lopetegui a procédé à un renouvellement nécessaire de l'effectif - 11 joueurs présents à l'Euro 2016 font partie de sa liste des 23 pour la Russie - tout en misant sur la continuité. «Je veux garder ce style de jeu et cette philosophie qui ont fait notre succès tout en essayant de l'améliorer pour que nous soyons plus compétitifs (...) Nous n'allons pas faire la révolution, mais chercher à évoluer», expliquait-il en conférence de presse au moment de son intronisation. Reste à savoir si son mandat se terminera par une Coupe du monde réussie et une deuxième étoile pour l'Espagne... 3. Un jeu à l'influence "guardioliste". Coéquipiers pendant trois saisons au FC Barcelone, ils sont toujours restés en contact. Pep Guardiola et Julen Lopetegui sont deux amis, et le second, visiblement inspiré par l'ancien milieu de terrain, en a repris quelques concepts. Adepte du jeu de position que le Barça de Cruyff lui a appris, il retransmet aujourd'hui ses connaissances à ses équipes. Et pour preuve, l'Espagne joue, à l'heure actuelle, le jeu le plus plaisant de la scène internationale, au bénéfice bien sûr de joueurs comme Iniesta, Thiago Alcantara ou Isco. Et des joueurs de ballon, avec Modric ou Kroos, il va en retrouver au Real Madrid. Un véritable tournant tactique par rapport au Real de Zinédine Zidane, dont le pragmatisme et l'efficacité étaient la marque de fabrique. Après la Coupe du monde, c'est donc un esthète qui va débarquer sur le banc madrilène. Après Mourinho, Ancelotti, Benitez ou Zidane, c'est un changement radical. 4. Il était gardien de but professionnel. Julen Lopetegui a été joueur professionnel dans les années 1980 et 1990. Formé à la Real Sociedad, il évoluait au poste de gardien de but. En concurrence avec Luis Arconada, il a quitté le club en 1985 pour rejoindre...le Real Madrid. Il a remporté la Liga en 1990 - le seul titre de sa carrière de joueur - en ayant joué seulement une rencontre dans le but madrilène. Il a alors rejoint Logronés, un autre club pensionnaire de la première division espagnole, avec lequel il a joué le plus de matches (55). Il a passé également trois ans à Barcelone mais a fait seulement dix apparitions sous le maillot catalan. Il a terminé finalement une longue carrière - sans avoir beaucoup joué - du côté du Rayo Vallecano entre 1997 et 2002. Il compte tout de même une sélection et faisait partie du groupe de l'Espagne à la Coupe du monde 1994. 5. Des années avec les équipes de jeunes espagnoles. Julen Lopetegui connaît la nouvelle génération de joueurs espagnols sur le bout des ongles. Entraîneur des sélections U20, U19 puis U21 de 2010 à 2014, il a connu les mêmes succès qu'avec les A, ce qui lui vaudra d'ailleurs sa place avec les "grands". Car en 45 matches avec les futures stars de la Roja, Lopetegui n'en a perdu que 4, décrochant deux titres de champion d'Europe. Une statistique affolante, pour une moyenne de 2,86 buts par rencontre. Et sous ses ordres, il a connu nombre de joueurs aujourd'hui célèbres. De David De Gea à Alvaro Morata en passant par Alcantara, Sergi Roberto, Saul Niguez, Koke, Isco, Carvajal et plus encore, Julen Lopetegui sait manager les jeunes pépites. Au Real, il y trouvera d'ailleurs un centre de formation performant, qui vient de sortir Lucas Vazquez ou encore Achraf Hakimi. Un autre challenge pour le Basque, qui devra aussi conjuguer son style avec les égos de CR7 ou Sergio Ramos. 6. Une technique d'entraînement qui a fait sourire Porto. En mai 2014, le FC Porto annonce l'arrivée de Julen Lopetegui pour succéder à Luis Castro, intérimaire depuis le licenciement de Paulo Fonseca au mois de mars. Le Basque se fait rapidement remarquer pour ses méthodes, notamment à l'entraînement. Ainsi, dès le premier, il décide de mettre en place une installation sur les terrains du centre d'entraînement du club afin de pouvoir observer les séances en haut d'une vigie. Lopetegui et son staff pouvaient filmer les joueurs pour mieux observer leurs défauts et les corriger si besoin. Une astuce originale qui avait provoqué la surprise et l'amusement chez les supporters et les journalistes. Pas sûr qu'il en fasse de même avec les stars madrilènes. 