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> Real Madrid – Borussia Dortmund: 2-2 , 6ème Journée – Benzema(2)
GUTI
* 08/12/2016, 09:30:12
Message #141


Capitaine Madridista
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CITATION(l'ange de madrid @ 08/12/2016, 07:52:42 ) *
Et les joueurs de Dortmund qui jubilent à la fin, les mecs qui ont rien compris au game, ils savent pas ce qui les attend laugh.gif


Et qu'est ce qui les attend? Benfica, City, PSG, Porto ou Séville et ils ont évité le barca et l'atleti ou encore la Juve
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Hierro
* 08/12/2016, 09:39:55
Message #142


***Généralissime Roy MUSTANG***
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Je rejoins plusieurs avis en signalant que ce Madrid la n'a jamais été aussi fort et convainquant. Toutes les bonnes équipes contre qui nous avons jouer, ont été tactiquement et explosivement en dessous de nous. Zidane impulse de bonne chose a cette équipe. Avec un peu plus de sérieux, je pense qu'on étrillait Dordmund, mais il va sans dire que ca nous arrange aussi d'etre deuxième. Les matchs a élimination direct nous obligeront a etre au maximum de nos capacité a une période ou nous allons avoir un effectif au complet. Je pense que cette saison promet, surtout si on garde le meme finish que la saison derniere.
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Redondo
* 08/12/2016, 12:30:50
Message #143


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On a vu des matchs ou l’on gagnait 4-0 mais c’était ennuyant, là on a fait 2-2 mais on a vraiment fait un bon match, bon en deuxième c’était moins bien, mais j’ai trouvé l’équipe bien organisé, qui ressortait bien le ballon, l’envie de gagner ce match. Les transmissions souvent juste et rapide, des phases offensives intéressantes.
Bon, ce n’était pas parfait bien sûr, on peut toujours s’améliorer car on ne gagne pas finalement mais je trouve l’équipe en progression au niveau du contenu.
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nancy-best
* 08/12/2016, 12:34:05
Message #144


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il n'y a que moi qui a trouvé modric mauvais ?

je vois bien un naples -real en 8 ème

Ce message a été modifié par suprareal: 08/12/2016, 13:01:56
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swagg
* 08/12/2016, 13:56:41
Message #145


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j'aimerais bien qu'on tire Arsenal ,pour un retour d'Ozil au bernabeu invisijo4.gif
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nancy-best
* 08/12/2016, 14:01:52
Message #146


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CITATION(swagg @ 08/12/2016, 13:56:41 ) *
j'aimerais bien qu'on tire Arsenal ,pour un retour d'Ozil au bernabeu invisijo4.gif



pour que ozil nous fasse une morata ? et nous élimine avec 2 matchs xxl ? de plus giroud voudra prouver a benzema qu'il a le niveau du real...erfff
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El Canterano
* 08/12/2016, 14:49:46
Message #147


¡El Hombre de la Cantera!
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Le Borussia piège et devance le Real


Alors qu’une douce fin de soirée se profile pour le Santiago Bernabéu, Marco Reus le fait taire en égalisant, à la surprise générale, en toute fin de match. Ce nul à l’arrachée (2-2) permet au Borussia de conserver sa première place et au Real de nourrir bien des regrets.




Les maillots jaunes du Borussia ne renvoient pas le Santiago Bernabéu vers ses souvenirs et succès les plus glorieux. Quatre ans plus tôt, en novembre 2012, les Borussen récitent un football rayonnant et piétinent les idées reçues d’un public madridista pensant les ridiculiser, avant, quelques mois plus tard, d’interdire une nouvelle remontada madrilène en demi-finales de Ligue des champions. Autant dire qu’en recevant ces mêmes Teutons, un point devant eux au coup d’envoi, les Merengues ne préfèrent pas « spéculer » , pour reprendre les dires du désormais co-détenteur de la meilleure série de matchs sans défaite dans l’histoire du Real Madrid – à égalité avec les trente-quatre de Leo Beenhakker. Mais Zinédine Zidane, auréolé de ce nouveau statut, peut tout de même nourrir des regrets. Car rejoint au score en toute fin de match par Marco Reus, son Real, auteur de l’une de ses partitions les plus abouties, perd la première place du groupe F sur le gong et doit se résoudre à un huitième de finale sans avantage du terrain. Longtemps, pourtant, c’est vers le succès que Karim Benzema, élément indispensable en C1 avec un nouveau doublé, pensait mener les meringues de Madrid.

Un Bernabéu trop imposant pour les jeunots allemands

Fidèle à sa tradition des grandes soirées européennes, l’antre de Chamartin se pare de son plus beau smoking pour recevoir le leader du groupe. Un « Hala Madrid y nada mas » repris en cœur, un frémissement au coup d’envoi, et les hostilités sont lancées. D’abord entreprenants, comme l’illustre la tentative de Schürrle, les jeunots allemands se font peu à peu malaxer par le milieu merengue. Casemiro, de retour dans le onze, et Modrić, implacable dans sa maîtrise des éléments, renvoient Weigl, Pulisic et Castro à leurs études, puis entraînent leurs coéquipiers dans leur sillon. Le pressing s’intensifiant, les récupérations se produisent de plus en plus près des cages de Weidenfeller, unique relique du BvB de 2012, et resserrent l’étau autour de sa surface. À la parade sur James, enfin consistant et réceptif aux consignes du Mister, Weidenfeller ne peut qu’assister, médusé, à la banderille de Karim Benzema, servi idéalement par le petit taureau Carvajal. À la domination se joint donc une ouverture du score logique, symbole de l’énorme différence entre ces deux équipes dans la gestion de leurs émotions. En résumé, des adultes marchent sur des bambins.

