yes, yes yes et YESSSSSSSSSSSSSSSSS!!!!!!!!
trop bon cette victoire.
Dima REAL!!!!!!!!!!!!

juste yessssssssssssssss!
bon match où tout le monde à mouiller le maillot, ça coulissait très bien
des solutions pour le porteur du ballon
du mouvement
et des contres rapides...
effet Schuster?

Super Match
Après la défaite de Ségo, ça réconforte lol
Merci Madrid
La liga n'est pas finie.
Hala MADRID

avec du retard...
Beau match
Belle victoire
Beaux buts
Le dictateur était content
Cette liga n'est pas finie
HALA MADRID

Mention spéciale à Cicinho, perso, je suis très content de le revoir sur le terrain et c'est autre chose que salgado ZERO

Beau match
Belle victoire
Beaux buts
Même le dictateur était content
Cette liga n'est pas finie
HALA MADRID

franchement, j'étais dégouté au coup de sifflet final.

Mercredi on prend un but au bout de 10 secondes, et là on prend un but à 1 minute de la fin. Pufffffffff...

On a PERDU 2 points, et à moins d'un miracle, on a aussi perdu le titre.

Pourquoi cappello n'a pas fait jouer Marcello, un latéral gauche de formation? Il n'aurait pas pu être pire que torres. Je n'ai rien contre torres,c'est un joueur d'avenir qui est en train d'emmagasiner un max d'expérience, mais il est bien meilleur à droite qu'à gauche. Ce n'est pas normal de laisser Messi tout seul comme ça.
huiguain n'est pas au top en ce moment (et c'est normal, il a enchainer directement le chapionnat argentin avec la liga sans repos), il aurait été préférable de faire débuter Robinho ou Cassano.
Je n'ai jamais aimé guti, je l'aimerai jamais, mais je dois reconnaitre qu'il a fait son match, c'est peut être ce que l'on appelle l'expérience.
Et j'ai horreur de salgadoZERO et Helguera, et ils me confortent dans mon choix.


Le Barça n'est pas bien en ce moment, et on devait les battre.
Ce match ressemblait un à un combat de boxe, où les équipes se rendaient coup pour coup. Malheureusement, le REAL n'a pas su mettre son adversaire KO, et ce ne sont pas les occasions qui ont manquées. J'avais peur pendant la seconde mi-temps que l'on regrette toutes ces occas loupées, et ce qui devait arriver arriva... on a PERDU 2 points et l'occasion de sauver un saison.


Sinon, c'est vrai que ce match est porteur d'espoir. Les tôliers de Madrid, c'est RAMOS et GAGO. Ils sont vraiment très forts c'est deux là. Il faut les garder. Si on ajoute huigain, torres, marcello, diarra, cassilas, raul, robinho + un bon libero + un meneur de jeu + un capello moins dictateur et plus entraineur : on a le début d'une bonne équipe pour 2007 /08

HALA MADRID DIMA REAL

C'est vrai que c'était un bon grand match à l'aller. L'un des meilleurs cette saison, les joueurs avaient la rage, ça coulissait bien, il y avait systématiquement 2 joueurs du real sur le porteur du ballon barcelonnais. Un très bon match au millieu et les joueurs avaient bien tenu physiquement pendant 90 minutes.

demain, il faut faire pareil, bloquer les barcelonnais au millieu, c'est aussi ce qu'a fait liverpool au match aller de LDC.

C'est vrai que ça peut être chaud pour Marcello, mais il faut bien réellement débuter un jour.

moi, je vois, ou plutôt je mettrai (lol) :

IKER
Torres Helguera Ramos Marcello

Diarra - Gago

Raul - Guti - Robinho

RVN

Tu n'es pas seul lol je suis d'accord avec toi
Les barcelonnais ne sont pas au mieux, nous aussi. Mais nous, on a l'habitude de ne pas être au mieux, ça fait 4 ans... lol Et de temps en temps, on sort un très grand match. Samedi soir tout est possible, c'est du 50 - 50. Le faible espoir qu'il reste au Real pour gagner la liga passe obligatoirement par une victoire au nou camp.
donc ALLEZ LE REAL

(petit Hors Sujet, si j'ai bien suivi, on a un autre point commun Espanaguy, on est supporter de VA, demain on va avoir 4 heures de foot avec troyes - VA , puis barça - REAL. Si VA gagne, le Real va gagner lol
ALLEZ VA, ALLEZ LE REAL)

