Ils ont un système de jeu beaucoup plus compliqué que ça et moins binaire que tu ne le penses. Messi a une position de Central Winger ( http://www.zonalmarking.net/2010/12/03/int...central-winger/ ) et il marque 50 buts dans la saison parce que justement le défenseur est obligé de le suivre sur tout le terrain et c'est quasi-impossible.
En fait l'animation offensive est tellement importante que tout le monde peut être amené à marquer et finalement quand ils avaient un mec comme Ibra, trop statique et fixe, leur jeu était trop ralenti et ça ne fonctionnait plus.
Un mec comme Sanchez peut très bien d'ailleurs prendre la position centrale de Messi. Tout le monde est complémentaire chez eux, la preuve même sans défenseurs centraux ils se permettent de jouer avec 3 défenseurs (donc 2 sont des milieux défensifs), un peu comme si nous on sortait une défense Marcelo, Xabi Alonso, Khedira !!!!! On en dormirait pas la nuit.

Je dois dire que je suis assez impressionné par la compo de l'équipe : jouer avec cette défense à ce niveau ...

Cela dit, je commence à me demander ce que vaut réellement cette Liga espagnole ...

Plus ça va, plus je me demande si le Barça et le Real ne sont pas les deux monstres qui cachent un ensemble plus que moyen derrière ...

6-0 et 5-0 dès la première journée ça ne fait pas très sérieux !

Petite photo interessante ...

Histoire d'alimenter le débat entre l'écart Barça-Real et la Liga

«Je pense que dans trois ou quatre ans, si cela continue comme cela, le football espagnol sera mort. S'ils veulent, ils peuvent jouer seulement deux matches dans la saison, et puis voilà !» Fernando Roig, le président de Villarreal, était amer après la défaite de son équipe, 4e de la saison passée, à Barcelone (0-5). «C'est la Liga qu'ils veulent. Moi, je dois vendre des joueurs pour rester dans les clous financièrement. Eux, ils demandent des crédits, les obtiennent et achètent les joueurs qu'ils veulent», a-t-il ensuite poursuivi. Organisé dans le 3-4-3 historique catalan de Cruyff, avec un seul vrai défenseur sur le terrain (Abidal), le nouveau Barça de Guardiola a coulé le Sous-marin jaune qui va pourtant disputer la C1.

De son côté, le Real l'a emporté 6-0 à Saragosse. Aucune équipe dans l'histoire de la Liga n'avait gagné à l'extérieur sur une telle marge lors de l'ouverture du Championnat. Auteur d'un triplé, Ronaldo en est à 69 buts en 64 matches de première division espagnole depuis son arrivée. Lors de ses cinq derniers matches de Liga, le Portugais a toujours inscrit au moins un doublé. «Tout le monde ici parle toujours des deux intouchables, le Real et le Barça, témoigne Philippe Montanier, coach de la Real Sociedad. Mais l'engouement médiatique est tout à fait logique puisqu'elles sont les deux meilleures équipes du monde. Le Championnat se jouera encore entre ces deux-là.»

L'Equipe

C'est sur que a liga est beaucoup moins intéressante que les autres championnats car on sait chaque année que le real et le barca vont finir avec au moins 20 points devant les autres équipes espagnoles. ca tue le suspense. Les seules matchs qui sont intéressants à voir sont les classicos. C'est le contraire de la première league ou il y a environ 6 équipes qui peuvent gagner ce championnat et c'est ca qui est bien. Le coach de Villareal a tout a fait raison comme Montanier, les deux géants espagnols sont sur médiatiser.Si le barca gagne encore les prochaines LIGA alors là presque plus personne ne regarderont ce championnat car les gens se diront " c'est bon le barca va encore gagner comme d'habitude".

Pourtant je crois que lors des trois dernières saisons (en tout cas pour les 2 dernières j'en suis sûr), on a marqué plus de points contre les dix-huit autres équipes de la Liga que le Barça

J'ai été aussi surpris par la relative facilité avec laquelle le Barça a gagné. Ils risquent de ne pas laisser beaucoup de points en route cette saison.