Benzema, la cinquantaine européenne

En bon scénariste, Zidane trouve, supposément, les mots adéquats dans les vestiaires. Car c’est un bis repetita du premier acte qui se joue au retour des vestiaires : à la légère domination initiale du Borussia, les Madrilènes répondent par un second pion, une nouvelle fois œuvre de Benzema. Après avoir tutoyé les gants de Weidenfeller, le « patriote fiscal » du jour, dans la continuité, reprend dans les airs une offrande de James pour doubler la mise. Le suspense n’est plus, s’imagine déjà le Bernabéu. À tort, puisqu'à l’heure de jeu, le BvB récite une action à la géométrie parfaite : sur un renversement lumineux de Weigl, Schmelzer dévore l’espace et sert en une touche Aubameyang, qui se présente en plantant devant un public médusé. S’ensuit alors une fin de match rock’n’roll, faisant la part belle aux actions tous azimuts, Weidenfeller multipliant les arrêts salvateurs, Keylor Navas remerciant le manque de précision adverse. Mais le roi des occasions gâchées se nomme en cette soirée Cristiano Ronaldo qui, sur un service succulent de Lucas Vázquez, touche le bois allemand. Un raté décisif, puisqu’à la 88e, sur un contre sonique emmené par Aubameyang, l'entrant Reus éteint le Bernabéu. Dur-dur pour le Real.

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Les notes du Real


La technique allemande est belle et bien la meilleure. Dominateurs pendant une bonne partie du match avec un énorme Benzema, les Madrilènes se retrouvent seconds. Danke schön, Reus.




Navas (6) : Pour maintenir la paix dans son royaume, maître Zidane peut compter sur son saint. Il existe une lumière divine en chacun d’eux, située dans le chakra du cœur. Navasté.

Carvajal (6,5) : Complet au possible, il impose un train d’enfer quand son équipe fait appel à ses services, histoire de mettre son leader dans les meilleures dispositions. Un homme fort du Once madrilène. Carvajalabert.

Ramos (7,5) : Héros de la Maison-Blanche ce week-end, Serge est parti faire un tour aux États-Unis pour vérifier si son aura avait traversé l’Atlantique. Son portrait remplace désormais l’American Gothic, en route pour le musée de l'orangerie. Tranquille.

Varane (7) : Match de tonton pour Raphaël, bien éduqué par papa et vu depuis son banc par Pepe. QLF.

Marcelo (5,5) : Malgré un short au détriment du pantalon pattes d’éph, le Jackson Six madrilène était on fire sur son côté. La fièvre du mercredi soir, jusqu’à ce grand écart fatal.

Casemiro (7) : La dernière fois qu’un tank aussi lourd avait défilé dans les rues de Madrid, l’Espagne entière a respiré un grand coup. Colosse aux pieds de plomb.

Modrić (5) : Où sont passés le café et la crème ? Des relances manquées, des tacles pour essayer de compenser, mais ce n’est pas son rôle. Pas du tout. Disons qu’il s’agissait d’une blague nulle. Lukarambar. Remplacé par Toni Kroos (63e), ovationné, mais pas opé.

James (6) : On regrettait presque Isco au début. Et puis on s’est rendu compte qu’en fait, le Real possède un intermittent du spectacle en manque de confiance. Rodriiiiiguez, père et fils.

Vasquez (6) : La quatrième roue du carrosse est d’une grande utilité. Une volaille qui court dans tous les sens et qui fait frémir les papilles à l’heure de passer à la casserole. Poulet Vasquez.

Cristiano Ronaldo (6,5) : Des bras en l’air, des cris de mécontentement, des mordillements de maillot, mais pas de but. Et ça l’énerve. Mon Dieu, ça l’énerve.

Benzema (9) : Frappes nobles, décrochages princiers, déviations royales. Laissez-le zoom zoom zen dans son numéro. Remplacé par Morata (85e), simple figurant dans ce film à grand succès.

sofoot.com

Ce message a été modifié par El Canterano: 08/12/2016, 14:50:31
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JCR9
* 09/12/2016, 00:52:58
Message #148


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CITATION(Traf @ 08/12/2016, 02:13:34 ) *
Redondo c'est possible d'éditer mon vote pour le planète d'Or?

laugh.gif sorry j'ai rien dit ph34r.gif
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Muntari20
* 11/12/2016, 20:50:42
Message #149


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Si j'ai bien compris, en finissant 2e on evite City, Bayern, Dortmund, Barca et Atletico? C'est pas beau ca?

Notre tirage est donc parmi ces 5 equipes: Arsenal, Juve, Naples, Monaco et Leicester. Si on est sortis en 1/8e c'est une catastrophe. On se voit en 1/4.
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Homer
* 11/12/2016, 21:25:49
Message #150


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CITATION(Muntari20 @ 11/12/2016, 20:50:42 ) *
Si j'ai bien compris, en finissant 2e on evite City, Bayern, Dortmund, Barca et Atletico? C'est pas beau ca?

En huitième ce n'est pas possible d'affronter une équipe issue du même championnat, donc impossible de jouer le Barça ou latletico. Même chose pour Dortmund, impossible de jouer contre une équipe qui était dans notre groupe.

Donc 1er ou 2eme on ne peut pas tomber contre ces 3 clubs.

Ce message a été modifié par Homer: 11/12/2016, 21:26:12
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