Journal l'EQUIPE d'aujourd'hui
Le Bayern est de retour
Au terme d’une superbe empoignade, les Bavarois ont fait subir au Real le sort de Barcelone, la veille.
QUI AURAIT IMAGINÉ que le clasico entre le Barça et le Real, samedi soir au Nou Camp, opposerait deux équipes mises au ban de l’Europe avant même que se profilent les quarts de finale ? Les grands d’Espagne, et on parle ici du tenant du trophée (Barcelone) et du plus prolifique des participants à la C1 (le Real, neuf finales gagnées) se sont faits tout petits. Car hier soir, le Real a rejoint le Barça dans ses tourments, se cassant le nez au mur des huitièmes pour la troisième fois de suite. La faute à un Bayern dont le premier but a échappé à ceux qui ont traîné à la buvette et propulsé Roy Makaay dans l’histoire avec un but inscrit après dix secondes, même pas le temps d’avaler deux gorgées de bière.
L’envie munichoise de se rappeler au souvenir du monde aura été la plus forte au terme d’un match prenant que la réussite initiale du Hollandais du Bayern aura aidé à débloquer. Mais pour l’ensemble de son oeuvre, la qualification du champion d’Allemagne ne s’offre pas au débat. La maîtrise collective a été de son côté. Le Bayern a géré les moments importants, inscrivant son deuxième but à un moment où il aurait pu songer à gérer. Il ne le fit pas, faisant le break au lieu de s’exposer au risque d’un but qui aurait anéanti ses efforts. Et lorsque celui-ci arriva, par un penalty généreux offert par M. Lubos Michel qui hésita étrangement de longues secondes, les Allemands résistèrent avec courage. Le Bayern est, depuis hier soir, un beau quart-finaliste qui peut avoir son mot à dire sur la route d’Athènes.
Le Real revient trop tard
Le Real, déjà privé de Beckham et Reyes, était il est vrai allé au combat sans son Ballon d’Or, Cannavaro, touché aux adducteurs lors du dernier entraînement. Les Bavarois étaient mieux lotis. Incertains, Lucio et Salihamidzic étaient là. Ce dernier ne le regretta pas longtemps. Il récupérait un ballon mal négocié par Roberto Carlos dès le coup d’envoi. Son centre était repris du plat du pied par Makaay. Cela obligea l’équipe de Capello à quitter une réserve que son schéma en 4-1-3-2 avait incluse. Mais face à des Allemands bien regroupés, ce fut longtemps une domination sans danger pour Kahn. Au contraire, c’est le Bayern qui lançait ses flèches en contres, contraignant Casillas à une série de sauvetages devant Podolski (21e) ouMakaay (27e). Puis Schweinsteiger chatouillait le poteau (28e) avant que Van Buyten n’oblige le garien madrilène à une nouvelle prouesse (38e). Le remplacement d’Emerson par Guti, dès la 32e minute, avait pourtant offert un meilleur équilibre au milieu et plus d’idées à toute l’équipe. Cela permit enfin aux Espagnols de se montrer dangereux mais Van Nistelrooy trouvait Kahn (43e) et Raul l’extérieur du poteau gauche (45e + 4).
On crut ensuite que Lucio avait plié l’affaire, ayant repris de la tête un corner tiré par Sagnol (66e). Le Real fit alors preuve au moins du caractère qui accompagne les grandes équipes. Il obtenait à sept minutes du temps réglementaire un penalty sévère, Lucio ayant touché Robinho dans la surface, transformé par Van Nistelrooy. Dans la confusion, Diarra et Van Bommel étaient avertis une deuxième fois et quittaient le terrain. Un grand silence tomba enfin sur l’Allianz Arena quand Sergio Ramos sembla égaliser de vingtmètresmaisM.Michel refusa le but pour une toute petite main (89e) et comme pour un genre de compensation. Munich respira à nouveau. Avant d’exulter au bout d’un dernier corner que Kahn pêcha sur la tête de Van Nistelrooy.
JEAN-MARC BUTTERLIN
Capello en sursis
INTERROGÉ HIER, sur Canal + Espagne, à propos de l’avenir de Fabio Capello à la tête du Real Madrid, Predrag Mijatovic, directeur sportif du Real, s’est contenté d’un « je ne peux pas, à cet instant, vous assurer qu’il sera là samedi ». Le Real se déplace ce week-end sur le terrain du FC Barcelone pour le compte de la 26e journéedu Championnat d’Espagne. – F. He.
_ MAKAAY BUTEUR LE PLUS RAPIDE EN LIGUE DES CHAMPIONS. – Le but inscrit hier par RoyMakaay au bout de dix secondes et deux dixièmes de jeu est le plus rapide de l’histoire de la Ligue des champions. Le précédent record appartenait au Brésilien Gilberto Silva, qui avait marqué pour Arsenal après vingt secondes et sept dixièmes de jeu, le 25 septembre 2002, face au PSV Eindhoven (4-0)