D'accord également avec Redondo concernant le niveau de la Liga. Il n'a pas forcément baissé, c'est le niveau du Real et du Barça qui augmente d'année en année. On ne verra sûrement plus une Liga telle qu'on l'a vécu à l'époque de Capello, avec trois équipes ex-aequo (Real, Barca, Seville) à une journée de la fin.

Je pense que la liga va aussi se jouer à deux voire à une équipe, si le Barça maintient son niveau et sa cadence infernale il peut tout balayer sur son passage. Sa réussite ne dépendra que d'elle même quoi.
A noter que sur le banc du Barça il y avait Xavi et Villa, ça change des années précédentes.

Vivement le prochain clasico.

En tout cas: le bouton: "coller des manita aux adversaires directs" est sur la position ON.

Ah parce que tu penses qu'on est à des années lumières du Real? Vous avez une équipe aussi compétitive que la nôtre et la liga ne se jouera pas uniquement sur les classicos! Il y aura de la fatigue, des blessés durant la saison, et les deux équipes peuvent laisser filer des points. Concernant le Barça, il y a certaines équipes qui ne nous réussissent pas habituellement (les déplacements à Valence et l'Atletico)...

Ce message a été modifié par Massi: 30/08/2011, 14:40:49

J'irais pas jusqu'a dire que ce match est un feu de paille mais vous mettez déjà des constats en avant alors qu'il n'y a qu'un match de jouer, un match n'est pas l'autre, ils peuvent très bien perdre la semaine prochaine.

Massi dans tes équipe je rajouterais le Betis qui vous crée souvent des problème contre vous.

Ce n'est que la première journée et déjà des conclusions

C'est pas parce que Barcelone a battu Villarreal 5-0 ou nous Saragosse 0-6 qu'on écrasera tout le monde cette saison. Hier, Villarreal n'a pas joué le coup tout simplement, ils peuvent s'en vouloir qu'à eux-mêmes car ils avaient la place pour marquer un but et gêner Barcelone. On aurait dit qu'ils avaient peur d'eux et de leur système de jeu tellement ils étaient recroquevillés dans leur moitié de terrain.

Une équipe ambitieuse, voulant faire absolument un résultat là-bas, joueuse et sur de ses forces, aurait posé des soucis à Barcelone et même au Real. Là, on a eu à chaque fois une équipe amorphe, ayant peur de son adversaire. Et au football, si tu veux gagner un match, faut jamais avoir peur de l'adversaire.

Villarreal s'est pris une manita, espérons que ça leur remontera le moral pour travailler plus, pour que lors de la prochaine journée et lors des prochaines confrontations contre des "gros", ils ne se prennent pas 4 ou 5 buts à chaque fois. Car la saison dernière, ils s'étaient également pris une manita par Valence au Mestalla ...

Ne tirez pas des conclusions hâtives comme ça, on verra bien en novembre ou décembre ce que ça donnera au classement et des confrontations du Real et de Barcelone contre Séville, Valence, etc ..

Ce message a été modifié par Alma: 30/08/2011, 16:24:06

J'ai oublié ceux-là Ils étaient en D2, on était tranquille pendant deux ans (quoi que, ils nous ont battus en coupa l'an dernier )

