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[Redondo]

Classement du dernier grand prix au Bresil



1. Fernando Alonso (Renault)
2. Felipe Massa (Ferrari)
3. Giancarlo Fisichella (Renault)
4. Jenson Button (Honda)
5. Kimi Räikkönen (McLaren-Mercedes)
6. Jarno Trulli (Toyota)
7. Ralf Schumacher (Toyota)
8. Nick Heidfeld (Sauber-BMW)
9. Robert Kubica (Sauber-BMW)
10. Nico Rosberg (Williams-Cosworth)
11. Pedro de la Rosa (McLaren-Mercedes)
12. Rubens Barrichello (Honda)
13. Robert Doornbos (RBR-Ferrari)
14. Vitantonio Liuzzi (STR-Cosworth)
15. Takuma Sato (Super Aguri-Honda)
16. Tiago Monteiro (MF1-Toyota)
17. Sakon Yamamoto (Super Aguri-Honda)
18. Scott Speed (STR-Cosworth)
19. Mark Webber (Williams-Cosworth)
20. Michael Schumacher (Ferrari)
21. David Coulthard (RBR-Ferrari)
22. Christijan Albers (MF1-Toyota

[rocky]

Je pense que toute la tension au sein de McLaren est à cause de Alonso. Il était à Renault le seul chouchou gaté, et il s'attendait qu'il se retrouve à McLaren avec un débutant qui ne fera jamais le poids, mais c'était tout à fait le contraire, un débutant qui est peut être plus doué que lui, et ça qui l'a frustré. C'est anti-sportif de sa part, si t'es le meilleur, prouve le encore une fois, c'est ça le sport. Moi j'admire bien les deux pilotes de Ferrari. Deux grands pilotes, il y a surement de la concurence entre eux, mais le sport c'est de la concurrence koi, on donne tout ce qu'on peut sur la piste, et que le meilleur gagne. ça fait du bien, à l'équipe et à l'écurie bffffffff

Ce message a été modifié par rocky: 28/08/2007, 12:34:52

[moi1203]

Les boss de la F1 misent sur QPR

Respectivement patrons de l'écurie Renault et de la Formule 1, Flavio Briatore et Bernie Ecclestone sont arrivés à leurs fins. L'offre des deux hommes pour le rachat des Queens Park Rangers, équipe anglaise évoluant aujourd'hui en Championship, l'équivalent de la Ligue 2 en France, a été acceptée par le conseil d'administration du club londonien.


sports

[moi1203]

L'Inde à grands pas

Hermann Tilke, le designer de circuits, est en visite de deux jours en Inde, et cela donne le sourire aux Indiens, qui aimeraient beaucoup accueillir un Grand Prix dès 2009. Tilke doit ensuite aviser le grand patron de la F1 Bernie Ecclestone des progrès de la candidature indienne. «Nous lui avons montré quelques emplacements, il va rentrer chez lui et en parler à Bernie, s'est réjoui Suresh Kalmadi, le président de l'Association olympique indienne. Nous sommes contents de la façon dont ce dossier évolue, nous avons le sentiment d'être sur la bonne voie».

lequipe

[moi1203]

GP d'Italie - Ferrari pour prendre la main

À quelques jours du Grand Prix de Monza, les deux pilotes Ferrari, Felipe Massa et Kimi Raikkonen, se montrent très ambitieux. Après avoir réussi le doublé sur le podium en Turquie, le Brésilien et le Finlandais se sont replacés dans la course au titre de champion et veulent continuer sur leur lancée en Italie. Massa et Raikkonen comptent respectivement quinze et seize points de rebours sur Lewis Hamilton, leader du classement pilotes. Il ne leur reste plus que cinq courses pour compenser ce retard. «Le championnat est très compétitif, estime Massa. Nous sommes quatre pilotes à lutter pour le titre. Je dois donc faire mieux que les autres».

Son compère finlandais renchérit: «Tous les Grands Prix à venir sont cruciaux, affirme Raikkonen. Nous ne pouvons plus commettre d'autres erreurs. L'écurie se donne à 100% et nous devons prendre plus de points que nos concurrents directs à chaque fois». D'autant plus que le sort de Ferrari, toujours en lice pour le titre constructeurs, en dépend. La Scuderia est en plus habituée à s'imposer sur ses terres, avec quatre succès lors des cinq dernières éditions. À chaque fois grâce au jeune retraité Michael Schumacher. Tout cela augmente la pression sur les épaules de ses successeurs.

Une pression qui n'inquiète pas Massa: «Cela m'est égal, lance le Brésilien. J'ai gagné des courses que ce soit avec ou sans pression. L'année dernière, déjà, je me suis battu pour aider l'équipe au classement constructeurs». McLaren a rendu les meilleurs chronos lors des jours de tests à Monza, ce qui fait dire à Raikkonen qu'une «lutte acharnée attend (Ferrari). Mais comme on ne sait jamais combien de carburant utilisent les adversaires, la situation sera vraiment claire au moment des qualifications».


lequipe

[moi1203]

Alonso veut-il couler McLaren ?