ILS ONT DIT
_ RoyMAKAAY (Bayern Munich) : « Nous avons mérité la qualification. Il était capital de marquer d’entrée, nous nous sommes procuré les occasions les plus franches. Tactiquement, nous avons été bien organisés. Hitzfel nous a redonné confiance et beaucoup de discipline. »
_ Frantz BECKENBAUER (président du Bayern Munich) : « Le Bayern a été meilleur, même si nous avons eu de la chance sur la fin où nous n’avons pas été assez concentrés. À la mi-temps, nous aurions dû mener 2-0 ou 3-0, nous avons joué avec beaucoup de sang-froid vers l’avant. Dans la première demi-heure, le Real a trop peu osé pour espérer se qualifier. »
_ Fabio CAPELLO (entraîneur du Real Madrid) : « La différence s’est faite avec ce but encaissé d’entrée. C’est d’autant plus dur d’être éliminé que nous avons marqué quatre buts sur les deux matches. Pour moi, la qualification du Bayern n’est pas méritée, car Kahna eu beaucoup plus de parades à effectuer que Casillas.
Mon avenir ? Demandez au président. » – A. Me.

Ca c'est que j'ai écrit après le match contre Getafe

Cappello est le principal responsable de cette élimination.
Le real est nul en défense et ne sait pas jouer la défense. Pourquoi nous a t il alignés 3 milieux défensifs? Au passage, aucun n'a fini le match. Et la fin de match était bien meilleure.
Puffff, je suis dégouté, il y avait largement la place pour passer, ce n'était pas pas des tueurs ces bavarois, j'en ai mal dormi. Je sais que c'est que du foot, mais put*** .

J'avais peur que l'on regrette le but de van bommerde à 2 minutes de la fin à l'aller, et c'est le cas.
Le Real a mis plus 1/2 heure pour refaire surface suite au but en 10 seconde ( il faut quand même reconnaitre que ce genre de connerie à ce niveau là, ça n'arrive qu'à nous), et c'est Iker qui a encore une fois tenu la baraque (il les mérite largement ses x millions d'euro par an).

La seconde cause de notre élimination est notre incapacité à marquer (vous allez me dire que c'est une conséquence de la première). Nos 2 derniers buts ont été mis sur des pénaltis généreux.

bilan, on ne sait pas défendre mais ça ce n'est pas nouveau, mais surtout on ne sait plus marquer.
La fin de saison va être longue... Pour gagner la liga, il faudrai un miracle, et même la qualification pour la LDC est très mal engagée.
Ah Real ....

puffffffffffffffffff.... j'en ai marre de voir un real incapable de marquer
et en plus on a encore réussi à encaisser un but.
Encore une belle occasion de se rapporcher du barça perdue.

En jouant comme ça mercredi, on va se faire éliminer.

J'ai apprécié la prestation de Gago, pour le reste c'était assez moyen.

Article du journal L'équipe d'aujourd'hui, je ne savais pas trop où le poster...
Pourquoi le Real va mal
Engagé par Ramon Calderon pour liquider les années « galactiques », Fabio Capello est devenu la cible.
AUJOURD’HUI, 22 HEURES, STADE VICENTE-CALDERON (Canal + Sport)
ATLETICOMADRID: Leo Franco – Seitaridis, Ze Castro, Perea, A. Lopez – Galletti, Luccin, Maniche, Jurado – Aguero, Torres (cap.). Entraîneur : J. Aguirre.
REALMADRID:Casillas–Torres,Helguera,Cannavaro,Marcelo–Emerson,Gago– Reyes (ou Higuain), Guti, Raul (cap.) - Van Nistelrooy. Entraîneur : F. Capello.