Ce message a été modifié par Massi: 30/08/2011, 17:11:35

Jusqu’où ira Messi ?
8 septembre 2011 Commentaires (8)
La nouvelle saison vient à peine de commencer en Espagne, et déjà, Leo Messi a multiplié les exploits histoire de montrer qu’il était toujours au top du hip-hop. Le génial Argentin en profite pour tordre le coup à cette idée que le football moderne empêche les prodiges du ballon rond de briller dans la régularité. La courbe de progression et l’efficacité de Messi n’auraient-elles donc aucune limite ?
Au mois de mai dernier, le FC Barcelone s’installe une nouvelle fois sur le toit de l’Europe, en dominant très nettement Manchester United au cours d’une démonstration technique de très haute voltige. Et Leo Messi, comme toujours, a affiché son nom sur la liste des buteurs. L’Argentin de 24 ans a fait taire les plus sceptiques (ceux qui restaient), tout au long d’une saison où la rivalité Barça/Real, plus aiguisée qu’elle ne l’avait été depuis longtemps, a inéluctablement tourné à l’avantage des Catalans, et donc de son numéro 10, qui en profitait pour mettre un point final aux éternelles polémiques l’opposant au seul joueur capable de lui tenir tête sur la scène mondiale, Cristiano Ronaldo. Barcelone remporte la Ligue des Champions, empoche la Liga et Leo Messi est le meilleur joueur du monde.

Depuis, le Barça est devenu une référence absolue, unanimement louée dans les médias, une source d’admiration inépuisable, prise en exemple à tout bout de champs. Les pisse-froid encore insoumis, insensibles au collectif impeccablement huilé des Catalans, si calculé et répété qu’il semble devenu mathématique et pauvre en prises de risques, et qui préfèrent le foot quand il met en scène du sang et de la sueur, ont perdu à peu près tout crédit. Parce que, face aux performances du Barça comme face aux exploits de Leo Messi, il arrive un temps où il ne s’agit plus que de s’incliner. Et alors que le FC Barcelone entame sereinement sa nouvelle saison à un train d’enfer, Messi est déjà en pleine bourre. Il n’a presque pas eu de vacances, après une Copa America disputée à domicile, en Argentine. Et pourtant, dès ses premières apparitions sous le nouveau maillot Qatar Foundation des Blaugranas, il enfile les buts comme des perles. Leo Messi est déjà là, fidèle à lui-même, et sa flamboyante réussite semble imperturbable aux contre-performances en équipe nationale, au manque de repos (pas moins de 55 matches par an), aux incertitudes qu’engendre inévitablement une nouvelle saison.

Géante, cette puce
Il paraît que le plus dur, c’est de confirmer. De faire fi de la pression, de l’attente que l’on a soi-même générée… Messi n’en finit plus de confirmer. Et le fait est que Messi n’a jamais été plus fort qu’aujourd’hui, alors que les yeux n’ont jamais été davantage braqués sur lui. Il sort à peine de deux saisons hallucinantes (il a empilé 100 buts tout rond et 36 passes décisives en deux ans) et, pas vraiment emmerdé, repart sur le même rythme. Mise en bouche au mois d’août, avec la Super Coupe d’Espagne, et un double affrontement contre le Real : la pulga place trois caramels, dont un but délicieux dans les derniers instants du match retour, quelques secondes après l’égalisation de Benzema ; une-deux avec Adriano, reprise au premier poteau, et hop, le titre est au Barça. Dans la foulée, le FCB atomise Villarreal 5-0 et Messi part s’amuser avec la sélection argentine, où Alejandro Sabella semble plus que jamais lui avoir filé les clefs du camion. Pour une nouvelle passe décisive et un nouveau slalom entre tous les joueurs nigérians ou presque qui amène un autre but.

Mais plus encore que les stats, c’est l’efficacité de Leo Messi qui force le respect. On l’a bien ressenti l’an dernier face au Real Madrid, face à Manchester, face à Arsenal : plus rien ne semble pouvoir l’arrêter. Certains diront qu’il a progressé et qu’il parvient à briller lors des matches décisifs. En fait, il brille constamment, quel que soit le match, et l’opposition n’est jamais assez solide pour l’empêcher de filer au but. Existe-t-il une défense capable de prétendre à arrêter aujourd’hui la Pulga ? Messi cavale tête baissée jusqu’à son 3e Ballon d’Or consécutif (à moins que Rooney n’aligne cinquante buts et que Manchester gagne tous ses matches 8-2 jusqu’à la trêve hivernale), égalant ainsi les plus grands. Tout cela avec le sourire, à une époque où les visages sont fermés et la pression maximale sur le terrain ; Messi sourit tout le temps et écrase tout sur son passage. Et il a 24 ans. Seulement. Tout cela n’est pas un dithyrambe, ce ne sont que des faits. Mais jusqu’où peut-il courir ?

