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30/10/2006, 17:08:53
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#1
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realmadrid07 Groupe : Membres Messages: 2,470 Inscrit : 17/10/2006 Lieu : Bastia Corse Membre No. : 100 Joueur(s) Préféré(s): ZiZou, Ronnie, Anelka, Heinze, Pauleta |
Pts J G N P p c +/-
1 Montpellier 16 6 5 0 1 172 144 28 2 Chambéry 16 6 5 0 1 166 154 12 3 Nîmes 14 6 4 0 2 165 147 18 4 Paris Handball 14 6 4 0 2 154 141 13 5 US Ivry 13 6 3 1 2 175 156 19 6 US Créteil 13 6 3 1 2 161 158 3 7 Istres 12 6 3 0 3 163 152 11 8 Tremblay 12 6 3 0 3 150 148 2 9 Dunkerque 12 6 3 0 3 159 165 -6 10 Pontault-Combault 10 6 2 0 4 165 185 -20 11 Villeurbanne 10 6 2 0 4 130 169 -39 12 Sélestat 9 6 1 1 4 167 179 -12 13 Saint-Marcel-Vernon 9 6 1 1 4 168 184 -16 14 Toulouse 8 6 1 0 5 152 165 -13 |
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27/01/2013, 21:48:02
Message
#2
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Capitaine Madridista Groupe : Membres Messages: 1,184 Inscrit : 30/10/2012 Lieu : 71700 Membre No. : 17,152 |
L'Espagne humilie le Danemark
Poussée par les 13.000 spectateurs du Palau San Jordi, l'Espagne est devenue championne du monde ce samedi à Barcelone en dévorant en finale une fébrile équipe du Danemark (35-19). Ce n’est pas seulement une victoire, c’est une humiliation. Sur ses terres, l’Espagne n’a fait qu’une bouchée du Danemark (35-19) lors de la finale d’un Mondial qu’elle a traversé comme dans un rêve. Une démonstration d’autant plus stupéfiante que les Nordiques s’étaient vus coller l’étiquette de favoris depuis leur solide succès sur la Croatie (30-24) en demi-finale. Transcendée par l’appui de son public, l’Espagne a asphyxié son adversaire, qui n’a sans doute pas supporté la pression, et devra attendre avant de monter pour la première fois de son histoire sur le toit du monde. De fait, il n’y a presque pas eu de match entre les deux équipes, le suspense s’évaporant dès la première période. Dès l’entame de match, les locaux ont pris les devants grâce à des contres efficaces et une défense solide (3-0, 3e). En face, les hommes d’Ulrik Wilbek ont fait état d’une incroyable fébrilité, dans la circulation du ballon (18 pertes de balle !), où elle avait pourtant excellé depuis le début de la compétition, comme dans le réalisme. Arpad Sterbik, le portier ibère, a vu les tirs adverses passer bien souvent au-dessus de sa cage (40% d’efficacité au tir). Symbole de ce naufrage collectif, Niklas Landin, le gardien et capitaine danois, a été remplacé dès la treizième minute (13-8). Un ultime coup de rein des Espagnols leur donnait même huit buts d’avance à la pause (18-10). La deuxième période s’est résumée à une longue communion de l’équipe de Valero Rivera avec ses spectateurs, ivres de joie. Alors que les Danois, hagards, laissaient défiler des vagues rouges sur leur but (22-11, 33e), les locaux célébraient chaque réalisation comme si la finale était déjà terminée. Joan Canellas (7 buts) et les joueurs de Nantes Valero Rivera (6, Photo Reuters), Alberto Entrerrios (3) et Jorge Maqueda (5) s’en donnaient notamment à coeur joie. Quelques vingt minutes de fête plus tard, les Espagnols ont enfin pu valider le deuxième sacre mondial de leur histoire, huit ans après le premier. L'Espagne est devenue la 4e nation à remporter un titre mondial à domicile après la Suède (1954), l'Allemagne (1938 et 2007) et la France (2001). lequipe.fr |
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