7. Il venait de prolonger avec la Roja. C'est sûrement la raison pour laquelle Lopetegui ne faisait pas partie des pressentis. Le 22 mai dernier, la Fédération de football espagnole annonçait en effet la prolongation de son sélectionneur jusqu'en 2020. Grâce à des résultats presque parfaits et un style de jeu élégant, Lopetegui s'était offert le droit de continuer l'aventure avec la Roja, alors que la destinée de son équipe à la Coupe du monde était encore inconnue. C'est dire la confiance de la Fédération, qui va désormais devoir se pencher sur un nouveau sélectionneur. Pour Lopetegui, l'aventure en club sera beaucoup plus mouvementée, surtout au Real Madrid, et il va dire adieu à la sélection dès l'issue du Mondial russe. Un choix qui lui met d'autant plus la pression, alors que l'Espagne, éliminée en poules en 2014, souhaite glaner sa deuxième étoile. 8. Il avait failli devenir l'entraîneur de Wolverhampton en 2016. Quelques semaines avant d'être nommé sélectionneur de l'Espagne, Lopetegui semblait promis à prendre la tête de Wolverhampton, en Championship. Le club anglais avait pensé à l'entraîneur espagnol pour succéder à Kenny Jackett et reprendre en mains les Wolves en deuxième division. Puis la Roja a frappé à sa porte et il n'a pas pu refuser. «Quand la Fédération espagnole m'a appelé, naturellement mon objectif est devenu l'équipe nationale, mais il est vrai que, avant cela, je travaillais main dans la main avec les Wolves depuis un certain temps, avait-il déclaré en conférence de presse. J'étais tout proche de signer, mais finalement, cela ne s'est pas fait, même si j'ai adoré le temps passé en Angleterre et que Wolverhampton était un projet très attrayant.» Deux ans plus tard, il devient l'entraîneur du Real Madrid, triple champion d'Europe en titre... 9. Un parcours mitigé en club. Si Julen Lopetegui n'a perdu, en six ans de sélections, jeunes ou non, que quatre matches, son parcours en club est quant à lui moins idyllique. Nommé à Porto en 2014 pour gagner des titres - où il a d'ailleurs connu Casemiro, alors en prêt -, son passage est toujours considéré comme un échec, malgré un quart de finale de Ligue des champions en 2015. Dix ans plus tôt, ce fut aussi un cruel échec au Rayo Vallecano, sa toute première expérience sur un banc. Alors que le club venait d'être relégué, il avait été démis de ses fonctions après dix petits matches (2 victoires, 2 nuls, 6 défaites) et n'avait retrouvé un banc que cinq ans plus tard au Real Madrid Castilla, l'équipe de jeunes la plus célèbre du Real. Hormis son expérience nationale, Julen Lopetegui n'a pas le CV que l'on attendait sur le banc du Real. Mais, à l'instar de Zinédine Zidane, arrivé sur le banc sans réelle expérience, il pourrait devenir le nouvel homme providentiel de la Casa Blanca. 10. Il a fait un malaise en direct à la TV en 2006. Après avoir pris sa retraite en 2002, Lopetegui est devenu consultant pour La Sexta, une chaîne espagnole, sur laquelle il commentait certains matches de la Coupe du monde 2006. Le Basque semblait à l'aise dans ce nouvel exercice jusqu'à ce qu'il fasse un malaise en direct au moment de faire une analyse tactique autour de la sélection espagnole. Lopetegui s'effondrait brusquement, les images faisaient peur à voir. Plus tard, il était revenu sur cet épisode malencontreux : «C'était la première émission qu'on faisait ça, c'était l'année de l'inauguration de La Sexta et ce jour-là l'air conditionné ne marchait pas, je portais une veste, j'avais fait du sport avant et je n'avais pas mangé, tout est devenu noir et je suis tombé.» Plus de peur que de mal pour le Basque puisqu'il reprenait l'antenne quelques minutes après son malaise, après avoir repris des forces avec un peu de soda. L'Équipe.fr
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