L’expérience des limites
Déjà, on ne le dira jamais assez, Leo Messi a sacrément de chance – comme tous les plus grands, au demeurant. Pas de blessure gravissime depuis qu’il fait partie du gratin du ballon rond (en septembre 2010, victime d’une soi-disant déchirure des ligaments internes et externes de la cheville, il est éloigné des terrains pour deux petites semaines à peine), ce qui est assez étonnant vu le style de jeu de la Pulga, tout en conduite de balle, en accélérations, en infiltration entre les défenseurs adverses, et le nombre de taquets qu’il reçoit dans les tibias à chaque match. Il n’est peut-être pas bien grand, mais physiquement, il est sacrément solide, et habitué à prendre des coups. Mais évitera t-il toujours les pépins physiques comme les défenseurs adverses aujourd’hui ?

De plus, tout semble lui réussir. Il est toujours là au bon moment et au bon endroit pour planter le but décisif qui fait basculer un match. Il est très rare qu’un poteau ou qu’un gardien en état de grâce lui résiste bien longtemps. Alors oui, c’est certainement parce qu’il est génial, et qu’il sait provoquer sa chance. C’est ce qui le rend si irrésistible, et si agaçant pour certains. Mais on ne peut s’empêcher de penser que cette réussite insolente ne sera pas éternelle. Comme tous les grands joueurs, il y aura des périodes de doute. Déjà, un mec qui est monté si haut, qui cale 50 buts par an, ne pourra que stagner ou régresser – du moins statistiquement, dans un premier temps. On peut légitimement se demander comment Leo gèrera cette situation… Comment réagira t-il sur le pré quand arrivera le jour où il sera – enfin – décevant ? Difficile de le dire. Mais cela arrivera. Comme arrivera le jour où le Barça ne sera plus si intouchable, et où les jambes de Messi ne lui permettront plus de larguer toute une défense en trois enjambées et autant de coups de rein. Le gentil Barcelone ne triomphera pas éternellement face au méchant Real Madrid. Cela ne voudra pas forcément dire que Leo Messi a failli mais peut-être simplement qu’un cycle prendra fin. La chance de Messi a surtout été d’exploser à peu près en même temps qu’une équipe incroyable et qu’une génération d’Espagnols enfin conquérants. Oui, le Barça est devenu ce qu’il est aujourd’hui en partie grâce à Leo. Mais même sans lui, les Espagnols du Barça et leur collectif écrasant viennent de se goinfrer un Euro et une Coupe du Monde. Messi, dans sa carrière comme sur le pré, débarque toujours au bon moment…

Mais quand le Barça faiblira enfin (Puyol et Xavi ne sont plus si jeunes), où en sera Leo Messi ? A-t-on vraiment envie de le savoir aujourd’hui, finalement ? Qu’on soit admiratif ou réfractaire à ce que le FC Barcelone accomplit sur tous les terrains d’Europe depuis plus de trois ans, on a tout intérêt à se rappeler de ce jeu et de ces exploits : dans le foot, une telle période de grâce est tout à fait exceptionnelle. Et si Messi n’a pas le charisme des glorieux anciens, Maradona ou Cruyff, au hasard, il s’agit de ne pas se comporter en vieux cons aigris et nostalgiques, et de profiter. Parce qu’on sera triste, à coup sûr, le jour où Messi s’arrêtera de courir…

Julien Mahieu

source: http://www.sofoot.com/jusqu-ou-ira-messi-147255-article.html

En gros Messi, on a pas grand chose à dire sur lui. Il est le meilleur, point barre. Comme le disait Bildermann, c'est un peu le genre de mec qu'on est obligé de dire que tout ce qu'il fait est bien, et compter les buts à la fin. A l'inverse d'autres joueurs de caractères, qui font parfois les mauvais choix et qu'on peut blamer.
Messi, si on dit quoi que ce soit dessus, on nous sortira toujours que c'est le meilleur actuellement, et même si il réussie pas en sélection, c'est pas de sa faute. D'ailleurs, quand il fait des fautes ou simule, c'est pas non plus de sa faute, mais celle de l'adversaire.
Bof, c'est pas une personnalité qui m’intéresse perso (au delà de son talent intrinsèque incontestable).