On savait les relations entre Fernando Alonso et son écurie très tendues. Elles le sont encore plus ce vendredi avec une information rapportée par As selon laquelle le pilote espagnol aurait révélé des informations capitales à la Fédération internationale de l'automobile concernant les soupçons d'espionnage qui pèsent sur McLaren Mercedes. Selon le quotidien espagnol, Fernando Alonso pourrait démolir l'empire McLaren car il détient la preuve qui pourrait condamner le 13 septembre prochain l'équipe britannique à perdre tous ses points au classement constructeurs. Une volonté d'Alonso de collaborer pour éviter d'être sanctionné. Lui peut-être mais pas son équipe...
sports

[moi1203]

Alonso fait la loi

La tension générée par l'affaire d'espionnage entre McLaren et Ferrari n'y a rien changé: Fernando Alonso a signé samedi à Monza une superbe pole position, sa deuxième de la saison après celle de Monaco. Il devance son coéquipier Lewis Hamilton, les deux Flèches d'Argent occuperont donc la première ligne. Si Felipe Massa est 3e, Nick Heidfeld a subtilisé le 4e temps à un Kimi Räikkönen victime d'un crash spectaculaire lors de la troisième séance d'essais libres. Psychologiquement parlant, le double champion du monde a réussi un coup de force.

Quel dommage que "l'affaire" empoisonne autant l'atmosphère. Le 13 septembre prochain, le Conseil Mondial de la FIA devrait apporter les réponses attendues sur cette bizarre histoire d'espionnage. Si McLaren-Mercedes a bien utilisé le dossier technique de la Ferrari F2007 arrivé chez Mike Coughlan (son chef concepteur licencié depuis), elle risque très gros. L'exclusion du championnat 2007, mais aussi du 2008. Si sa culpabilité est reconnue, l'équipe anglo-allemande se sera alors véritablement auto-détruite. Et le sentiment qui restera est celui d'un énorme gâchis.

Car en piste, le spectacle est superbe. La lutte entre les quatre ténors de la saison est intense. Les qualifications du Grand Prix d'Italie n'ont pas dérogé à cette règle. Au coeur de la tourmente (pour avoir témoigné à la FIA), Fernando Alonso a démontré qu'au volant, il restait imperturbable. Au tout début de la Q3 (la troisième partie des qualifications, qui décide des dix premières places de la grille de départ), son coéquipier Lewis Hamilton s'est positionné en premier à la sortie des stands, comme il l'avait fait en Hongrie. L'Espagnol est resté ostensiblement dans son stand. Il a été le dernier des dix pilotes à prendre la piste.

Ambiance glaciale avec Hamilton

Le message envoyé par le Taureau des Asturies était clair. Hamilton peut partir le premier, bénéficier d'un maximum de tours en piste: lui, Alonso, n'en a cure et réalisera quand même la pole. Trois minutes avant le drapeau à damiers, le double champion du monde boucle un tour en 1'21''997. Dans les toutes dernières secondes, son équipier anglais améliore (1'22''034). En piste lui aussi pour son ultime "run", Alonso est prévenu par radio que sa pole est en poche. Il interrompt aussitôt son effort et rentre aux stands au ralenti. A la pesée, les deux pilotes se croisent. La poignée de mains est glaciale.

Pour la première fois depuis sa victoire au Nürburgring fin juillet, ‘Fer' est en position de force. Avec cette pole, il est le favori pour la victoire à Monza. Il tient une belle occasion de combler tout ou une partie de son retard de cinq points sur Hamilton au championnat. Ses chances de s'imposer sont d'autant plus grandes que derrière les Flèches d'Argent, les Ferrari ne semblent pas 100% à leur aise.

Kovalainen sauve Renault

Felipe Massa a bien signé le 3e temps (1'22''549). Vu l'écart de 5/10e avec les pilotes McLaren, il est évidemment possible que le Brésilien embarque plus d'essence. Quant à Kimi Räikkönen, il a été victime d'un crash spectaculaire lors des essais libres de samedi matin, peut-être dû à une rupture de suspension ou à une crevaison. S'il s'en est sorti indemne, il a tout de même perdu du temps dans sa mise au point. Pour éviter une pénalité de 10 places sur la grille, le moteur de la F2007 a été transféré sur le mulet. Nick Heidfeld lui ayant subtilisé le 4e temps sur le fil (1'23''174 pour l'Allemand, 1'23''183 pour le Finlandais), "Iceman" se retrouve cinquième sur la grille.

Il devance Robert Kubica (1'23''446) et Heikki Kovalainen (1'24''102), qui prend une nouvelle fois l'avantage chez Renault. Car Fisichella, lui, a été gêné par une excursion hors piste de Barrichello lors de la Q2, et doit se contenter de la 15e place sur la grille. Les départs-canon étant possibles à Monza, la course promet d'être explosive. Surtout dans le contexte tendu qui règne actuellement sur la F1.

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