« FABIO CAPELLO n’en peut plus, il est au bout du rouleau. Il ne supporte plus les attaques quotidiennes dont il fait l’objet. » En privé, plusieurs joueurs du Real reconnaissent que l’entraîneur italien passe par un des pires moments de sa longue carrière. Et que cela se sent dans le vestiaire. Drôle de manière de préparer un derby madrilène toujours très tendu. Madrid lui paraissait un paradis à l’heure de fuir Turin et le scandale des matches arrangés. Aujourd’hui, Capello souffre en solitaire et tente de parer, non sans des signes évidents d’agacement, les salves de questions qu’il prend pour des offenses personnelles. Dernière exemple en date : la conférence de presse d’avant le derby donnée en compagnie de Javier Aguirre, le coach de l’Atletico. Dans un climat tendu, Capello a essuyé un feu nourri de questions. Il s’est efforcé d’éviter toute référence à sa « vraie-fausse » démission. Il est montré comme le responsable no 1 de la situation chaotique du Real et du fait que, déjà, certains dirigeants commencent à préparer le peuple madridiste à une possible quatrième saison sans titre. Pourtant, l’Italien n’est pas le seul incendiaire de ce « nouveau Real ». Un club aujourd’hui bien éloigné des aspirations de ses exigeantssocios.
Capello a été engagé cet été pour « remettre de l’ordre », selon la version officielle. Être le bras exécuteur d’une politique de « dégalactisation » décidée par Ramon Calderon, le nouveau patron du Real, d’une nouvelle donne qui cherchait à se démarquer de ce qu’avait construit le très emblématique ex-président Florentino Pérez. Comme cela se produit souvent, l’homme qui voulait faire table rase du passé avait été un acteur de cette époque aujourd’hui révolue. Calderon fut un membre actif, de la première à la
dernière heure, du conseil d’administration dirigé par Pérez. Mais, après une campagne électorale brillante et une victoire sur le fil en juillet dernier, Ramon Calderon avait choisi de se faire un nom en faisant le contraire de son ancien mentor. Bien entendu, un changement s’imposait après la triste fin de l’ère Pérez, marquée par une crise de résultats (trois années sans trophée), une succession d’entraîneurs et le passage aussi rapide que désastreux d’un président nommé Fernando Martin. Schuster était le premier choix présidentiel Pour mener à bien ce changement de culture, Calderon avait choisi Bernd Schuster, l’entraîneur du voisin banlieusard Getafe. Mais, sur les conseils de Pedja Mijatovic, son directeur sportif, il finit par donner le pouvoir à Capello. Un homme qui partage aussi la même opinion que lui sur les « Galactiques ». Rapidement, l’Italien misa sur, comme le définit il y a peu Jorge Valdano, « une partie bien concrète du vestiaire ». Celle menée par Raul, Guti et Salgado, des Espagnols « ennemis » des grandes stars internationales comme Zidane, Ronaldo ou Beckham. Le Français ayant pris sa retraite, il n’y avait plus qu’à éliminer peu à peu les autres. Dès le mois d’août, Capello vanta les mérites de Raul, accusa Ronaldo d’être gros et paresseux et Beckham d’apparaître comme « anarchique » sur le terrain. Tous les favoris de Florentino Pérez sont, à un moment ou à un autre, passés au laminoir de la critique et de la mise à l’écart. Cicinho ? « Pas un latéral », selon l’ex-entraîneur de la Juventus. Quant à Robinho, certaines personnes du club aidaient le coach à la presse ses supposées sorties nocturnes très alcoolisées.
Suivant une logique présidentielle calquée sur son style personnel, Capello s’est appuyé sur les vieux piliers du vestiaire et sur ses deux lieutenants venus d’Italie, Emerson et Cannavaro. La stratégie était claire mais elle a montré, jour après jour, de graves limites. Dans le stade, Calderon a fait disparaître « l’hymne du centenaire », la chanson du ténor Placido Domingo, symbole de l’ère Pérez. Et, sur la pelouse, Capello a éliminé les traces de la « galaxie ». L’ensemble a perdu toute harmonie et c’est sur le pianiste Capello que tout le monde tire actuellement. Jusqu’à ce que son départ laisse Calderon en première ligne…