Lorsque le cycle du Barca sera terminé (si il se termine), Messi restera un très bon joueur, mais il ne sera plus aussi performant. Il a eu la chance d'émerger dans une équipe déjà championne d'Europe et tout le système est fait pour le mettre en bonne position. Tant que le Barca lui offrira cela, il sera parmi les tous meilleurs. Si un jour le collectif du Barca faiblit, il en pâtira et prendra plus de coups, marquera moins de buts, etc.

@Jyuza, tu pourrais peut être voir la corrélation, entre le niveau actuel du Barça et celui de Messi dans l'autre sens. Oui même sans Messi, le Barça serait très grand aujourd'hui comme le signale l'auteur de l'article. Mais aurait on pour autant atteint le niveau qu'est le notre sans Messi ?
J'en doute et les stats me donnent raison. D'ailleurs Messi serait le meilleur joueur du monde, dans n'importe quel grand clun européen. D'ailleurs il a réussi à titiller un Cristiano et un Kaka au top, quand le Barça était au fond du trou. Bon en sélection il plante pas de doublets à chaque match, c'est un peu normal quand tu vois qu'il doit redescendre assez bas pour récupérer ses ballons, qu'il distribue beaucoup de caviars, malheureusement la nullité des ses entraineurs successifs et de la défense argentine portent préjudice à ses performances.

@Wasted désolé mais il partira jamais du barça donc on ne pourra jamais savoir si dans un autre club il aurait fait la même chose cela dit messi est le meilleur joueur du moment actuellement point barre.

Bon déjà faut se dire que Messi est LE meilleur joueur du monde devant Cristiano, il faut l'admettre même si on est Madrilista et on hait le Barca. Il faut dire la vérité. Mais moi je verrais bien Messi quitter le Barca en fin de carrière pour un autre club, vers ses 30ans, je pense qu'après tout ce qu'il aura fait pour le Barca, le président voudra bien laisser partir l'enfant prodige vers un autre club à prix moyen pour le remercier de tout ce qu'il aura fait, en plus c'est déjà une légende de Barca alors dans 5 ans n'en parlons même pas. Il a dit lui-même qu'il aimerait bien retourner en Argentine un jour car il aime beaucoup une de ces équipes.

http://www.eurosport.fr/football/liga/2011...948/story.shtml

Moi j'admet rien je pense ce que veut, et ce que je voit, la penser unique non merci.

Puis en plus certains essayent de faire croire que ce mec à la classe balle au pied. Messi est fort, mais il est loin d'avoir du style gonfle au pâte. Certains devrait regarder ce qui se faisait dans les 90s et dans les années 2000. Berkamps, Rui Costa, Zidane, Beckham,...ces mecs là envoyaient du très lourd balle au pied, Messi n'a AUCUNE classe balle au pied (comme C.Ronaldo d'ailleurs, même si je l'adore), et d'ailleurs c'est pas seulement car il passe souvent de la même manière, car Robben est un des joueurs actuels les plus beaux a voir jouer, et grosso modo, il passe aussi beaucoup graçe à ses crochets, mais voila quoi, dire que Messi est ésthétique dans le jeu quand juste derrière t'as un mec comme Iniesta, c'est drolatique.

Oh oui Berkamps tu nous prend par les sentiments là
Par contre raye Zidane de ta liste, contrairement aux 3 autres je le trouvais énorme techniquement, mais pas si beaux que ça esthétiquement dans ça gestuelle. Et idem en ce qui concerne Robben, il est pas très beau à voir jouer, tu aurais dit Van Persie oui, mais pas le munichois.