Basket Ball - NBA |
Bienvenue invité ( Connexion | Inscription )
Basket Ball - NBA |
22/10/2006, 16:33:33
Message
#1
|
|
realmadrid07 Groupe : Membres Messages: 2,470 Inscrit : 17/10/2006 Lieu : Bastia Corse Membre No. : 100 Joueur(s) Préféré(s): ZiZou, Ronnie, Anelka, Heinze, Pauleta |
Suivez l'actualité du Basket et de la NBA !!
Ce message a été modifié par el madrilisto: 11/11/2006, 12:18:16 |
|
|
15/08/2007, 05:40:52
Message
#2
|
|
Barça Groupe : Barça Messages: 3,379 Inscrit : 16/10/2006 Lieu : Paris - 93 Membre No. : 46 Joueur(s) Préféré(s): Maradona-Ronaldinho-Roberto Carlos |
Bulls: Noah naturalisé Français
Joakim Noah, drafté par les Chicago Bulls le 28 juin dernier, a obtenu jeudi la naturalisation française qu'il attendait depuis quelques mois. Agé de vingt-deux ans, l'ancien intérieur des Florida Gators (NCAA), et fils de Yannick Noah, était né à New York d'une mère suédoise. En plus de la double nationalité américaine et suédoise, Noah est désormais un citoyen français et pourra endosser le maillot bleu lors des compétitions internationales. |
|
|
18/08/2007, 16:28:27
Message
#3
|
|
Capitaine Madridista Groupe : Membres Messages: 2,673 Inscrit : 31/05/2007 Lieu : rabat Membre No. : 1,434 |
Bleus - Turiaf : «On n'y croyait pas»
Temps long, temps court, en tout cas le temps était très relatif, vendredi à Paris. Temps long : il a fallu quasiment un mois avant que Boris Diaw n'ait l'autorisation de jouer en équipe de france. Temps court : juste après la victoire face au Portugal (86-64), personne ne savait plus vraiment à quelle minute l'ultime mail des Phoenix Suns était arrivé. «8h04, c'est ça Claude ?», interroge le capitaine. «8h15», réplique le sélectionneur. Temps relatif donc, comme ces «deux semaines de retard» comptées par Tony Parker - un mix entre sa propre absence et celle de Diaw. «Juste avant qu'on parte (sur le terrain), on a cru entendre que c'était un oui définitif mais je pense qu'on n'y croyait toujours pas», résume Ronny Turiaf, qui se fait ici le scripte et l'interprète d'une soirée fondatrice pour les Bleus. «Ronny Turiaf, l'équipe de France était-elle au courant dans la journée du retour de Boris ? On ne savait pas trop, on se posait des questions. On se demandait si ça allait arriver, si Bobo allait pouvoir jouer aujourd'hui (vendredi). On l'a su à la dernière minute, donc en début de match, il y avait beaucoup d'excitation. Etiez-vous euphoriques dans le vestiaire avant le match ? Non justement, car on ne savait pas. On se disait "ça va arriver, ça ne va pas arriver". Après on entendait oui, après on entendait non, après on s'est dit peut-être. C'était des hauts et des bas. Finalement, on se disait : "Espérons que ce soit aujourd'hui le déclic, que ce sera fini". Quand avez-vous su alors avec certitude que Boris pourrait jouer ? Juste avant (de rentrer sur le terrain). C'est même juste avant qu'on parte. On a cru entendre que c'était un oui définitif mais je pense qu'on n'y croyait toujours pas quand il nous a dit que c'était OK. On attendait juste de le voir, qu'il rentre sur le terrain, qu'il retire sa chasuble et qu'il joue. Et c'est là qu'on a vraiment commencé à kiffer. Comment s'est déroulé le premier entraînement avec tout le monde samedi matin ? Ah mais oui, c'est vrai, c'était le premier vrai entraînement avec tout le monde... On n'y pensait tellement plus, c'est vrai que c'était le premier entraînement tous ensemble... Qu'est-ce que cela change ? Si tu joues au poker, c'est la différence entre une paire et un brelan. On a beaucoup plus d'arsenal, des joueurs qui peuvent rendre la vie plus facile pour les autres, qui peuvent défendre. Si on est au complet, et qu'on reste au complet, jusqu'à la fin de la compétition, ce sera vachement intéressant parce que l'amalgame et la complicité vont arriver très vite. Comment vivez-vous le fait qu'il revienne à ce moment précis, alors que vous aviez déjà joué cinq matches amicaux sans lui ? Je ne pense pas que ça puisse faire de mal ! Quand on a un joueur de 2,06 m qui peut jouer deux (arrière), trois (ailier), quatre (ailier fort), cinq (pivot), qui peut prendre des rebonds, faire des passes, ça, on le prend tous les jours... Que retenez-vous de "l'avant", cette première partie de la préparation sans Diaw sur le parquet ? On l'a très bien vécu. On a su pallier aux absences en restant concentré, en bossant. On a su faire la part des choses. Il faudrait mettre en avant ce que nous, on a fait pendant que eux (Boris Diaw, ainsi que Tony Parker et Florent Piétrus, blessés) essayaient de revenir. Le fait qu'ils ne pouvaient pas jouer nous mettait vraiment une boule dans la gorge. Les voir sur le côté, là, souffrir sans pouvoir faire grand chose... C'était dur pour eux. Mais maintenant, il faut oublier ça. Chaque préparation de l'équipe de France est compliquée. Jamais rien n'est parfait, il y a toujours quelque chose qui va se passer. Mais là où c'est parfait, d'habitude il y a quelque chose qui se cache. Personne ne semble très inquiet du fait que Boris Diaw ait manqué autant d'entraînement car, d'une certaine manière, c'est un joueur à part. On a su faire des résultats sans lui. Avec lui, notre plafond de potentiel monte encore plus haut. Un joueur aussi versatile nous fait forcément franchir un pallier. C'est Bobo... Chacun a encore plus confiance dans l'équipe avec ce gros plus. Mais je ne pense pas forcément que si ce problème avait concerné un autre joueur, cela aurait été différent, parce que les systèmes sont faits pour un peu tout le monde. On sait ce qu'il faut faire. C'était un peu dur à intégrer au début mais à partir du moment où tu sais jouer au basket, tu te comportes de façon professionnelle. Cela aurait été aussi vite avec n'importe qui. Mais c'est vrai que Boris a une certaine faculté intellectuelle, un pouvoir de s'adapter très rapidement. Ca, c'est certain.» lequipe |
|
|
24/08/2007, 22:54:21
Message
#4
|
|
Capitaine Madridista Groupe : Membres Messages: 2,673 Inscrit : 31/05/2007 Lieu : rabat Membre No. : 1,434 |
NBA - Adonal Foyle à Orlando
Le Orlando Magic a annoncé ce vendredi la signature de l'intérieur américain Adonal Foyle pour une durée de six ans. Drafté en 1997 par les Golden States Warriors, ce robuste défenseur (2m08, 122kg), qui plus est très bon contreur, a toujours évolué au sein de la franchise californienne. A l'intersaison, il a décidé de changer d'air en rachetant ses trois dernières années de contrat pour devenir libre de tout engagement. En dix ans de carrière dans le Ligue, il totalise une moyenne de à 4,4 points et cinq rebonds par match. lequipe |
|
|