Comme vous tous j'espère une victoire.
Il faudra être costaud physiquement et tenir pendant 90 minutes (pas seulement une mi-temps comme mardi soir).
Pour cela, il faut posséder le ballon et faire courrir l'adversaire. Malheureusemnt, le real ne sait plus faire ça, c'est le Real qui court après le ballon avec capello.
J'espère revoir le tandem Gago & Diarra (et enfin le vrai visage de diarra)
Pour Marcello, ça pourrait être un bon baptême du feu, mais est ce que Capello lui fait confiance? en tout cas, SVP, pas de raul bravo , ni de salgado Zéro. Cannavaro réveille toi! je ne sais pas, reprends le dopage, mais ne reste pas sans rien faire.
Devant, puff... , ils (RVN, gutti, raul, reyes, robinho, cassano, ... ) se plaignent tous plus ou moins : pas bien servi, tactique trop défensive, joue pas à son poste, pas assez de temps jeu... Mais aucun ne nous montre quelque chose de valable, ils devraient déjà tous commencer par se remettre en question et faire leur autro critique (à l'image de ce qu'à fait diarra).
Dommage que beckham ne soit pas là, car il revient bien. Il va nous manquer sur les coup franc directs, indirects et corners.

Malheureusement pour moi, je n'ai vu le match qu'à partir de la 35 le score était déjà de 3-1. J'ai donc loipé la bonne période du Real.
Car la suite est triste, vraiment triste.
Certains joueurs comme robinho ou cannavaro etc... sont méconnaissables, et ça fait un bout de temps que ça dure. ILs ont perdu leur football, pourquoi?
Raul Bravo, quel catastrophe ! d'habitude je le défend un peu, mais là puffffffffff.
Pourquoi on ne mets pas marcello? parce qu'il n'a pas d'expérience? c'est ça? mais l'autre est nul
Presque j'aurai préféré l'entrée de salgado Zéro et mettre torres à gauche.

Et il faut reconnaitre que l'on a baissé phyiquement, et c'est pour ça que l'on encaisse le deuxième. Le pressing (avec 2 joueurs de madrid sur le porteur du ballon) a bien fonctionné au début, mais ça demande trop d'énergie et on a coulé à la fin.
On rendait le ballon au bayern systématiquement sur toutes les relances. Vraiment TRISTE de voir une équipe du Real pas capable de garder le ballon et faire courrir l'adversaire.
le retour va être très difficile.

ILS ONT DIT
 Fabio CAPELLO (entraîneur du Real Madrid) : « Avant tout, je ne veux faire aucun commentaire au sujet des rumeurs de ces dernières heures. Je ne souhaite parler que du match. Malheureusement, le Bayern Munich a fait trois changements qui se sont révélés très importants pour eux. Ils nous ont bombardés de centres dans notre surface en deuxièmemi- temps. Ils ont fait le forcing et nous avons souffert. Notamment à cause de Pizarro. Souvent, il arrive qu’en deuxièmemi- temps une équipe qui joue chez elle et qui mène au score prenne peur. C’est ce qui nous est arrivé dans cette rencontre face au Bayern Munich. »
 Ottmar HITZFELD (entraîneur du Bayern Munich):« Ce fut un match très intense, avec des hauts et des bas. On a vu
ce qu’on voit depuis le début de la saison. Le Real Madrid a mieuxcommencéla rencontre. Nous étions trop sur la défensive au début, surtout Demichelis et Hargreaves. Sur le premier but, les défenseurs ont oublié de suivre l’attaquant. Nous avons mieux joué après l’égalisation mais nous prenons deux buts sur coups de pied arrêtés. Sur le premier, il y a peut-être faute mais, sur le second, c’est une nouvelle erreur de la défense. En seconde période, l’équipe a changé. L’entrée de Salihamidzic a fait du bien et le second but est arrivé. »
 Willy SAGNOL (Bayern Munich) : « C’était le match de deux équipes en perte de confiance dernièrement, et cette
tension s’est sentie dans les duels. Nous avons beaucoup souffert en première période mais, avec ces deux buts marqués à l’extérieur, tout reste très ouvert pour nous au match retour. »

43% : Le pourcentage des équipes qui se sont qualifiées après avoir gagné 3-2 à domicile à l’aller. Sur 114 précédents toutes Coupes d’Europe confondues depuis la saison 1970-1971.[size="4"][/size]

article de l'équipe d'aujourd'hui
Beckham avait tout changé
Grâce à deux passes décisives de l’Anglais, le Real avait pris un net avantage, jusqu’au deuxième but allemand.
OUBLIÉS LES MOUCHOIRS blancs réclamant la démission de Capello, oubliée la peur d’un nouvel échec à
domicile. Le Real a retrouvé de la vigueur en même temps que le chemin des filets. Trois buts en première période ont chassé les doutes et la grisaille. Mais la porte des quarts de finale de la Ligue des champions est encore loin d’être ouverte. Car si le Real a enfin haussé son niveau de jeu, s’il a retrouvé un David Beckham exceptionnel dans ses passes et sur chaque coup de pied arrêté, sa défense a quand même craqué deux fois. Et deux buts marqués à l’extérieur, c’est très lourd. On peut même dire que le
Bayern a fait une bonne opération. Les Madrilènes se consoleront en se disant que leur victoire constitue une délivrance à leurs tourments du moment.
Fabio Capello en fait-il encore partie ? Ce n’est pas sûr. Hier soir, le bruit courait que la décision de la direction du Real était prise. Et même si Capello, dont le contrat court jusqu’en 2009, avait fait des concessions en alignant deux milieux défensifs au profil très offensif, Guti et Gago, celui qui aimante tous les ballons, il semble que le crédit du coach italien soit épuisé. Rarement cette saison, le Real aura donc emballé un match de cette façon. Pressing très haut, passes bien assurées, duels gagnés, la différence avec le Bayern Munich, pâle et maladroit, était impressionnante. Il ne manquait que des buts à la panoplie du Real. Ils allaient venir grâce au capitaine Raul (10e, 28e), qui conforte sa place de meilleur buteur dans l’histoire de la Ligue des champions avec 56 buts. C’était devenu une denrée si rare, les buts, à Bernabeu, que les 80 000 poitrines ont libéré des « Raul ! Raul ! » et des « Beckham ! Beckham ! » à profusion.
On jouait depuis dix minutes et Van Nistelrooy s’était déjà procuré une occasion très nette. Mais le Néerlandais
avait trop enlevé sa frappe. Dix minutes s’étaient écoulées et les onze joueurs du Bayern n’avaient pas quitté leur moitié de terrain. Ca n’allait pas suffire. Dans le rôle du passeur, Van Nistelrooy flaira l’appel de Raul, à la limite du hors-jeu, et le capitaine du
Real battait Kahn d’un tir à ras de terre du gauche (10e). Il y eut alors un moment de flottement inexplicable dans les rangs madrilènes. Pourquoi décidèrent-ils, l’espace d’un quart d’heure, d’abandonner la possession du ballon aux Bavarois ? Le désir de les contrer et de les prendre de vitesse, sans doute. Sur sa deuxièmemontée, Lucio, défenseur central et meilleur attaquant du
Bayern, exploita de la tête un coup franc de Sagnol (23e).
Van Bommel rééquilibre le Bayern
Mais, au lieu de se liquéfier, comme souvent cette saison, le Real allait faire preuve de personnalité, de caractère et de lucidité. Aidé par le prodigieux pied droit de Beckham, sublime, vraiment, surchaque passe,de 20 mètres comme de 60, ou sur chaque coup de pied arrêté. Les deux buts suivants du Real allaient naître de son magistral coup de patte. Un corner de la droite d’abord, tiré avec un drôle d’effet et repris de la tête par Helguera puis Raul (28e). Un coup franc ensuite, de 30 mètres, encore d’une précision
chirurgicale, pour Van Nistelrooy qui passait entre Lahm et Van Buyten pour forcer l’addition (34e). À deux reprises (38e, 52e), Beckham aurait pu marquer à son tour, notamment sur ce coup franc pleine lucarne que Kahn sortit d’un gant (52e).

Fort de ses trois buts, le Real allait resserrer ses lignes à la reprise et le Bayern allait reprendre des couleurs. Parce qu’au milieu, un certain Van Bommel avait repris les affaires en main. En quelques minutes, l’ancien du Barça avait replacé ses hommes et rééquilibré le jeu des Allemands. C’était très net, le Bayern ne perdait plus un ballon. Il faut dire que les Merengue, où Robinho avait remplacé Higuain (46e), puis Raul Bravo Roberto Carlos (59e), touché à une cheville, ne les disputaient pas beaucoup. Et Kahn allait passer la seconde période la plus pépère de sa vie en touchant deux ballons : le premier sur un tir trop écrasé de Higuain (48e), le deuxième sur une balle trop profonde de Raul dans le temps additionnel (90e + 3). Plus les minutes défilaient, plus le Bayern assaillait le Real. De pressant, il était devenu dangereux et Pizarro, deux fois, allait échouer sur un impeccable Casillas (67e, 74e). Ce Real-là, soudain redevenu frileux, petit bras, avec quelques joueurs à bout de force, allait finalement concéder un deuxième but. Un mauvais dégagement de la tête, plein axe, de Raul Bravo, atterrissait dans les pieds de Van Bommel dont la frappe tendue ne laissait aucune chance à Casillas (88e). Le Real venait peut-être de rater sa meilleure occasion de la saison.

Guti, perso, je ne lui trouve rien.

Guti c'est une passe en avant sur 10 de réussie
c'est un joueur qui ne sait pas tacler
avec lui, l'arbitre a toujours tort
il ne court pas
et il ne comprend pas pourquoi il n'est pas en équipe d'espagne
La meilleure formule, c'est calderon qui l'a dit : un éternel espoir à 31 ans. pufffffffff
Mais qu'il dégage avec les helguera, salgado et compagnie... Le problème est que personne en veut.
Si cannavaro et emmerson pouvait partir avec eux . Il est trop fort le dictateur Capello, tout ce qu'il a réussit à nous ramener, c'est les 2 "zéro" de la juventus.
J'aurai franchement préféré les 2 qui sont partis au barça : thuram et zombrotta.

Je suis dégouté.
On aurait pu jouer des heures, on aurait jamais marqué.

Là, la vraie crise, on l'a.

Quand je pense aux points perdus contre levente et recreativo huelva....

C'est vrai que les seuls joueurs de classe mondial sont Ramos, Cassillas et Diarra.

On a des ex joueurs de classe mondiale comme Raul et VNR (peut être que Raul devrait courrir un peu moins et VNR un peu plus), et Carlos (& beckham ) que l'argent a pourri.

On a des espoirs gago, huigain, marcello, robinho (mais attention au syndrome gutti)

Et après on a des joueurs moyens reyes, torres, cicinho,
des inconnus de la red, niesta,

Et des merd** , un bon paquet de mer** salgado, gutti, cannavaro, emerson, helguerra, pavon, bravo, cassano (surement bon joueur de foot mais mentalité de mer**), mejja, ....


Ah dictateur Capello, mais qu'est ce que tu fait? Vous avez eu une semaine pour préparer ce match, pufffffffffffff
Quel gâchis!!!!!!!!!!!!!!!! Quel aveu d'impuissance à construire une action. Un gutti inexistant en deuxième mi-temps. Et Quel quantité de ballons perdus.
On ne sait plus tirer les coups franc (on en regretterai presque le pied droit de beckham).

Et à force d'accumuler les mauvaises saisons comme cela, le peu de bons joueurs qu'il nous reste risque de partir (Ramos et cassillas ne vont pas rester là éternellement pour ne rien gagner)
On a rajeuni l'effectif bien trop tard.

Devant le Bayern, ça va faire mal.

Réveillez vous.

J'avais malheureusement vu juste.

oui, mais séville a une attaque bien plus prolifique que la notre

c'est vrai
mais ça peut aussi être le match pour sombrer définitivement et couler le dictateur Capello.
Le Real n'a pas intérêt de se louper, sinon, là ce sera une vraie crise.

d'accord avec toi
mais je nuancerai en disant que c'était un bon Real (tu me dira; comparé aux prestations honteuses face à huelva et le deport, c'était un grand real)
C'est dans la continuité des deux derniers matchs. On progresse. Huigain et Reyes ont été un peu moins bons. Robinho enchaine les belles actions avec des ratés énormes. Au moins il a le mérite de tenter.
Ramos est extraordinaire de puissance et de volonté, et quelle jeu de tête.
gago prend ses marques au millieu de terrain et s'entend très bienavec diarra.
C'est une équipe d'avenir.
Après , c'est vrai que niveau banc de touche, maintenant, on est un juste avec tous ces blessés et ces indésirables

Et un roberto carlos nous aurait peut être planté un but sur coup franc...

C'est pas grave, il n'y a pas à rougir de cette élimination. Il y avait de l'envie, de la solidarité et le jeu s'améliore. On est sur la bonne route.
Mais il ne reste plus que 2 compétitions pour espérer décrocher un titre.